Tube buccal court, de 2 à 2,5 fois plus long que haut
Crête triangulaire sur la tête
Filaments dermiques au-dessus des yeux en forme de courtes cornes
Absence habituelle de mouchetures blanches sur le corps
Hippocampe chauve, cheval marin
Short-snouted seahorse, short-nosed seahorse (GB), Cavallucio marino (I), Caballito de mar (E), Langschauziges Seepferdchen (D), Cavallo marinho (P), Caballet de mar (Cat)
Hippocampus heptagonus Rafinesque, 1810
Hippocampus pentagonus Rafinesque, 1810
Hippocampus antiquorum Leach, 1814
Hippocampus vulgaris Cloquet, 1821
Hippocampus brevirostris Schinz, 1822
Hippocampus antiquus Risso, 1827
Hippocampus europaeus Ginsburg, 1933
Manche, Atlantique, Méditerranée
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises]Manche, Atlantique et Méditerranée
Hippocampus hippocampus vit dans des bassins lagunaires ou de faibles profondeurs, protégés des courants violents ou du ressac. Il préfère les fonds de sable vaseux, ou les habitats rocheux avec sédiments meubles. Il vit sur le fond et s'accroche aux algues, ou à d'autres débris grâce à sa queue préhensile.
Il évolue entre la surface et 30 m de fond.
A Arcachon, il semble moins dépendant des prairies de Zostères que Hippocampus guttulatus.
Dans le golfe du Lion (Méditerranée), on rencontre cette espèce dans les lagunes littorales, mais surtout en mer sur fonds essentiellement sédimentaires.
Les milieux lagunaires où il vit peuvent subir d'importantes variations de salinité, en plus ou plus souvent en moins. La « malaïgue » eutrophisation* du bassin de Thau, telle qu'observée en 2006, a entraîné une mortalité importante.
Ce poisson étrange dont la tête rappelle celle d'un cheval, peut atteindre une longueur maximale de 12 à 15 cm. La taille d'un individu est strictement proportionnelle à son âge, qui peut atteindre 4 à 5 ans. Le corps est comprimé latéralement avec une sorte de cambrure dorsale. La tête fait un angle de 90° avec le corps. Elle comporte une sorte de crête triangulaire, et une ébauche de filaments dermiques au dessus des yeux, en forme de courtes cornes. Certains individus adultes, ont des filaments cutanés relativement développés, éventuellement sur tout le corps. La présence ou l'absence de filaments n'est pas un critère déterminant de l'espèce.
La bouche est située au bout du tube caractéristique des Syngnathidés dont la longueur est de deux fois à deux fois et demi la hauteur.
Son corps comporte onze à douze anneaux osseux sur le tronc et trente-quatre ou trente-cinq sur la queue. Cette queue préhensile est de section carrée et permet à l'hippocampe de s'accrocher au substrat* ou à enlacer le partenaire au moment de la copulation.
On peut compter seize à dix-huit rayons sur sa nageoire dorsale et quatre sur l'anale.
Sa coloration est variable, avec possibilité de mimétisme ou homochromie* par rapport au milieu environnant. On peut voir des hippocampes presque noirs, ou verts, ou à marbrures brun rougeâtre sur des éponges ou à taches blanches et brun très foncé sur le sable. Ils sont habituellement dépourvus de mouchetures blanches, sauf sur les joues, où elles dessinent des lignes rayonnant autour des yeux.
Le mâle se reconnaît à la poche incubatrice, flasque ou rebondie selon les phases de reproduction, alors que la femelle garde la taille fine en toutes saisons, et le corps normalement annelé. En phase de pré-ponte, la femelle a un abdomen rebondi, mais elle est encore plus facile à reconnaître car la « cassure » entre abdomen et queue est bien visible, là ou la poche du mâle, même rabougrie, introduit une continuité.
Il nage lentement en agitant sa nageoire dorsale. Les pectorales situées juste en arrière des ouïes servent à maintenir son assiette. Il se fixe souvent aux herbes ou aux algues. On le représente souvent en position dressée, mais il est plus volontiers étalé sur le sable, plus ou moins enroulé.
Un caractère original de ce poisson est la présence de plaques osseuses sous la peau. Celles-ci forment une véritable armure aux carènes anguleuses. La peau est dépourvue d'écailles.
Les yeux des hippocampes sont pourvus d'une fovea* qui leur confère une acuité visuelle plutôt supérieure à la moyenne des poissons. Ils sont mobiles indépendamment l'un de l'autre avec la possibilité de vision binoculaire, en relief, vers l'avant, qui permet le repérage visuel des proies qu'il gobe.
Hippocampus guttulatus ou ramulosus :
La distinction est particulièrement difficile pour les juvéniles, qui ont peu de filaments dermiques et un museau plus court que les adultes. Dans l'étang de Thau, on rencontre des H. hippocampus à filaments, et d'autres qui en sont totalement dépourvus ; ces derniers sont majoritaires.
Le genre Hippocampus est exclusivement marin et compte de trente-cinq à plus de cinquante espèces, selon les scientifiques, dans le monde.
L'hippocampe a une bouche minuscule, il se nourrit de zooplancton*, des petits crustacés, larves* nauplius*, et des œufs de poisson. et petits crustacés benthiques* se déplaçant sur le fond. On le voit souvent allongé, la bouche au ras du sable en train de chercher ses proies invisibles. Il les approche lentement et profite de sa mâchoire protractile au bout de son tube allongé et perpendiculaire au corps pour effectuer un mouvement d'aspiration. On peut le voir recracher par les ouïes les débris non comestibles aspirés en même temps.
Il ne se nourrit que de proies vivantes.
La grande particularité de l'hippocampe réside dans sa reproduction étonnante sans équivalent dans le règne animal.
A Arcachon, sa période de frai culminante est de fin mai à fin juillet. La reproduction est précédée d'une longue parade complexe. Le mâle rejette l'eau contenue dans sa poche incubatrice en la pressant avec sa queue. La femelle lui transmet les ovules par sa papille génitale, ils sont fécondés au passage. L'incubation des œufs dans la poche du mâle dure quatre à cinq semaines. Pendant cette période, la poche incubatrice du mâle développe des villosités* riches en capillaires entourant chaque œuf fécondé créant une sorte de placenta alimentant les embryons. Les jeunes d'environ 16 mm en sont expulsés par de fortes contractions. Ils seront une centaine de petits hippocampes, livrés à eux-mêmes.
L'hippocampe peut être dit "pseudo-vivipare"*.
A Arcachon, les juvéniles mesurent 5 cm fin août.
La maturité sexuelle arrive dès la fin de leur première année, au printemps.
Les hippocampes seraient fidèles et vivraient en couple toute leur vie.
Il est fortement mimétique avec son milieu avec homochromie*. L'immobilité et son camouflage lui permettent d'approcher, ou plutôt de laisser approcher sans être vu, les proies dont il se nourrit.
On rencontre aussi quelques individus dont la peau porte des hydraires ou des algues qui complètent le camouflage.
Le mode de reproduction, avec copulation interne, peudo-viviparité avec "accouchement" de juvéniles aptes à vivre dans le même milieu que leurs parents ne favorise pas le brassage génétique d'un bassin à l'autre : les hippocampes ont tendance à former des races. Les individus d'un même bassin (Arcachon, Capbreton-Hossegor ou Thau) sont identiques entre eux, mais diffèrent légèrement d'un bassin à l'autre.
La couleur des hippocampes est éminemment variée d'un individu à l'autre et variable dans le temps. Elle est due à la contraction ou à l'étalement à la surface de la peau de cellules colorées, les chromatophores*. Le changement de couleur peut être rapide, en quelques minutes, par un contrôle nerveux, ou plus lent sous influences hormonales. Les couleurs "disponibles" de chaque individu, et de chaque espèce sont déterminées génétiquement. Cela permet à un hippocampe de se fondre dans le milieu ; c'est un mimétisme* actif. Le même individu rouge parmi les éponges rouges, devient jaune sur une éponge jaune quelques heures plus tard. (Observation du rédacteur).
Espèce en voie de raréfaction, l'homme est un des prédateurs. Cependant, actuellement en France, le public est conscient de la nécessité de protéger les hippocampes. Certains modes de pêche, telle que la senne, qui prélevaient beaucoup d'hippocampes sont interdits.
Il est bon de rappeler que l'acclimatation même pour des raisons scientifiques et avec les soins les plus sophistiqués perturbe l'animal et réduit sa durée de vie.
En Extrême-orient, cependant, les hippocampes sont toujours recherchés pour entrer dans la pharmacopée chinoise comme aphrodisiaques, en particulier.
Le peuple Celte des Allobroges (dont le territoire correspond aujourd'hui aux actuels départements de la Savoie, de la Haute-Savoie et de l'Isère) est notablement connu pour son monnayage d'argent (drachmes) et d'or. Parmi les frappes émises figurent quelques séries de pièces dites "à l'Hippocampe", peut-être empruntées dans leur déclinaison aux oboles antérieurement émises à Marseille. Selon la mythologie, il semblerait que le cheval marin permette au défunt l'accès pour une vie éternelle sur une île paradisiaque.
Pour voir des hippocampes, il faut plonger chez eux et accepter de ne pas toujours faire des plongées de rêve. Moniteurs de plongée et moniteurs bio emmenez vos plongeurs en randonnée aquatique en palmes-masque-tuba dans 2 m d'eau et de vase et vous leur donnerez le souvenir inoubliable de la rencontre avec l'hippocampe…
Un programme d'étude sur les espèces d'hippocampes des côtes européennes est en cours, sous la direction du scientifique Patrick LOUISY. Il comporte en particulier la base de données Hippo-ATLAS, essentiellement alimentée par les observations des plongeurs.
TOUTE NOUVELLE OBSERVATION EST IMPORTANTE : on ne sait que peu de chose de l'écologie et de la vulnérabilité des hippocampes de nos côtes. Alors, n'attendez pas pour transmettre vos informations à l'Hippo-ATLAS.
Cette espèce est évaluée sur la Liste rouge mondiale de l'UICN (Novembre 2012) : DD : Données insuffisantes (listé Hippocampus hippocampus)
Cette espèce est protégée ou soumise à réglementation :
- au niveau communautaire:
Application de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) (Convention de Washington) au sein de l'Union européenne : Annexe B.
- au niveau international :
Protocole relatif aux aires spécialement protégées et à la diversité biologique en Méditerranée (Convention de Barcelone) : Annexe II.
Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du nord-est (Convention OSPAR) : Annexe V.
Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe II.
Hippocampe : traduction directe du latin,
Museau court : se rapporte à la longueur du tube buccal, par opposition à celle de H. guttulatus,
Chauve : absence habituelle de ramifications dermiques sur la tête.
Hippocampus, mot latin, est lui-même tiré du grec [hippokampos], de [hippós] = le cheval, et [kampè] = chenille, peut-être en référence à sa queue.
Campae, camparum désigne aussi en latin les chevaux marins, mais aussi sinuosité, courbure.
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Super classe | Osteichthyes | Ostéichthyens | Vertébrés à squelette osseux. |
Classe | Actinopterygii | Actinoptérygiens | Ossification du crâne ou du squelette tout entier. Poissons épineux ou à nageoires rayonnées. |
Sous-classe | Neopterygii Teleostei | Néoptérygiens Téléostéens | Poissons à arêtes osseuses, présence d’un opercule, écailles minces et imbriquées. |
Super ordre | Acanthopterygii | Acanthoptérygiens | Rayons épineux aux nageoires, écailles cycloïdes ou cténoïdes, présence d'une vessie gazeuse et pelviennes thoraciques ou jugulaires, sans être systématiquement présents, sont des caractères que l'on ne rencontre que chez les Acanthoptérygiens. |
Ordre | Syngnathiformes | Syngnathiformes | Poissons possédant des mâchoires soudées en un tube allongé. Il s'agit essentiellement des syngnathes et des hippocampes. |
Famille | Syngnathidae | Syngnathidés | Bouche « rapportée » au bout d'un tube. |
Genre | Hippocampus | ||
Espèce | hippocampus |
Hippocampus hippocampus femelle
Les cornes dermiques au dessus des yeux sont bien visibles. Robe marbrée, bouche ouverte.
Bassin d'Arcachon (33) Cap-Ferret, le Mimbeau, 15 m
09/07/2006
Mâle en juillet
L'abdomen rebondi de ce mâle annonce une prochaine "fin de gestation". Sur cette vue de 3/4 face, les deux yeux sont visibles et témoignent de la bonne vision binoculaire de l'hippocampe.
Bassin d'Arcachon, (33) Le Courbey, 3 m
02/07/2006
Mâle en septembre
En septembre, la poche incubatrice est devenue flasque après l'expulsion des jeunes.
Robe brun foncé presque unie.
Position de nage en pleine eau.
Bassin d'Arcachon, (33) Arcachon, St Yves, 5 m
10/09/2003
Tête
Caractères de la race arcachonaise : petites cornes dermiques au-dessus des yeux. Crête triangulaire, absence de filaments dermiques. Taches blanches limitées à la tête avec dessin rayonnant autour des yeux.
Bassin d'Arcachon, (33) Arcachon, St Yves, 5 m
10/09/2003
Détail de la tête
Malgré les excroissances dermiques nombreuses, la petite taille du museau ne laisse que peu de doutes quant au fait qu'il s'agit bien là d'un Hippocampe à museau court.
Estuaire de la Rance, Saint-Suliac (35), zone infralittorale, de nuit
13/08/2020
Tête d'hippocampe "sale"
Hippocampe de Capbreton, de coloration sombre et unie. La peau est couverte de pousses d'hydraires et d'algues.
Capbreton-Hossegor, (40), 5 m
15/08/2006
Tête d'hippocampe d'Arcachon "sale"
Cet hippocampe femelle porte sur la tête des débuts de filaments dermiques, prolongés par des boutures d'hydraires, d'algues microscopiques. Robe marbrée, les mouchetures blanches ne se trouvent que sur les joues, entre l'œil et la bouche.
Bassin d'Arcachon, (33) Cap-Ferret, 3 m
03/09/2006
Tête d'hippocampe de Méditerranée
Tête d'hippocampe à museau court portant de nombreux filaments dermiques.
Le Grau-du-Roy (34), 5 m
07/2005
Mâle sur le sable
Robe unie brun foncé, avec les mouchetures sur les joues et autour de l'œil.
Poche incubatrice flasque.
Sur le sable, au gré du courant, au pied d'enrochements, sans aucune prairie de Zostères à proximité.
Bassin d'Arcachon, (33) Chez Hortense Cap-Ferret, 10 m
15/09/2002
Femelle de Capbreton
Femelle à la robe claire unie. Nageoire anale bien visible.
Capbreton-Hossegor (40), 5 m
15/08/2006
Femelle sur fond de sable
Exercice de camouflage sur un fond de sable: robe marbrée en noir et blanc. Ici, la peau est parfaitement propre.
Bassin d'Arcachon, (33) Le Courbey, 3 m
23/07/2006
Support de ponte !
Un cliché exceptionnel, qui a valu à son auteur une première place au concours "Les Yeux de DORIS 2008" :
une seiche a déposé sa ponte sur le cou d'un hippocampe !
Cagnes-sur-Mer (06), 15 m
14/05/08
Juvénile en Bretagne
Juvénile de 5 cm, à la fin de son premier hiver. Robe claire comme souvent les juvéniles.
Lézardrieux, Trieux (22), 4 m
02/05/2009
Autre juvénile breton
La taille du crabe Inachus sp. à côté de l'hippocampe donne l'échelle.
Trébeurden (22) 2 m
30/04/2004
Juvénile d'Arcachon
Juvénile de 5 cm environ, en fin d'hiver.
Bassin d'Arcachon, (33) Grand-Piquey, 3 m, de nuit
18/03/2000
Hippocampe de Boulogne-sur-mer
Hippocampe rencontré dans le port de Boulogne-sur-mer. Eau vraiment chargée.
Boulogne-sur-mer
25/06/05
Juvénile dans les zostères
Les herbiers de zostères servent de nursery pour les juvéniles.
Le Grand-Banc, Bassin d'Arcachon (33), 2 m
19/09/2007
Homochromie septentrionale
Accroché à des éponges-pinceaux grâce à sa queue préhensile, ce petit hippocampe est sans doute l'individu le plus septentrional de France photographié dans son milieu naturel. Il montre ici ses capacités de camouflage, adoptant sa couleur à celle de son environnement, et attend que de minuscules invertébrés planctoniques passent à sa portée pour les capturer à l'aide de sa bouche tubulaire.
Les Ridens, Boulogne-sur-Mer (62), 20 m
21/10/2006
Hippocampe provençal
A l'embouchure du Var, en milieux sablo-vaseux, les hippocampes abondent. Celui-ci porte des filaments dermiques particulièrement développés et encombrés de "salissures".
Eglise de Cagnes/mer (06), 7 m
21/09/2007
Tout rouge
Coloration rouge, assez inhabituelle, qui montre les grandes capacités mimétiques de l'Hippocampus hippocampus. Cet individu a été prélevé au cours d'une pêche à pied le temps de la photo et a été relâché aussitôt.
Agon-Coutainville (50) sur l'estran, au plus bas d'une grande marée
21/02/2011
Colonisé
Cet hippocampe semble victime de la prolifération des moules ce printemps. Incapable de se nettoyer lui-même, ni de muer, il devrait souffrir rapidement de cette colonisation quand les moules vont grossir.
Chez Hortense, Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 10 m
12/06/2011
Dans l'Escaut oriental
Les hippocampes sont rares en Zélande. Ils se retrouvent sur des sites bien particuliers où les plongeurs ont planté des tiges de bambous pour faciliter la reproduction des seiches. Leur taille n'est que de quelques centimètres.
Oesterdam, Tholen, Zélande, Pays-Bas
29/08/2022
Gravure ancienne
Gravure extraite de l'Histoire naturelle des poissons, Allgemeine Naturgeschichte der Fische, de Marcus Élieser Bloch, Tome 5 Naturgeschichte Ausländischer Fische, 1786.
Cette référence provient de la Biodiversity Heritage Library. Elle est utilisable librement sous réserve de citer la source.
N/A
Reproduction de documents anciens
1786
Vidéo : hippocampe à museau court timide
Il a fallu beaucoup de patience pour que ce petit hippocampe (5 cm maximum) se laisse filmer de face.
Etang de Berre (13), Petit port de Marignane, 2 m
18/07/2020
Rédacteur principal : Michel BARRABES
Vérificateur : Denis ADER
Correcteur : Patrick LOUISY
Responsable historique : Michel BARRABES
Responsable régional : Sylvie DIDIERLAURENT
Curtis J.M.R., 2006, A case of mistaken identitiy : skin filaments are unreliable for identifying Hippocampus guttulatus and Hippocampus hippocampus, Journal of Fish Biology, 69, 1855-1859.
Rothan F., 2003, PLANETE HIPPOCAMPE, Océanorama on line, ed. Institut Océanographique Paul Ricard.
La page sur Hippocampus hippocampus sur le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase
La page de Hippocampus hippocampus dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN