Taille maximale documentée 30 cm, communément rencontrée : 20 cm
Tête pointue avec de grands yeux
Tiers supérieur du corps gris à brun avec 5 à 6 lignes blanches
Deux tiers inférieurs blancs avec 1 bande ocre et 4 lignes jaunes
Large tache jaune d’or sous la partie postérieure de la dorsale
Base des pectorales jaune vif, caudale fourchue
Capitaine strié, carandine, perche à lignes d'or, perche d'or
Spare rayé d’or : nom commun donné à l’espèce par son descripteur, Lacépède, en 1802
Glowfish, glowspot sea-bream, gold striped bream, gold-lined sea bream, gold-spot bream, gold-spot emperor, goldlined emperor, goldspot seabream, large-eye bream, striped large-eye bream, yellowspot emperor (GB), Emperador estriado (E), Stribet storøjebrasen (Danemark), Pasnik srebrzysty (Pologne), Ladrão imperador (Mozambique), Sanga, tsanga (Comores), Glimvis (Afrique du Sud), Mempinang, mempasir, dalu-dalu (Malaisie), Baganga, bilanson, gapas-gapas, giding, katambak, kirawan, madas, batukut, bitilya (Philippines), Mumu, tolai (Samoa), Maene (Tahitien, Polynésie française)
Sparus aureolineatus Lacepède, 1802
Dentex lycogenis Bennett, 1831
Gnathodentex oculomaculatus Herre, 1935
Indo-Pacifique
Zones DORIS : ● Indo-PacifiqueL’espèce est présente dans les zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest et centre.
Dans l’océan Indien, on la trouve du nord de l’Afrique du Sud à la Thaïlande, en passant par Madagascar, les Mascareignes*, les Maldives et l’Inde.
Dans l’océan Pacifique, elle se rencontre du sud du Japon aux côtes orientales de l’Australie, sa distribution vers l’est allant jusqu’à l’île de Pâques.
Gnathodentex aurolineatus est un poisson démersal* côtier fréquentant les zones coralliennes des lagons* et des pentes externes. Sa distribution verticale va de 1 à 30 mètres.
Description succincte : poisson-empereur pouvant mesurer jusqu’à 30 cm, de couleur grise à brune rayée de blanc dans le tiers supérieur du corps, et blanche rayée de jaune dans les deux tiers inférieurs. Une large tache jaune d’or est présente sous la partie postérieure de la dorsale. La tête est pointue avec de grands yeux. Les nageoires impaires portent un liseré rose à rouge. La nageoire caudale est fourchue. Il existe une livrée brun-rouge foncé effaçant les autres couleurs du corps.
Description détaillée :
Le corps est fuselé et comprimé latéralement. Sa hauteur (distance calculée à l’aplomb du troisième rayon dur de la dorsale) entre environ 2,3 à 2,8 fois dans sa longueur standard (longueur sans la queue). La taille maximale documentée est de 30 cm, la taille communément rencontrée est de 20 cm.
Le tiers supérieur du corps (au-dessus de la ligne latérale*, qui est généralement visible) est gris à brun avec 5 à 6 lignes longitudinales d’un blanc argenté créées par une tache claire présente au milieu de chaque écaille. Ces lignes s’arrêtent sur une large tache jaune d’or formant une selle*. Celle-ci rejoint la ligne latérale sous la partie postérieure de la dorsale et marque le début du pédoncule* caudal. Cette tache caractéristique de l’espèce est marquée en son centre par un motif en amande d’un blanc lumineux, qui peut devenir gris acier à bleuté. Deux ou trois lignes blanches en pointillés ornent la partie supérieure du pédoncule caudal derrière cette tache.
Dans les deux tiers inférieurs du corps la couleur dominante est blanc argenté. Une ligne blanche, plus large que celles qui se trouvent sur le dos, commence derrière l’opercule*, sous la ligne latérale, et s’achève en rétrécissant à l’aplomb du 8e ou 9e rayon dur de la dorsale. Lui succède une bande ocre jaune plus large qui commence derrière l’opercule et s’achève en rétrécissant à l’aplomb de la fin de la dorsale. Sous cette bande se distribuent 4 rayures jaunes largement espacées. La largeur de ces lignes rétrécit progressivement de la première à la quatrième, et toutes s’affinent en progressant vers le pédoncule caudal..
La tête est de taille moyenne (sa longueur entre environ 3,4 fois dans la longueur standard). Son profil dorsal est légèrement convexe entre l’espace interorbitaire et la bouche. Le museau est pointu, avec des lèvres charnues. Les deux paires de narines sont rondes et très proches l’une de l’autre ainsi que des yeux. L’œil est de grande taille (son diamètre entre environ 2,8 fois dans la longueur de la tête). Le préopercule* est vertical et forme un angle presque droit en bas des joues. Une large plaque au bord denticulé couvre sa partie antérieure derrière l’œil et dessine un arc de cercle, pour s’achever peu avant le bout du museau. Cette plaque et la partie supérieure de la tête ne portent pas d'écailles.
Les couleurs de la tête prolongent celles du corps : grise à brune de la pointe du museau à la nuque, blanc argenté en dessous. L’iris* est argenté avec un arc de cercle jaune plus ou moins grisé dans sa partie supéro-postérieure. Une tache jaune marque les bords de la pointe du museau et se prolonge sur la lèvre supérieure jusqu’au-delà de la commissure. Le bord postérieur du préopercule et celui de l’opercule sont discrètement surlignés de jaune.
La dorsale épineuse dessine un arc de cercle, ses membranes sont échancrées ; l’extrémité de la dorsale molle est arrondie. La moitié inférieure des membranes porte une discrète marque oblongue grisée à rougissante, à laquelle succède une bande blanche et un assez large liseré rouge.
La nageoire anale, symétrique de la dorsale molle, présente les mêmes couleurs qu’elle.
La caudale est fourchue. Les rayons extérieurs et l’extrémité des membranes sont généralement rosés à rougeâtres.
Les pectorales et les pelviennes sont pointues, leurs rayons sont discrètement rosés. La base des pectorales est jaune vif, sa surface interne est sans écailles.
Il existe une livrée brun-rouge foncé dans laquelle toutes les couleurs peuvent brunir jusqu’à disparaître, y compris la tache jaune d'or sous la partie arrière de la dorsale. Cette livrée, souvent adoptée par les juvéniles, semble destinée à rendre les individus plus discrets.
La livrée de stress est caractérisée par un camouflage disruptif* (destiné à brouiller la perception de la forme de l’intéressé). Il consiste en un assombrissement de la couleur de fond, accompagné par des motifs transversaux clairs répartis asymétriquement de part et d’autre de la ligne latérale. Il y a notamment une barre blanche entre les yeux, une autre en forme de diadème sur la nuque et un anneau blanc autour du pédoncule caudal.
La livrée de nuit reprend ce patron de couleurs et peut le durcir jusqu’au noir et blanc, avec estompage des couleurs des nageoires. Mais elle peut aussi être moins contrastée, auquel cas les zones rouges et blanches des nageoires présentent des couleurs vives.
La livrée des juvéniles est la même que celle des adultes. Les différences majeures tiennent à un corps plus élancé et des yeux proportionnellement plus grands que chez les adultes.
La livrée de Gnathodentex aurolineatus rend improbable une confusion avec une autre espèce, notamment du fait de la large tache jaune d’or présente sous la partie postérieure de la dorsale molle.
L’espèce est carnivore. Elle se nourrit la nuit, principalement d’invertébrés benthiques*, notamment de crabes et de gastéropodes, et occasionnellement de petits poissons.
La biologie de la reproduction n’a pas été documentée pour cette espèce à la date de publication de cette fiche (mars 2023), à notre connaissance. De nombreuses espèces de Lethrinidés sont connues pour être hermaphrodites* protogynes* monandriques* (ce qui signifie que tous les individus naissent femelles et que certains d’entre eux deviendront des mâles). Par ailleurs, un hermaphrodisme juvénile précoce (cas des espèces gonochoriques* dont les juvéniles ont une phase hermaphrodite) est documenté chez certaines espèces, comme Lethrinus nebulosus. Enfin, il s’en trouve au moins une (L. atkinsoni) qui manifeste l’une ou l’autre de ces deux stratégies de reproduction en fonction de la taille des populations.
Il est donc impossible de généraliser.
La vie pélagique* des larves* de Gnathodentex aureolineatus a été étudiée à La Réunion à partir des otolithes* de spécimens capturés à l’occasion de la colonisation* de récifs artificiels dans la baie de Saint Paul par plusieurs milliers d’individus (Pothin et al. 2006). La colonisation a eu lieu pendant la période de pleine lune. La durée de vie larvaire a été estimée à 40,0 ± 2,5 jours (la durée moyenne calculée pour les Lethrinidés est de 35,8 jours). La ponte a eu lieu en saison chaude quelques jours avant la nouvelle lune. La longueur standard (longueur sans la queue) estimée à l’éclosion est de 1,62 ± 0,79 mm et la croissance pendant la phase pélagique est de 1,4 ± 0,2 mm par jour. La taille à la colonisation était de 48,1 ± 1,2 mm. Une autre étude montre que la taille à l’installation sur les récifs de l’île proprement dits est de 80 mm, ce qui permet de supposer que les récifs artificiels de la baie de Saint Paul servent de nursery aux post-larves.
Gnathodentex aurolineatus se mêle parfois à des bancs composés de préférence par des espèces à bandes ou raies jaunes, comme Lutjanus kasmira ou Mulloidichthys vanicolensis, probablement pour mieux se fondre dans le banc et bénéficier de sa protection.
L’espèce se rencontre le jour en bancs plus ou moins denses et généralement peu mobiles. Les individus se dispersent la nuit pour se nourrir. Ce comportement de repos diurne en banc est pratiqué par d’autres espèces qui se nourrissent la nuit (par exemple certaines espèces de poissons capucins).
La dentition de Gnathodentex aureolineatus consiste en une rangée de dents coniques de part et d’autre de chaque mâchoire, avec quatre canines à leur extrémité antérieure. Ces dents sont bordées vers l’intérieur par de nombreuses petites dents villiformes*.
La nageoire dorsale comprend 10 rayons durs et 10 rayons mous, l’anale a 3 rayons durs et de 8 à 10 rayons mous. La nageoire pectorale possède 15 rayons. La ligne* latérale comprend de 68 à 74 écailles.
L’espèce est susceptible de transmettre la ciguatera*.
Le statut de l’espèce pour l’UICN* est LC (Least Concerned, traduit par « Préoccupation mineure »), ce qui signifie que les informations recueillies sur l’espèce ne permettent pas de la classer dans les autres catégories, notamment dans les trois qui alertent sur une menace (CR : en danger critique d’extinction, EN : en danger, VU : vulnérable). En fonction de quoi elle n’est pas actuellement concernée par des mesures de protection.
Empereur : le nom commun d’empereur est souvent associé aux espèces de la famille des Lethrinidés. L’origine de cette coutume ne semble pas établie. Une hypothèse est qu’elle serait liée à l’excellence de la chair de ces poissons, qui les rendrait dignes d’une table impériale.
Le nom de capitaine est aussi employé dans les noms communs de Lethrinidés, G. aurolineatus inclus (« capitaine strié »).
strié : en référence aux quatre lignes jaunes qui marquent les flancs de ces poissons.
Gnathodentex : du grec [gnathos], qui signifie mâchoire, et [dentex], nom latin d’un poisson non identifié formé sur le nom [dens, dentis], qui signifie dent. Dentex est par ailleurs le nom d’un genre créé par Cuvier en 1814. Bleeker crée le genre Gnathodentex en 1873 dans Mededeelingen omtrent eene herziening der Indisch-Archipelagische soorten van Epinephelus, Lutjanus, Dentex en verwante geslachten pour isoler une espèce du genre Pentapus (actuellement Pentapodus), proche des Dentex de Cuvier, créé par Valenciennes en 1830. Dans un article en français publié la même année (Révision des espèces de Dentex, Synagris, Gymnocranius, Gnathodentex et Pentapus de l’Inde archipélagique et du Japon, p. 49), Bleeker précise que le nouveau genre est caractérisé par « une crête dentelée le long de l’os susmaxillaire ». C’est cette crête qui motive le nom du genre.
Le genre est monotypique* (il ne comprend que cette espèce, qui est en conséquence l’espèce-type*).
aureolineatus : nom composé de l’adjectif latin [aureus], qui signifie « d’or », et de [lineatus] signifiant « rayé ». L’espèce est décrite par Lacépède en 1802 d’après les manuscrits de Commerson sous le nom scientifique de Sparus aureolineatus, et le nom commun de spare rayé d’or (Histoire naturelle des poissons, tome 4, p. 42). Il reprend la description en latin de Commerson (p. 132), qui mentionne un « spare rayé des deux côtés par des lignes longitudinales et dorées », d’où le choix de l’épithète spécifique.
La localité du type* n’est pas mentionnée.
Numéro d'entrée WoRMS : 218574
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Super classe | Osteichthyes | Ostéichthyens | Vertébrés à squelette osseux. |
Sous-classe | Neopterygii Teleostei | Néoptérygiens Téléostéens | Poissons à arêtes osseuses, présence d’un opercule, écailles minces et imbriquées. |
Ordre | Eupercaria (incertae sedis) | ||
Famille | Lethrinidae | Lethrinidés | Gros poissons carnivores côtiers (dont l’aspect est proche de celui des Lutjanidés), aux lèvres épaisses, aux mâchoires puissantes et aux joues sans écailles. La nageoire dorsale porte 10 épines et 9-10 rayons mous et l'anale 3 épines et 8-10 rayons mous. |
Genre | Gnathodentex | ||
Espèce | aureolineatus |
Perche d'or
L’un des noms communs de l’espèce est « perche d’or », probablement du fait de la couleur dorée des lignes jaunes qui marquent les flancs (d'où le nom INPN plus précis de « perche à lignes d'or »), et sans doute surtout à cause de la large tache jaune d’or marquée de blanc sous la fin de la dorsale, toujours plus lumineuse que les lignes jaunes.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
25/03/2018
Livrée brun-rouge
Les couleurs habituelles sont susceptibles de devenir brun-rouge, y compris celles de la tache jaune présente sous la fin de la dorsale.
Cette livrée est différente de la livrée de stress mais semble, comme elle, destinée à rendre le poisson plus discret.
Passe en S, Mayotte (976), océan Indien, 17 m
10/05/2012
Tête
Le museau est pointu et l’œil est de grande taille. Notez la plaque aux bords denticulés qui entoure l’œil ainsi que la base jaune vif de la pectorale.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
05/06/2021
Ligne latérale
Les écailles perforées de la ligne latérale sont généralement visibles. Quand ce n’est pas le cas, la différence du patron de couleurs entre le tiers supérieur du corps et ses deux tiers inférieurs permet de situer cette ligne latérale, puisqu’elle délimite leur répartition.
Notez les taches d’un blanc plus ou moins prononcé au centre des écailles du tiers supérieur : elles forment des lignes pointillées mais apparaissent de loin comme des lignes continues.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
21/06/2021
Livrée de stress
La livrée de stress est caractérisée par un camouflage disruptif censé brouiller la perception de la forme de l’individu pour un prédateur, mais elle peut aussi résulter d’une situation conflictuelle avec les congénères les plus proches. On retrouve des formulations diverses de ce type de livrée chez de nombreuses espèces.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
18/05/2011
Livrée nocturne
A. La livrée nocturne reprend le patron de la livrée de stress en y ajoutant une saturation des couleurs des nageoires.
B. Quand l’individu est fortement stressé, ce patron est durci jusqu’au noir et blanc avec estompage des couleurs des nageoires.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT, de nuit
A = 14/10/2011 & B = 24/11/2010
Juvénile
La livrée des juvéniles est la même que celle des adultes, mais leur corps est plus fin et leurs yeux sont proportionnellement plus gros.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
14/12/2016
Biotope
Cette espèce fréquente notamment les zones coralliennes, à l'intérieur des lagons comme sur les pentes externes du récif. Ou entre les deux, comme Ici dans une passe reliant le lagon mahorais à l'océan Indien.
Sa distribution verticale va de 1 à 30 mètres.
Notons la couleur plus sombre, presque brune, de certains individus.
Passe en S, Mayotte (976), océan Indien, 12 m
18/02/2012
A la station de nettoyage
Cette station de nettoyage est occupée par un nettoyeur à queue jaune (Labroides bicolor) très affairé devant la foule des « clients » qui s’y presse. Outre des empereurs striés G. aureolineatus, on y trouve des capucins Mulloidichthys flavolineatus et M. vanicolensis, dont un en livrée rouge.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
22/05/2021
En banc
L’empereur strié forme en journée des bancs qui peuvent compter jusqu’à plus de 100 individus.
Les individus se dispersent la nuit pour se nourrir.
Passe en S, Mayotte (976), océan Indien, 7 m
10/05/2012
Distribution : à Mayotte
Ces jeunes individus sont photographiés sur la barrière nord de Mayotte.
Barrière nord, Mayotte (976), océan Indien, 1,5 m
25/03/2018
Distribution : à La Réunion
Cette espèce bien connue des plongeurs est un poisson démersal côtier qui fréquente les zones coralliennes des lagons et des pentes externes (comme ici), ouvertes sur le large.
La Saline-les-Bains, La Réunion (974), océan Indien, 10 m
23/04/2011
Distribution : à Maurice
L’espèce est présente dans les Mascareignes. Ce groupe mauricien rejoint un groupe de Mulloidichthys vanicolensis... à moins que ce ne soit l’inverse ?
Île Maurice, océan Indien, 16 m
25/03/2017
Distribution : aux Maldives
Ce petit groupe nageant au milieu d’alcyons a été rencontré sur le site de Lhamiyaruga Thila, situé dans la partie nord de l’atoll Ari, composé de 82 îles. Cet atoll se trouve à l’ouest de celui qui héberge la capitale des Maldives, Malé.
Lhamiyaruga Thila, Ari Atoll, Maldives, océan Indien, 20 m
03/02/2012
Distribution : en Thaïlande
Un individu isolé rencontré sur le site de plongée de Shark Fin Reef, dans les îles Similan. Cet archipel est situé dans la mer d’Andaman, au large des côtes thaïlandaises.
Shark Fin Reef, Archipel des Similan, Thaïlande, mer d'Andaman, océan Indien, 15 m
21/02/2017
Distribution : en Indonésie
Cette photo est prise dans les eaux des îles Banda, archipel indonésien situé dans la mer du même nom et appartenant à la province des Moluques.
Notez à nouveau la présence de Mulloidichthys vanicolensis dans ce petit groupe
Mer de Banda, Indonésie, océan Pacifique, 10 m
16/03/2016
Distribution : en Nouvelle-Calédonie
L’espèce est présente dans le Pacifique jusqu’à l’île de Pâques.
Ces individus néo-calédoniens ont été photographiés au large de Boulouparis, commune de la côte ouest de la Grande Terre dans la Province sud de l’île.
Boulouparis, Nouvelle-Calédonie (988), océan Pacifique, 5 m
04/01/2021
Rédacteur principal : Philippe BOURJON
Vérificateur : Alain-Pierre SITTLER
Responsable régional : Alain-Pierre SITTLER
Carpenter K.E., Allen G.R., 1989, Emperor Fishes and Large-Eye Breams of the world (Family Lethrinidae): An annotated and illustrated catalogue of Lethrinid species known to date, FAO Fisheries Synopsis, 125(9), 14-18.
Ebisawa A., 1999, Reproductive and sexual characteristics in five Lethrinus species in waters off the Ryukyu Islands, Ichthyological Research, 53, 269-280.
Pothin K., Tessier E., Chabanet P., Lecomte-Finiger R., 2006, Traits de vie et croissance larvaire de Gnathodentex aurolineatus (Lethrinidae) avant et après installation dans une baie de l’île de La Réunion (SO océan Indien), Cybium, 30(1), 27-33.
Young P.C., Martin R.B., 1982, Evidence for protogynous hermaphroditism in some lethrinid fishes, Journal of Fish Biology, 21(4), 475-484.
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La page sur Gnathodentex aureolineatus sur le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase
Les pages de Gnathodentex aureolineatus dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN