Longueur maximum : 7,50 m, en moyenne : 4,50 m
Poids maximum : 1 300 kg, en moyenne : 650 kg
Adulte blanc à partir de 4 et 6 ans
Melon très bombé sur la tête
Présence de lèvres marquées, mobiles
Absence d'aileron dorsal prononcé
Nageoires caudale et pectorales très caractéristiques
Baleine blanche, marsouin blanc, canari des mers
Beluga whale (GB), Ballena blanca (E), Goldfinho branco (P), Witte dolfjin (H)
Delphinus leucas, Pallas, 1776
Delphinapterus beluga, Lacépède, 1804
Estuaire et golfe du St Laurent, océans Arctique et Subarctique
Zones DORIS : ● Atlantique Nord-OuestLe béluga vit à la périphérie du Pôle Nord. Il vit essentiellement dans les zones arctique et subarctique, à l'exception de certaines populations coupées de leur habitat d'origine comme celles de l'estuaire du Saint-Laurent et du fjord du Saguenay, au Canada. À l'automne, on retrouve ces populations dans la région de l'île aux Coudres et de Kamouraska, à l'ouest, et aux Escoumins et à l'île aux Basques, à l'est. En hiver, on les retrouve dans la région de Pointe-des-Monts et de Sainte-Anne-des-Monts.
Les migrations saisonnières des bandes de bélugas sont irrégulières : elles sont assujetties au mouvement des glaces. Par exemple, les troupeaux qui fréquentent les détroits de Lancaster et de Barrow au sud du 75ème parallèle font route vers l'est lorsque les glaces se reforment à l'automne. Ils traversent alors le détroit de Davis pour passer l'hiver en mer de Baffin sur la côte orientale du Groenland.
Les migrations des bélugas sont donc importantes. L'été, l'automne, l'hiver et le printemps, ils ne se trouvent jamais au même endroit. On le trouve également le long des côtes de l'Alaska, de la Russie, de la Norvège.
Le béluga vit surtout dans les mers froides. C'est une espèce côtière familière des baies et des estuaires peu profonds. Son habitat estival se caractérise par la présence d'eaux peu profondes, saumâtres ainsi que de fonds sableux ou boueux.
Le béluga peut plonger à des profondeurs de 400 à 800 m. La plongée la plus profonde relevée pour un béluga mâle dépasserait 1000 m.
Les mâles sont plus grands que les femelles. Ils peuvent atteindre jusqu'à 7,50 m et peser de 650 kg à 1,5 tonnes.
La taille des femelles varie de 3 m à 4,50 m.
À la naissance, les petits mesurent 1,50 m et ont une coloration foncée couleur café au lait qu'ils perdront à l'âge adulte. Par la suite, ils deviendront plus bleutés, voire gris bleu. Ils deviendront blancs vers l'âge de 4 à 6 ans.
La tête est relativement petite par rapport au reste du corps, massif, mais reste imposante du fait du melon massif situé en avant du crâne. Le melon est plus ou moins accentué et contient de l'huile dont la fonction divise encore certains chercheurs.
Contrairement à la plupart des cétacés, la tête est mobile car les 7 vertèbres cervicales ne sont pas soudées ensemble. Seul le narval Monodon monoceros., proche cousin du béluga appartenant comme lui aux monodontidés, a cette même capacité. L'orifice unique de l'évent (point commun aux Odontocètes) est situé sur la partie antérieure du dessus de la tête; lorsqu'il est fermé, il a la forme d'un croissant.
L'œil est petit et circulaire. Il est protégé par des paupières inférieures et supérieures très robustes. L'orifice auditif est situé en retrait des orifices oculaires.
Les dents sont souvent recourbées. La mâchoire supérieure compte de 16 à 22 dents et la mâchoire supérieure en compte de 16 à 18. Les dents sont très belles en avant.
Le béluga possède la faculté de faire jouer ses muscles faciaux, notamment lors de l'émission de ses vocalises. Cette capacité lui vaut une image « sympathique » car donnant l'impression qu'il « sourit ».
Les nageoires pectorales sont caractéristiques : spatulées et recourbées vers le haut. L'aileron dorsal est absent et est remplacé par une ligne fibreuse dure que l'on appelle crête dorsale. La nageoire caudale présente une profonde encoche médiane. Elle est large et son bord de fuite est en forme d'accolade. La peau est relativement mince, elle mesure entre 5 et 12 mm. Elle est lisse, douce, caoutchouteuse et généralement plissée, notamment pour les populations arctiques.
Des confusions sont possibles avec les jeunes narvals Monodon monoceros. En effet, les jeunes des deux espèces possèdent un certain nombre de points communs : taille, corpulence, habitat, et vertèbres cervicales non soudées. Cependant, ils ne sont que très rarement séparés des adultes à la robe très différente, ce qui rend la confusion sur le terrain très improbable. Les narvals possèdent une coloration sombre et non uniforme, ainsi qu'une série de protubérances sombres en guise d'aileron dorsal.
Ce mammifère marin se nourrit de certains poissons benthiques comme l'anguille, le capelan, l'éperlan arc-en-ciel, le lançon et la morue mais également de crustacés et de céphalopodes comme les calmars et les pieuvres. Le béluga peut manger 25 kg de capelans par jour. Ces proies sont très voisines de celles du narval Monodon monoceros, avec qui il partage les zones de chasse.
Lorsqu'il regagne ses quartiers d'hiver, le béluga des eaux arctiques se nourrit énormément de morues polaires.
En captivité, le béluga consomme en moyenne de 10 à 15 kilogrammes de nourriture par jour.
La maturité sexuelle du béluga est atteinte vers l'âge de 5 et 8 ans. L'accouplement a lieu au printemps. La gestation dure en tout 14 mois et la mise bas se produit en été, là où l'eau est plus chaude, et généralement dans les fjords peu profonds. Le bébé est allaité par sa mère pendant 2 ans, ce qui veut dire que la femelle nourrit son petit jusqu'à sa prochaine gestation. Elle a donc un petit tous les 36 mois environ. Le nouveau-né pèse 80 kg et mesure de 1,5 à 1,6 m, soit environ 1/3 de la taille d'un adulte. Sa taille s'accroît de 55 cm la première année, de 35 cm la deuxième et de 25 cm la troisième, et elle continue de s'accroître jusqu'à la huitième année pour les femelles et jusqu'à la dixième année pour les mâles. Il est très difficile de distinguer en surface un mâle d'une femelle. Cette distinction est possible sur un spécimen échoué : le pénis du mâle est courbé et rétracté dans une gaine en forme de S. Chez la femelle, les organes sont internes et les orifices génitaux, anal et mammaires sont très rapprochés contrairement au mâle.
Il partage les zones de chasse du narval Monodon monoceros. Au Québec, un jeune narval évolue depuis l'été 2016 dans l'estuaire du
Saint-Laurent et à l'embouchure du fjord du Saguenay parmi un groupe de
bélugas.
La lamproie marine Petromyzon marinus peut se fixer sur son corps.
La longévité de cet animal est à peu près de 30 à 35 ans.
On distingue mal son souffle qui est court (1 m maximum) mais il s'entend très bien par temps calme.
Le béluga fait preuve d'une grande discrétion dans ses déplacements : il nage de façon élégante et fluide et il ne saute pratiquement jamais. Le béluga ne nage pas très vite, sa vitesse moyenne est de 9 à 11 km/h. Toutefois, il est capable de nager à une vitesse qui atteint près de 37 km/h. Ce nageur lent a une séquence de nage caractéristique : il sort le haut de la tête et l'on voit ensuite défiler le reste de son corps blanc. Son volume de sang est le double de celui des animaux terrestres de taille semblable, et ses cellules sanguines absorbent dix fois plus d'oxygène. Ses muscles emmagasinent l'oxygène, et son appareil circulatoire est constitué d'un réseau de valvules et de réservoirs qui, lors de longues plongées, approvisionnent en sang frais le cerveau sensible au manque d'oxygène. La faible sensibilité des cétacés à l'accumulation de gaz carbonique et la grande capacité de ses muscles à fonctionner avec peu d'oxygène constituent d'autres adaptations pour la plongée. La durée de ses apnées varie entre 5 et 15 minutes. Les prédateurs du béluga sont principalement Ursus maritimus l'ours polaire, Odobenus rosmarus le morse, Orcinus orca l'orque et, naturellement, l'homme.
Le béluga peut également, dans des circonstances exceptionnelles, se retrouver prisonnier des glaces et périr asphyxié.
Au cours de sa période de migration, il se constitue une épaisse couche de graisse qui lui sert à la fois d'isolant et de grande réserve d'énergie. Cette couche peut avoir une épaisseur variant de 2 à 9 cm. Elle peut atteindre 27 cm chez les très gros spécimens.
Le melon* est un organe ovale présent chez de nombreux odontocètes, il est situé au niveau du "front", et constitué d'huile, de muscles et de cavités, par lesquelles sont supposées être amplifiés les signaux de l'écholocation*.
Nous pouvons trouver cet animal en groupe de deux à vingt-cinq individus, ou encore en bandes composées de plus d'une centaine d'individus.
C'est un animal très curieux, c'est pourquoi il sort souvent la tête de l'eau en captivité. Il existe à peu près de 50 000 à 70 000 bélugas dans le monde. Il y en a au moins 30 000 qui fréquentent les eaux de l'Amérique du Nord. Entre 600 et 1200 individus fréquentent le Saint-Laurent. Les sons qu'il produit sont émis à partir de son larynx et lui permettent de disposer d'un excellent système d'écholocation. À l'aide de ce formidable outil, il peut passer des eaux peu profondes des estuaires, où les risques d'échouage sont grands, aux grandes failles des détroits. La précision de ce moyen de détection lui permet de retrouver l'air libre lorsqu'il chasse sous les glaces. La pollution du Saint-Laurent est une véritable menace. Une mère contaminée par les produits organochlorés et les métaux lourds hautement toxiques contenus dans le fleuve donnera naissance à un petit qui présentera un taux de concentration en produits toxiques supérieur au sien. Elle le nourrira de ce fait d'un lait nocif jusqu'à ce qu'il puisse se nourrir lui-même et, ainsi, s'intoxiquer seul en consommant des produits contaminés. Le fait que les bélugas adultes se nourrissent notamment en fouillant les fonds vaseux du St-Laurent est en effet, une source de contamination supplémentaire : il « remue » alors les contaminants qui pourraient s'y être accumulés. De nombreuses pathologies dues aux polluants sont observées chez les bélugas du St-Laurent : cancers, hermaphrodismes, immuno-dépression… Cette étonnante « sensibilité » aux polluants par rapports aux autres êtres vivants du St-Laurent s'explique simplement par leur position quasi-terminale dans la pyramide trophique du fleuve. Selon des statistiques récentes sur 1000 bélugas fréquentant le Saint-Laurent, environ 20 sont retrouvés morts et autopsiés chaque année !
Le béluga du Saint Laurent a un statut d'espèce en voie de disparition depuis novembre 2014. Ce statut a été accordé par le Comité canadien sur le statut des espèces menacées. Il est est protégée en vertu de la Loi sur les espèces en péril (LEP) du gouvernement fédérales canadien. Cette loi interdit de l'approcher.
Historiquement, le béluga était chassé au Québec par les Amérindiens. Il a été chassé par les colons de la Nouvelle-France du 18ème siècle à la moitié du 20ème siècle pour son huile, sa viande et sa peau. La chasse a été officiellement interdite en 1979 dans le St-Laurent, en vertu de la Loi fédérale sur les pêches.
Les Inuits du Nunavik (province du Québec) le chassent depuis près de 3000 ans. Cette chasse a été indispensable à la survie de ces hommes. Ils chassent le béluga au harpon et à la carabine exclusivement pour se nourrir. Depuis 1990, des limites fixées sous forme de quotas sont imposées pour chaque village. Ces quotas sont mis en place et adoptés en coopération avec le ministère fédéral Pêches et Océans Canada. En 2008, les Inuits du Nunavik ont cependant souhaité voir augmenter de 204 à au moins 300 prises par année ces quotas sur les côtes du Grand-Nord québécois. Lors de la dernière saison de chasse, 249 bélugas ont été prélevés, soit 45 de plus que le quota prévu. Huit communautés ont été déclarées délinquantes. Les Inuits estiment qu'il y aurait suffisamment de bélugas pour éliminer les quotas. Selon eux, il y aurait plus de bélugas au large du Nunavik qu'ailleurs au Canada. Ces propos laissent présager de nombreuses discussions entre les Inuits et le ministère fédéral Pêches et Océans Canada. On estime que de nos jours, environ 1000 bélugas sont capturés chaque année dans le monde.
Béluga signifie « blanc » en Russe (« bielouha »). Ses sifflements d'une fréquence élevée de 25 à 250 kHz et les autres petits bruits qu'il émet sont à l'origine de son surnom de canari des mers.
Du grec [delphinos] = dauphin, et du latin [a] = sans ; [pteron] = aile ; et [leukos] = blanc, littéralement dauphin blanc sans aile, pour désigner l'absence de nageoire dorsale.
Numéro d'entrée WoRMS : 137115
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Classe | Mammalia | Mammifères | Vertébrés possédant des poils et des glandes mammaires produisant du lait. |
Sous-classe | Theria | Thériens | La paroi latérale du crâne est constituée de deux os particuliers: l'alisphénoïde et le squamosal. |
Super ordre | Eutheria | Euthériens | Présence d'une dentition lactéale et d’un développement embryonnaire effectué entièrement dans l'utérus (mammifères placentaires). |
Ordre | Cetacea | Cétacés | Mammifères aquatiques possédant des nageoires à la place des pattes. Narines situées au sommet du crâne. |
Sous-ordre | Odontoceti | Odontocètes | Cétacés munis de dents fixées au rostre et à la mandibule, et d’un melon prononcé en avant du crâne. Un orifice unique, l’évent, au sommet du crâne. |
Famille | Monodontidae | Monodontidés | Tête ronde dépourvue de bec, vertèbres cervicales non soudées, permettant une certaine flexibilité du cou et autorisant des mouvements latéraux de la tête. Pas de nageoire dorsale. |
Genre | Delphinapterus | ||
Espèce | leucas |
Dauphin blanc
Comme toutes les "baleines à dents", le béluga est un Odontocète. Il est muni de dents fixées au rostre et à la mandibule, et d’un melon prononcé en avant du crâne. Un orifice unique, l’évent, se trouve au sommet de ce crâne et participe à la respiration.
Nimoglouba, Russie, mer Blanche
01/04/2014
Vue d'ensemble
Les mâles sont plus grands que les femelles. Ils peuvent atteindre jusqu'à 7,50 m et peser de 650 kg à 1,5 tonnes. La taille des femelles varie de 3 m à 4,50 m.
Les Escoumins, Québec, Canada
03/08/2002
Le melon et la caudale
Vue prise sous le zodiac. Remarquer l'encoche médiane et la forme d'accolade de la caudale, ainsi que la ligne fibreuse remplacant la dorsale.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada, 1 m
05/07/04
En groupe
Nous pouvons trouver cet animal en groupe de deux à vingt-cinq individus, ou encore en bandes composées de plus d'une centaine d'individus.
Les Escoumins, Québec, Canada
23/06/2003
Femelle et son jeune
À la naissance, les petits mesurent 1,50 m et ont une coloration foncée couleur café au lait qu’ils perdront à l'âge adulte. Par la suite, ils deviendront plus bleutés, voire gris bleu. Ils deviendront blancs vers l'âge de 4 à 6 ans.
Les Escoumins, Québec, Canada
19/06/2002
Nageoires pectorales
Les nageoires pectorales sont caractéristiques : spatulées et recourbées vers le haut.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada
03/08/2002
Crête dorsale
L’aileron dorsal est absent et est remplacé par une ligne fibreuse dure que l’on appelle crête dorsale.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada
23/06/2003
La caudale
La nageoire caudale présente une profonde encoche médiane. Elle est large et son bord de fuite est en forme d’accolade.
Les Escoumins, Québec, Canada
03/08/2002
Nage élégante
Le béluga fait preuve d’une grande discrétion dans ses déplacements : il nage de façon élégante et fluide et il ne saute pratiquement jamais.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada
23/06/2003
Instinct de curiosité
Cette photo de béluga a été prise le 3 novembre 2007 à Les Escoumins (fleuve Saint-Laurent). Nous étions seuls, mon copain Stéphane et moi, sur le site appelé « Crique ouest ». Nous sommes entrés à l’eau à l’étale de marée basse, à environ 15h00, en nous dirigeant vers la « Crique est » et en maintenant une profondeur moyenne de 55 pieds (18 mètres). Je prenais des photos de benthos alors que Stéphane cherchait des nudibranches. À peu près au moment de retourner sur notre chemin, j’aperçois un banc de petits poissons au-dessus de nos têtes. Tant bien que mal, j’essaie de déranger Stéphane pour lui montrer ces poissons, mais ils étaient partis lorsqu’il a regardé. Quelques secondes plus tard, deux bélugas se sont approchés de nous, un à environ 40 pieds et l’autre à seulement 15 pieds. Ils devaient suivre le banc de poissons. Un peu figé, j’ai tout juste eu le réflexe de lever ma caméra et prendre une photo du béluga arrêté devant moi pour quelques secondes. Les yeux sur les nudibranches, Stéphane n’a pas eu la chance de les voir, malheureusement. Une personne en surface nous a confirmé par la suite qu’il y avait un troupeau de bélugas qui nageaient près de la rive à peu près au même moment. Je me considère très privilégié d’avoir fait cette rencontre sous l’eau considérée comme exceptionnelle.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada, 18 m
03/11/2007
Fréquentation dans le Saint-Laurent
Entre 600 et 1200 individus fréquentent le Saint-Laurent.
Les Escoumins, Québec, Canada
03/08/2002
Duo sous-marin
Rencontre en milieu naturel, avec deux bélugas, moins farouches qu'à l'ordinaire.
Nimoglouba, Russie, mer Blanche
01/04/2014
Sous la glace
Ces deux animaux restent à portée de l'ouverture dans la glace, par laquelle ils viennent respirer à intervalles réguliers.
Nimoglouba, Russie, mer Blanche
01/04/2014
Parmi les kayakistes
Au "Paradis marin" à proximité de Les Escoumins, les kayakistes peuvent observer très facilement les bélugas, sans avoir même à rechercher le contact.
Les Escoumins, Québec, Canada
23/06/2003
Approche
Le zodiac est à l'arrêt. Très curieux, il est fréquent de les voir venir se frotter contre la texture d'embarcation comme celle d'un zodiac.
Les Escoumins, Côte Nord, Québec, Canada
05/07/04
Rédacteur principal : Mélody FEY
Vérificateur : Suzie CHAMBERLAND
Correcteur : Sophie BÉDEL
Responsable régional : Laurent FEY
Bussieres I., 2008, Les Inuits souhaitent une hausse des quotas, Journal Le Soleil, Québec Canada, 5 janvier 2008.
MPO., 2005, Évaluation du stock de béluga du Nord du Québec (Nunavik) (Delphinapterus leucas), Secrétariat canadien de consultation sci du MPO, Avis scientifique, 2005/020
MPO., 2014, Situation du béluga (Delphinapterus leucas) de l'estuaire du fleuve Saint-Laurent, Secrétariat canadien de consultation sci du MPO, Avis scientifique, 2013/07
MPO, 2017, Mise à jour de l'abondance du béluga (Delphinaterus leucas) et des morts signalées dans l'estuaire du fleuve Saint-Laurent, Secrétariat canadien de consultation sci du MPO, Avis scientifique, 2017/015
La page de Delphinapterus leucas dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN