Ventouse sur le dessus de la tête s’arrêtant au-dessus du milieu des nageoires pectorales
Bande longitudinale sombre bordée de blanc le long des flancs
Nageoires pectorales pointues
Pointe des nageoires dorsale, anale et caudale blanche chez les juvéniles
Nageoire caudale arrondie en forme d’éventail chez les juvéniles
Mâchoire inférieure proéminente
Adhère à un autre animal de grande taille (requin, raie, tortue) ou à la coque d’un navire et se laisse transporter
Rémora commun, rémora, rémora fuselé, pilote (Guyane), sucet (Guadeloupe)
Live sharksucker, remora, slender suckerfish (GB), Zicca (I), Guaicán, rémora rayada, pegatimón (E), Agarrador, pegador (P)
Espèce circumtropicale
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises], ○ [Méditerranée française], ● Atlantique Nord-Ouest, ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge], ● CaraïbesEcheneis naucrates est le rémora le plus abondant. Il se rencontre dans toutes les mers tropicales et subtropicales, sauf le long des côtes américaines de la zone Pacifique Est. Sa présence sur les côtes françaises métropolitaines est rare (une observation à Biarritz et une en Corse). Il est occasionnel dans la mer des Caraïbes, attesté en Guadeloupe, Martinique et en Guyane. Il est présent à La Réunion, Mayotte et en Nouvelle-Calédonie. Il a aussi été signalé au Canada.
Le rémora rayé évolue généralement entre 0 et 15 m de profondeur, parfois jusqu’à 30 m. On le rencontre en pleine eau, sur les récifs coralliens et dans les zones côtières peu profondes ou, bien sur, accroché à ses hôtes.
Echeneis naucrates peut atteindre 1 m environ et peser jusqu’à 2,3 kg. Il est généralement reconnaissable à sa bande longitudinale sombre (noire ou bleu foncé) bordée de blanc le long des flancs. Le ventre est blanc.
Le corps est très effilé et allongé mais les déplacements par ondulation du corps entier sont gauches et lents. La ligne latérale*, composée de capteurs très peu sensibles, s’étend jusqu’à l’extrémité du pédoncule* caudal.
La tête est aplatie avec un rostre* triangulaire. La partie supérieure de cette tête supporte une sorte de ventouse ou disque céphalique, permettant au rémora fuselé de se fixer sur d’autres animaux (requins, raies, poissons-lunes, tortues, mammifères marins) et parfois même sur des coques de bateau.
De forme ovale, ce disque adhésif est composé de 20 à 28 paires de lames transversales, dentelées et mobiles. Il résulte de la transformation de la première nageoire dorsale et s'étend jusqu’au milieu des nageoires pectorales. Les épines de la nageoire se sont muées en lamelles transversales, entourées d’une sorte de bourrelet ovale.
Les deux mâchoires sont dissemblables et n’ont qu’une très faible surface de contact.
La mâchoire inférieure est particulièrement proéminente et comporte de grandes dents dont la taille n’est pas uniforme. La mâchoire supérieure comporte de 3 à 4 rangées de nombreuses dents pointues et acérées de 2-3 mm de long chez les adultes.
La nageoire caudale du rémora fuselé est arrondie en forme d’éventail chez les juvéniles, souvent tronquée chez les adultes. Les nageoires dorsale et anale ont un peu la forme d’une faux : elles sont longues, sans épines, et plus hautes à l’avant. L’extrémité des nageoires dorsale, anale et caudale est d'un blanc qui s’estompe avec l’âge. La base de la nageoire anale est longue. Les nageoires pectorales sont pointues et peuvent être sombres.
Il existe 8 espèces d’Echeneidés, toutes présentes dans la zone Atlantique Ouest, dont 5 sont présentes en Méditerranée, 6 dans la zone ouest de l’océan Indien et 7 dans la zone Pacifique central Ouest.
Le rémora rayé est le plus grand des rémoras. Ses nageoires dorsale et anale sont plus longues que celles des autres espèces de rémoras. Les espèces des genres Remora et Remorina ont aussi des nageoires pectorales arrondies.
Echeneis neucratoides, le rémora queue blanche, est très ressemblant. Il se rencontre uniquement dans la zone Atlantique central Ouest, le golfe du Mexique et la Caraïbe. Sa présence est attestée en Guyane. Il présente une ligne longitudinale sombre bordée de larges bandes blanches. Ses nageoires dorsale et anale portent des liserés blancs.
Phtheirhichthys lineatus, le rémora grêle, est une espèce circumtropicale qui se rencontre en Atlantique Est de la zone tropicale à la Manche. Il est rare en Atlantique Ouest. Il mesure au maximum 76 cm et a une petite tête. Son disque céphalique est court, comporte de 9 à 11 lamelles et dépasse tout juste la base des pectorales. Ses nageoires dorsale et anale ont la même forme que celles du rémora fuselé (plus hautes à l’avant). Sa couleur est variable, et peut être uniforme ou comporter une bande longitudinale brune. Sa présence est attestée en Nouvelle-Calédonie.
Remora remora, le rémora vrai, est une espèce circumtropicale, présente en Méditerranée occidentale dont les côtes corses, l’Adriatique, et en Atlantique Est des côtes africaines aux îles Britanniques. On peut le rencontrer en Martinique, Guadeloupe, à Mayotte et à la Réunion. Il a un corps plus trapu, de 62 cm de longueur maximale. La nageoire caudale est fourchue chez les juvéniles et échancrée chez les adultes. Sa ventouse comporte entre 16 et 20 lamelles. Il est de coloration uniforme sombre avec de petites taches.
Remora brachyptera, le rémora des espadons, est une petite espèce circumtropicale océanique (maximum 40 cm), de couleur uniforme claire. Son disque céphalique est court. Il est accroché aux espadons, voiliers et marlins. Il est présent dans la zone occidentale ouest de la Méditerranée et l’Atlantique proche. Sa présence est attestée à La Réunion.
Remora australis, le rémora des baleines, est une espèce océanique de couleur uniforme brune, qui mesure 76 cm de longueur maximale. Il se rencontre sur les cétacés. Son disque céphalique est très allongé (dépasse largement le niveau des pectorales). C’est une espèce rare qui peut se rencontrer dans l’Atlantique tropical Est et Ouest, La Caraïbe et l’océan Indien. Sa présence est attestée à La Réunion.
Remora osteochir, le rémora des marlins, est une espèce circumtropicale océanique (maximum 45 cm) qui vit accrochée aux espadons, voiliers et marlins. Il est de couleur gris-noir. Son disque céphalique est long et dépasse le niveau des pectorales. Il est présent dans la zone occidentale sud-ouest de la Méditerranée (côtes africaines, Sardaigne, Sicile), l’Atlantique proche, l’océan Indien et le Pacifique. Sa présence est attestée en Nouvelle-Calédonie.
Remorina albescens, le rémora blanc, est une petite espèce circumtropicale océanique (maximum 33 cm) de couleur blanchâtre qui vit en général accrochée aux raies manta mais peut se rencontrer aussi sur des requins.Sa présence est attestée à La Réunion et en Nouvelle-Calédonie.
Il se nourrit des crustacés parasites de son hôte ou des restes alimentaires que celui-ci laisse échapper. Lorsqu’il est autonome sur les récifs coralliens, il capture ses proies en pleine eau (crabes, calmars, petits poissons).
Les juvéniles peuvent être assimilés à des poissons nettoyeurs et officient sur des poissons-perroquets.
Lorsqu’il est accroché à son hôte, le rémora rayé ne reste pas inerte ; au cours des déplacements de cet hôte, la bouche du rémora fonctionne comme un filtre et sa dentition développée retient des organismes planctoniques (larves*, œufs ...).
Les sexes sont séparés et la fécondation est externe. La ponte a lieu du printemps à l’été dans les eaux tropicales et en automne en Méditerranée. Des individus femelles disséqués ont montré que coexistent des gonades* à maturité translucides de 4 à 5 mm avec d’autres immatures opaques et plus petites, la ponte semble donc s’étaler dans le temps.
Une coquille épaisse et solide protège les œufs pélagiques* qui sont grands et sphériques. Lors de l’éclosion, les larves* mesurent entre 0,47 cm et 0,75 cm. Elles naissent avec un sac vitellin, leurs yeux ne sont pas encore pigmentés et leur corps n’est pas complètement formé. Pendant le développement de la larve, le disque adhésif va commencer à se former. De petites dents apparaissent sur la mâchoire supérieure et les grandes dents sur la mâchoire inférieure.
Le juvénile vit librement pendant un an jusqu’à ce qu’il atteigne 3 cm de longueur. A ce moment-là, il se fixera sur un poisson hôte. La maturité sexuelle est atteinte entre 3 et 5 ans. Au stade de maturité, on trouve les individus en eaux peu profondes, relativement chaudes.
Phorésie* : le rémora peut se fixer sur la peau de son hôte, dans sa bouche ou, si l’hôte est un poisson, dans les cavités qui abritent les branchies et ainsi se laisse transporter. Chaque espèce de rémora a un hôte privilégié qui le protège d’éventuels prédateurs. Il s’agit là d’un exemple typique de commensalisme* car le rémora tire bénéfice de sa relation avec son hôte, ce dernier n’en tirant ni préjudice, ni bénéfice tangible. A priori, le corps très fin et hydrodynamique du rémora fuselé n’occasionne aucune gêne à son hôte.
Le rémora peut être fixé sur le dos de l'hôte et se retrouve alors à l'envers...
La ventouse porte un léger sillon médian de chaque côté duquel sont placées par paires parallèles, les lamelles. Elles sont disposées en chevrons et séparées par des sillons lisses dont la surface l’emporte sur celle des chevrons. Chaque lamelle est garnie de dents en carde dirigées vers l’arrière du disque. Sur la partie antérieure du disque, proche de la première paire de lamelles, se trouve l’ouverture du système qui va permettre de faire fonctionner la ventouse. Ces lamelles mobiles créent une dépression permettant à l’animal de se maintenir sans effort à son hôte. En effet, cette ouverture est munie d’un clapet conique que termine une pointe osseuse. Ce clapet se rabat d’avant en arrière. Quand l’adhérence est parfaite, le clapet est rabattu et le poisson se laisse emporter. Dès qu’il veut retrouver la liberté de ses mouvements, le clapet est relevé, l’eau revient sous la ventouse, l’équilibre est rétabli et Echeneis naucrates peut nager librement.
Ce rémora se rencontre souvent nageant librement, contrairement aux autres espèces de la famille.
Echeneis naucrates n’a pas de vessie natatoire.
Les rémoras sont à l’origine de nombreuses légendes ; on racontait notamment que le bateau de l’empereur Caligula avait été brutalement arrêté par un de ces poissons. Des philtres à base de rémoras étaient préparés afin de ralentir le déroulement de la justice ou ramener des épouses volages...
La ventouse de rémora séchée a aussi été utilisée pour préparer des préparations médicinales.
Des rémoras attachés à une corde par leur appendice caudal ont été utilisés pour pêcher les tortues marines endormies en surface ou les poissons difficiles à pêcher. Une fois le rémora fixé sur la victime, il suffit de tirer sur la corde pour les ramener vers le bateau de pêche.
Il n’y a pas d’exploitation commerciale recensée des rémoras sauf pour Echeneis naucrates qui se capture facilement et figure parfois sur les marchés où il est commercialisé frais. Néanmoins, la consommation de sa chair peut provoquer des troubles tels que vomissements, diarrhées, urticaires, etc…
Rémora : du latin [remora] = retard, obstacle, celui qui retarde ou qui arrête,
Rayé : en rapport avec la bande noire bordée de lignes blanches sur la longueur du corps.
Fuselé : en rapport avec sa silhouette très allongée.
Echeneis : nom du rémora en latin, issu d'une racine grecque : qui arrête et retient les vaisseaux, selon la croyance antique. Selon Pline, la bataille d'Actium a été gagnée par un Rémora qui avait (...) stoppé la galère d'Antoine ! (Zool., t. 3, 1972, p. 1186 [Encyclopédie de la Pléiade]).
naucrates : dérivé du grec, signifie pilote ou conducteur de vaisseau, qui domine sur la mer.
Numéro d'entrée WoRMS : 126848
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Super classe | Osteichthyes | Ostéichthyens | Vertébrés à squelette osseux. |
Classe | Actinopterygii | Actinoptérygiens | Ossification du crâne ou du squelette tout entier. Poissons épineux ou à nageoires rayonnées. |
Sous-classe | Neopterygii Teleostei | Néoptérygiens Téléostéens | Poissons à arêtes osseuses, présence d’un opercule, écailles minces et imbriquées. |
Super ordre | Acanthopterygii | Acanthoptérygiens | Rayons épineux aux nageoires, écailles cycloïdes ou cténoïdes, présence d'une vessie gazeuse et pelviennes thoraciques ou jugulaires, sans être systématiquement présents, sont des caractères que l'on ne rencontre que chez les Acanthoptérygiens. |
Ordre | Perciformes | Perciformes | Nageoires pelviennes très rapprochées des nageoires pectorales. |
Sous-ordre | Percoidei | Percoïdes | Une ou deux nageoires dorsales dont les éléments antérieurs sont des épines aiguës. Nageoires pelviennes avec une épine, rayons mous. |
Famille | Echeneidae | Echeneidés | |
Genre | Echeneis | ||
Espèce | naucrates |
Vue longitudinale
La nageoire caudale est arrondie en forme d’éventail. Les nageoires dorsale et anale présentent de grandes similitudes et ont un peu la forme d’une faux. Les nageoires pectorales sont sombres et pointues. Le long des flancs, on remarque la bande longitudinale sombre (noire ou bleu foncé) bordée d’une ligne blanche côté dos. Le ventre est blanc.
Moalboal, île de Cebu (Philippines), 10 m
14/02/2008
Vue dorsale
On voit bien les nageoires pectorales pointues et le disque céphalique qui s'étend jusqu'au milieu des pectorales.
Sodwana Bay, Afrique du Sud, 15 m
31/03/2008
Détail de la tête
La partie supérieure de la tête supporte une sorte de ventouse ou disque céphalique, permettant au rémora rayé de se fixer sur d’autres animaux et parfois même sur des coques des bateaux. Les nageoires pectorales sont sombres et pointues.
St John's Reef (mer Rouge, Egypte), 15 m, de nuit
23/02/2010
Détail du disque céphalique
Sur cette photo, on voit le sillon médian de chaque côté duquel sont disposées par paires parallèles, les lamelles. Leur nombre varie de 20 à 28 ; elles sont disposées en chevrons et séparées par des sillons lisses. Chaque lamelle est garnie de dents en carde dirigées vers l’arrière du disque (on peut les apercevoir en zoomant la photo). Sur la partie antérieure du disque, proche de la première paire de lamelles, se trouve l’ouverture du système qui va permettre de faire fonctionner la ventouse. Ces lamelles mobiles créent une dépression permettant à l’animal de se maintenir sans effort à son hôte. On observe également la proéminence de la mâchoire inférieure sur la mâchoire supérieure.
St John's Reef (mer Rouge, Egypte), 15 m, de nuit
23/02/2010
Ventre blanc ivoire
Le ventre du rémora rayé est blanc ivoire sur toute son étendue. Cet individu est accroché sur un Diodon histrix.
Thaïlande, Koh Haa Lay, 17 m, de nuit
09/04/2010
Sans bandes latérales
Ces deux individus qui nageaient sous le bateau mesuraient entre 80 cm et 1 m de longueur. On note l'absence de bandes latérales sur les flancs. L'allure générale, le nombre (23) de lamelles de la ventouse et les pectorales pointues indiquent bien qu'il s'agit du rémora rayé.
Bélize, de jour, proche surface (entre deux et cinq mètres)
20/05/2018
Sur un napoléon
Un jeune rémora rayé sur un napoléon, Cheilinus undulatus.
Wadi Lahami (mer Rouge, Egypte), 20 m
01/12/2010
Sur une tortue
Les rémoras se fixent également sur la carapace des tortues.
Mer Rouge, 15 m
18/11/2010
Avec des requins
Les rémoras ne sont pas toujours fixés à leur hôte … mais ne les perdent pas de vue, et sont prêts à s’accrocher à tout moment (tête en bas) !!
Cuba, Santa Lucia, 22 m
14/08/2002
Sur un requin-léopard
Rémora accroché à la partie ventrale de ce requin léopard, Stegostoma fasciatum. On reconnait le rémora rayé à sa bande longitudinale sombre (noire ou bleu foncé) bordée de lignes blanches le long des flancs et à sa queue en forme d’éventail.
Thaïlande, 15 m
04/04/2010
Sur un autre rémora
Il n'y a pas de doute pour le petit qui est bien un rémora rayé. Le grand a une livrée qui fait penser à celle de Remora remora, cependant les caractéristiques du disque céphalique plaideraient plutôt pour un adulte d'Echeneis naucrates.
Mayotte, N'gouja, 2 m
30/05/2010
Sur un Doridien !
Ce rémora s'est pris d'un attachement passager pour un Doridien à la combinaison quelque peu fatiguée...
Dauin, Philippines, 26 m
27/04/2006
Sur un gaterin
Note du photographe: "Je suis restée longtemps à observer ce malheureux gaterin Plectorhinchus flavomaculatus, qui tentait désespérément de se débarrasser de ce jeune rémora rayé encombrant. Il tournait en rond en frôlant autant que possible les coraux qui bordaient la zone sableuse. Las, le rémora ne lâchait pas prise ou se raccrochait aussitôt ! Même scène quelques jours plus tard en repassant au même endroit..."
Une blessure, probablement provoquée par la ventouse du rémora, est visible sur le dessus de la tête du gaterin.
Nosy Bé (Madagascar), Nosy Tanikely, 7 m
03/05/2011
Nageurs
Les rémoras peuvent aussi évoluer librement près des récifs coralliens.
Mer Rouge, El Nabaa, 20 m
01/11/2008
Toutes les tailles !
A gauche et à droite, le rémora rayé. Au milieu, un adulte dont la livrée est moins caractéristique. Seule la forme des nageoires pectorales (pointues) peut nous aiguiller vers un individu d'Echeneis naucrates.
Mayotte, N'gouja, 2 m
08/03/2010
En Polynésie française
en attente du copyright
Polynésie française, Rangiroa, Tiputa
27/12/2020
Gravure ancienne
Gravure d'Echeneis naucrates, extraite de l'ouvrage de Marcus Élieser Bloch Allgemeine Naturgeschichte der Fische, tome 5 (Naturgeschichte Ausländischer Fische II, 1787).
Source : Biodiversity Heritage Library : www.biodiversitylibrary.org
Biodiversity Heritage Library
Reproduction de documents anciens
1787
Vidéo : La nage du rémora rayé
Ondulations du corps, pectorales bien déployées.
Bélize, sous le bateau
20/05/2018
Rédacteur principal : Marie-Pierre FEUGAS
Vérificateur : Véronique LAMARE
Responsable régional : Véronique LAMARE
Priol E.P., 1937, Note sur Echeneis naucrates Linné, Revue des Travaux de l'Institut des Pêches, 10(3), 371-378.
La page sur Echeneis naucrates sur le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase
La page de Echeneis naucrates dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN