Étoile de mer de grande taille, (30 à 40 cm, parfois 80 cm !)
5 bras bien différenciés, robustes et rigides, arrondis et effilés
Gros piquants épais, hérissés, émergeant de touffes de pédicellaires
Couleur extrêmement variable : verte, grise, orangée, jaune, violette, rose…
Une zone photosensible rose au bout de chaque bras
Astérie des glaces, astérie glaciaire, étoile épineuse, étoile glaciaire, marthastérias
Spiny starfish (GB), Martasterias (I), Estrella de mar espinoza, estrella espinosa comun (E), Estrella vermella (Cat), Eisseestern, Warzenstern (D), Ijszeester (NL), Estrela-do-mar glaciar (P), Pigget søstjerne (DK), Piggsjøstjerne (N)
Asterias glacialis Linnaeus, 1758
Asterias spinosa Pennant, 1777
Asterias angulosa Müller, 1788
Asterias echinophora Delle Chiaje, 1827
Stellonia glacialis Nardo, 1834
Stellonia webbiana D'Orbigny, 1839
Asteracanthion glacialis Müller & Troschel, 1840
Uraster glacialis Forbes, 1841
Asteracanthion africanus Müller & Troschel, 1842
Asteracanthion webbianum Dujardin & Hupé, 1862
Asterias madeirensis Stimpson, 1862
Asterias africana Perrier, 1875
Asterias rarispina Perrier, 1875
Marthasterias foliacea Jullien, 1878
Stolasterias africana Sladen, 1889
Stolasterias glacialis Sladen, 1889
Coscinasterias glacialis Fisher, 1906
Mathasterias glacialis Verrill, 1914
Océan Atlantique, Méditerranée
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises]La distribution de l'étoile de mer glaciaire est très vaste, depuis les côtes norvégiennes jusqu'à l'Afrique du Sud, en passant par Cap Vert, les Canaries, et les Açores.
Cette espèce est aussi très présente dans l'ensemble du bassin méditerranéen, des côtes franco-espagnoles à la Turquie, ainsi que sur l'ensemble du littoral nord-africain.
Étrangement, elle semble absente (ou rarissime) en Manche et en mer du Nord...
Cette espèce est présente depuis les premiers mètres jusqu’à plus de 200 mètres de profondeur, elle vit principalement sur des substrats* durs, rocheux, dans des fissures et des cavités, sous la face inférieure des pierres...
On la rencontre également sur des substrats plus meubles de fonds sablo-vaseux, notamment les étendues de sable grossier.
Etoile de mer de grande taille, couramment 30 à 40 cm mais pouvant exceptionnellement atteindre 80 cm, l’astérie glaciaire peut présenter des couleurs variables en fonction de sa localisation mais aussi de sa taille. Souvent dans des tons brun foncé, grisâtres, vert olive ou bleu sale pour les individus de petite dimension, elle peut afficher également des nuances de violet à rose, d’orange à brun-rouge, de blanchâtre, voire des motifs gris-jaune pour les plus grands individus. Ces teintes peuvent même se trouver mélangées entre elles. A propos de ces grandes variétés de coloration chez M. glacialis, Kœhler donne une répartition basée principalement sur la localisation des individus : individus du littoral, plus petits, toujours très foncés, bruns à vert olivâtre sombre / individus plus profonds (> 50 m), plus gros et de couleurs plus vives : rose, rouge, acajou, blanc...
Dorsalement, le disque central de l'animal, souvent légèrement bombé, est percé d'une unique plaque madréporique* de teinte claire et légèrement excentrée.
De structure clairement pentaradiée, Marthasterias glacialis possède toujours 5 bras rigides (même si la littérature traitant de l’archipel canarien lui en accorde parfois un 6ème), arrondis, très bien différenciés et s’effilant progressivement.
Ces bras (appelés aussi « radius »), distribués régulièrement autour du disque central sont hérissés, sur leur face dorsale, de nombreux piquants coniques, bien visibles, épais et plus ou moins pointus ou émoussés. Ceux-ci sont bien alignés sur les bras en 3 lignes équidistantes. Ces piquants semblent émerger de touffes charnues. Ce sont de petits bouquets denses de pédicellaires* croisés formant bourrelet autour du piquant. Ces amas de pédicellaires peuvent apparaître clairs ou sombres selon la couleur de base de l’animal.
Entre les 3 lignes de piquants sont visibles de petites vésicules arrondies, en forme de doigts de gants, souvent en grappes orangées : les papules* respiratoires. Distribués parmi ces papules sont également visibles d’autres pédicellaires droits et en forme de pinces, souvent blancs.
Sur les bras, les sillons ambulacraires sont bordés de part et d’autre d’une rangée de piquants plus petits et de pédicellaires droits. Ces sillons accueillent 4 rangées de podia* (ou pieds ambulacraires) épais et munis de petites ventouses, et qui peuvent occulter la bouche centrale.
A l’extrémité de chaque bras, au milieu de podia plus fins et spécialisés, on peut distinguer une zone rose vif, cernée de petits piquants protecteurs : les zones oculaires photosensibles.
Vorace carnivore, grande prédatrice d’invertébrés, charognarde à l’occasion, Marthasterias glacialis se nourrit essentiellement de mollusques bivalves (huîtres, moules, coquilles St-Jacques, etc.) dont elle est capable d’ouvrir les coquilles grâce à la force de ses bras. S’arc-boutant sur l’animal grâce à ses podia à ventouses, elle exerce une très forte (dé)pression pour écarter les valves, obligeant la proie à s’entrouvrir. Puis elle dévagine son estomac à l’intérieur du bivalve pour y libérer des sucs digestifs. Les tissus de la proie seront ensuite absorbés sous forme semi-liquide par l’estomac de l’astérie.
L'étoile de mer glaciaire mange également des oursins qui, s’ils ne sont pas fortement ancrés sur un substrat rocheux, seront retournés et dévorés. Elle s’attaque aussi à des crustacés, des gastéropodes, des poissons blessés…
Reproduction sexuée : Les sexes sont séparés : les individus sont soit mâles, soit femelles.
La femelle, souvent « debout » sur ses 5 bras peut relâcher jusqu’à 2 millions d’ovules. Le mâle disséminera également ses spermatozoïdes* dans le milieu.
Comme chez tous les astérides, une paire de gonades* est présente dans chaque bras de l’animal.
L’émission des gamètes* respectifs a donc lieu en pleine eau ainsi que la fécondation*.
Le résultat de cette fécondation est une larve* à symétrie bilatérale (la dipleurula) qui aura une vie planctonique*, passant encore par d’autres stades larvaires (bipinnaria, puis brachiolaria). Puis, si elle réchappe aux prédateurs en tous genres et parvient au fond, la larve se transformera en jeune étoile de mer glaciaire en adoptant définitivement la symétrie pentaradiée stellée caractéristique des astérides.
Reproduction asexuée : Comme la plupart des échinodermes, Marthasterias glacialis peut également se reproduire de manière asexuée en recréant une partie qui lui aurait été arrachée.
C’est lors de ces processus de régénération que l’on peut éventuellement rencontrer des étoiles de mer qui comptent plus ou moins de bras que leur forme prototypique. Par exemple, 4 ou 6 bras chez Marthasterias glacialis.
On peut distinguer sur le dos de Marthasterias glacialis, plus visiblement encore que chez d’autres espèces d’étoiles de mer, de petites vésicules en doigts de gants, les papules* respiratoires. Celles-ci, extensions de la paroi cœlomique* émergeant à l’extérieur et réparties par bouquets entre piquants et pédicellaires de la face aborale, agissent par échanges gazeux, font office de branchies et contribuent donc à la respiration de l’astérie.
Les pédicellaires*, présents sur le tégument* de certaines espèces d’échinodermes et très visibles chez Marthasterias glacialis, sont des sortes de pinces à 2 ou 3 mors. Il en existe plusieurs modèles différents, y compris sur M. glacialis. Par exemple, les petits pédicellaires formant coussins autour des piquants sont d’un autre type que les grandes pinces blanches à deux mors disséminées parmi les papules respiratoires.
Ces pédicellaires sont destinés à plusieurs tâches, principalement à la défense de l’animal ou à son nettoyage.
A l’extrémité de chaque bras de Marthasterias glacialis, une petite zone rose vif se détache à l’œil nu, entre de petits piquants et de fins podia. Elle localise la tache oculaire de l’animal, zone photosensible qui renseigne l’étoile de mer sur la luminosité ambiante et l’aide à appréhender son milieu.
Pour témoignage de cette photosensibilité, on peut observer en laboratoire que Marthasterias glacialis se dirige vers la partie la plus sombre de son enclos lorsqu’on tente de l’observer à la lumière.
En Méditerranée, la crevette drimo Gnathophyllum elegans est souvent trouvée sur ou à proximité de l'astérie glaciaire, sans que l'on en connaisse exactement la raison. Nettoyage ? Commensalisme occasionnel ?
Compte tenu des mœurs prédatrices très affirmées de notre animal, Marthasterias glacialis est redoutée par les ostréiculteurs et mytiliculteurs ! Elle est en effet capable de faire des ravages dans les élevages d’huîtres et de moules !!
Différentes méthodes sont employées par la conchyliculture pour essayer de maîtriser le problème des étoiles de mer voraces dans les élevages. Des nasses spéciales sont parfois utilisées afin de capturer les astéries, puis les détruire. Des vadrouilles sont également employées, gros morceaux de tissus à mailles pendus sous une barre horizontale, et traînées ou disposées à proximité des élevages. Les piquants des étoiles de mer s’accrochent dans les tissus et les animaux peuvent être remontés hors de l’eau. Enfin, les astéries sont parfois détruites grâce à de la chaux vive…
Cette espèce s'acclimate très bien en captivité et est fréquemment présentée dans des aquariums publics.
Une molécule capable de bloquer les cellules cancéreuses, la roscovotine, a été extraite de l'étoile de mer Marthasterias glacialis par les laboratoires de la Station Biologique de Roscoff en 2018. Jusque-là, il s'agissait d'une molécule de synthèse.
Etoile de mer glaciaire : le qualificatif de « glaciaire » vient de la traduction littérale de son nom scientifique d’espèce, glacialis.
Astérie des glaces : astérie est l’autre nom donné aux étoiles de mer et vient du latin [aster] et/ou du grec [astêr] signifiant étoile.
Marthasterias : ce nom de genre est composé de deux parties :
- Martha : probablement du latin [martia], provenant du nom du dieu de la guerre [Martialis] = Mars et qui évoque le courage, l’action guerrière, la témérité…
- Asteria : vient du latin [aster] et/ou du grec [astêr] = étoile.
Marthasterias pourrait donc signifier « étoile de mer belliqueuse », ce qui, compte tenu de la voracité de notre animal, lui convient parfaitement.
glacialis : du latin [glacialis] = glaciale, de glace. Adjectif dû à la distribution nordique de l’étoile.
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Echinodermata | Echinodermes | Symétrie radiale d'ordre cinq (chez les adultes). Squelette de plaques calcaires bien développé sous le derme. Présence d'un système aquifère auquel appartiennent les podia souvent visibles extérieurement. |
Sous-embranchement | Asterozoa | Astérozoaires | Echinodermes de forme étoilée. Les bras, simples et parfois absents, sont en nombre variable, et contiennent des organes. |
Classe | Asteroidea | Astérides | Organismes en forme d’étoile, libres. 5 à 50 bras, squelette réduit, estomac dévaginable. Ce sont les étoiles de mer. |
Ordre | Forcipulatida | Forcipulatides | Les piquants de la face dorsale sont entourés d’une couronne de pédicellaires croisés. Les tubes ambulacraires sont ordinairement quadrisériés et ils sont terminés par des ventouses. |
Famille | Asteriidae | Astériidés | |
Genre | Marthasterias | ||
Espèce | glacialis |
Dominante gris-mauve
Une étoile de mer glaciaire de couleur grise arpente le substrat en Bretagne nord.
Trébeurden (22), 20 m
07/2007
Dominante brun-orangé
La couleur jaune-orange-brun est également très fréquente chez cette espèce.
Marseille (13), 35 m
12/02/2005
Dominante bleu-gris
Marthasterias glacialis, étoile de mer de grande taille (souvent autour des 30-40 cm), présente toujours (sauf exceptions liées à la reproduction asexuée) 5 bras et se rencontre fréquemment sur des substrats rocheux. Cet individu arbore une coloration presque bleutée, un peu moins fréquente.
Villefranche-sur-mer (06), 32 m
16/07/2006
Dominante rose
Cette étoile glaciaire photographiée à Ouessant présente des piquants roses sur fond blanc.
Ouessant (29), 12 m
07/2006
Tricolore !
Ces individus bretons montrent encore une jolie palette de couleurs, mêlant le blanc, le vert, le mauve...
La Fraternité, Camaret-sur-mer (29), 10 m
17/04/2008
Disque central (dorsal)
Vue du disque central de l'étoile, en vue dorsale. Observez les nombreux piquants, ainsi que la plaque madréporique excentrée (à midi).
Arcachon (33), 14 m
05/2007
Plaque madréporique
Sur la face dorsale, un peu excentrée, on peut apercevoir une zone particulière (ici, en blanc et rose) : la plaque madréporique. C’est par ce filtre que pénètre l’eau alimentant le système ambulacraire de l’étoile de mer.
Villefranche-sur-mer (06), 9 m
13/01/2008
Face dorsale
Vue rapprochée de la face dorsale. Observez les gros piquants, les touffes de pédicellaires et les papules respiratoires.
Trébeurden (22), 20 m
11/08/2006
De gros piquants
Vue un peu éloignée sur la face dorsale des bras.
Les épais piquants, massifs et trapus, sont entourés de touffes de nombreux pédicellaires, chargés entre autres tâches de faire le ménage ! Les pinces blanches, plus grosses, sont une autre forme de pédicellaires droits à 2 mors. Du ménage et de la défense rapprochée !
Nice (06), 19 m, de nuit
08/07/2005
Pédicellaires
Observez, parmi les papules repiratoires, ces petites structures blanches en forme de pinces à 3 mors : ce sont les pédicellaires, qui permettent à l'étoile de se protéger et de se nettoyer...
Forme différente des pédicellaires en touffes autour des piquants.
Ar Goredec, Trébeurden (22), 10 m
07/2007
Implantation des éléments
Sur cette photo canarienne, on peut observer la structure et l'implantation des divers éléments composant la face dorsale de Marthasterias glacialis : piquants, pédicellaires, palpules... Ce cliché donne une autre image, un autre point de vue, que les photos voisines. On y voit clairement que les bouquets de pédicellaires ne sont pas obligatoirement regroupés autour d'un piquant.
Les palpules sont assez claires dans l'ensemble.
Archipel des Canaries (o. Atlantique), 7 m
06/02/2010
Papules respiratoires
Entre les piquants et leurs gros bourrelets de pédicellaires, on distingue sans problème de nombreuses petites vésicules orangées, parfois blanches. Ce sont les papules respiratoires, excroissances venant de l’organisme interne de l’astérie et faisant fonction de branchies. Si elles ne sont pas seules à s’occuper de cet aspect végétatif, elles participent néanmoins grandement à la respiration de l’animal.
Saint-Jean-Cap-Ferrat (06), 36 m
11/07/2004
Tache oculaire
Tout au bout de chaque bras de l'astérie, une tache rose : la tache oculaire.
Villefranche-sur-mer (06), 13 m
15/04/2007
Zone photosensible
Au bout de chaque bras, une zone rose rouge, entourée de petits piquants et de podia*, indique une zone sensorielle photosensible qui participe à l’appréhension par l’étoile de son milieu ambiant, notamment ce qui concerne les conditions lumineuses.
Trébeurden (22), 20 m
10/07/2007
Podia
Excellente vue sur les pieds ambulacraires de Marthasterias glacialis.
Ile Ronde, Rade de Brest (29), 5 m
14/12/2008
Podia
Détail des pieds ambulacraires de l'étoile glaciaire.
Ile ronde, Trégastel (22), 8 m, de nuit
29/06/2008
Estomac dévaginé
Sur ce cliché très explicite interrompant la chasse de l’astérie glaciaire, on peut voir l’estomac que l’animal a dévaginé afin de digérer sa proie à l’intérieur même des valves du lamellibranche. Quelques minutes après avoir posé, notre astérie glaciaire s’emparait à nouveau du bivalve et reprenait son dîner avec entrain...
Antibes (06), 12 m
14/05/2006
Des bras puissants
Une étoile de mer glaciaire a trouvé un bivalve et vient de s’en faire un repas. Elle a écarté, à la force de ses bras puissants, les deux valves de sa proie. Puis elle y a glissé une partie de son estomac. Les sucs digestifs répandus ont permis à l’astérie de digérer le mollusque sous forme semi-liquide à l’intérieur même de son habitat !
Antibes (06), 10 m
19/01/2006
Des moules au menu
On observe très fréquemment, après avoir retourné délicatement l'animal, des bivalves pris au piège parmi les nombreux podia terminés en ventouse...
Marseille (13), 20 m
02/05/2004
Un oursin au menu...
L'étoile de mer glaciaire est un prédateur vorace capable de s'attaquer à toutes sortes de proies, et même à ses cousins les oursins !
Méditerranée, 13 m
2005
Reproduction
Comme de nombreuses autres espèces d'étoiles de mer, Marthasterias glacialis se dresse sur ses bras avant d'émettre ses gamètes en pleine eau (du sperme blanc chez les mâles, et de petits ovules roses chez les femelles).
Grand-Banc, Arcachon (33), 5 m
11/05/2006
"Accouplement"
L'émission des gamètes en pleine eau est souvent précédée d'un rapprochement des individus des 2 sexes. Ici le mâle, plus petit, est sous la femelle.
Grand-Banc, bassin d'Arcachon (33), 5 m
11/05/2006
Régénération d'un bras
Cet individu possède un bras plus petit, en phase de régénération.
Trébeurden (22), 20 m
07/2007
Régénération de 3 bras
Cet individu a selon toute vraisemblance été victime d'un prédateur ou d'un accident de parcours. Ici 3 bras sont en train d'être régénérés.
Ouessant (29), 22 m
07/2006
7 bras
Il s'agit ici d'une anomalie classique de développement, fréquente chez les astérides. Il est cependant rare d'observer une étoile glaciaire à sept bras...
Ile de Houat (56), 15 m
09/2008
Un bras isolé, future comète
Un bras d'étoile glaciaire isolé comme celui-ci, pour peu que sa taille soit suffisante (contenant une partie du disque central) sera capable de reformer une étoile entière, en adoptant progressivement la forme d'une comète.
Ar Goredec, Trébeurden (22), 10 m
10/07/2007
Sur le coralligène en Méditerranée
En Méditerranée, l'étoile de mer glaciaire est très commune sur le coralligène et sur fond d'algues calcaires. Cet individu essaye probablement de se cacher dans une anfractuosité.
Marseille (13), 25 m
05/03/2005
Escalade en Bretagne
Une observation plutôt insolite : une étoile de mer glaciaire escalade ici un stipe de laminaire...
Trébeurden (22), 10 m
07/2007
Rédacteur principal : Alain-Pierre SITTLER
Vérificateur : Frédéric ZIEMSKI
Responsable régional : Alain-Pierre SITTLER