Vieille tachetée

Cheilinus chlorourus | (Bloch, 1791)

N° 3423

Zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest et centre

Clé d'identification

Corps trapu à tête massive et dos élevé, taille maximale documentée 45 cm
Phase initiale : couleur brun rouge à grise, caudale arrondie et dorsale épineuse échancrée
Phase terminale : couleur variable, tête verte et rayons extérieurs de la caudale se prolongeant en pointes
Dans les deux phases :
Corps et nageoires (sauf pectorales) marqués par de nombreuses petites taches blanches
Tête marquée par des taches rouges à noires et des lignes de même couleur autour de l’œil
Présence fréquente de selles blanches de longueur variable sous la dorsale
Une selle blanche au début du pédoncule caudal, un anneau blanc à son extrémité

Noms

Autres noms communs français

Les os verts, madame tombée, labre à tache rouge (Maurice), labre maori à points blancs

Noms communs internationaux

Dotted maori, floral maori wrasse, floral wrasse, rainbowfish, redspotted maori wrasse, white-dotted maori, white-dotted maori wrasse, yellow-dotted maori wrasse, yellow-dotted wrasse, yellow-spotted maori-wrasse (GB), Vieja florida (E), Schneeflocken-Lippfisch (A), Blommetjie-lipvis (Afrique du Sud)

Synonymes du nom scientifique actuel

Sparus chlorourus Bloch, 1791
Cheilinus punctatus Bennett, 1832
Crenilabrus blochii Swainson, 1839
Cheilinus blochii Valenciennes, 1840
Cheilinus punctulatus Valenciennes, 1840
Cheilinus guttatus Bleeker, 1847
Cheilinus decacanthus Bleeker, 1851

Distribution géographique

Zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest et centre

Zones DORIS : ● Indo-Pacifique

Cette espèce est présente dans les zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest et centre.
Dans l’océan Indien, elle est documentée des côtes somaliennes au nord de l’Afrique du Sud (baie de Sodwana). et vers l’est, du canal du Mozambique aux côtes australiennes en passant par les Mascareignes*, les Seychelles, les Maldives, l’Inde, la Thaïlande et les îles Coco(Keeling).
Sur la bordure ouest de l’océan Pacifique, on la trouve du sud du Japon à l’est de l’Australie. Sa distribution vers l’est va jusqu’à l’archipel des Australes en Polynésie française, en passant par la Nouvelle-Calédonie et la plupart des îles de cet océan, Hawaï comprise.

Biotope

La vieille tachetée vit en milieu corallien côtier, sur des fonds sableux ou sablo-détritiques*. On peut la trouver occasionnellement dans les herbiers. Sa distribution verticale va de 1 à 30 mètres.

Description

Description succincte : ce labre au corps trapu peut mesurer jusqu’à 45 cm. Les individus en phase initiale (femelles et éventuels mâles primaires) sont de taille moyenne. Ils ont une nageoire caudale arrondie et une dorsale épineuse échancrée. Leur couleur de fond va du brun rouge au gris. Les individus en phase terminale (mâles terminaux) sont les plus grands, leur couleur peut être brune, grise, orange ou jaune et leur tête est verdissante à verte. Les rayons extérieurs de leur nageoire caudale forment une pointe.

Dans les deux phases le corps est marqué par de nombreuses petites taches blanches accompagnées de quelques points noirs ou rouges ; des taches blanches plus petites et plus nombreuses sont présentes sur les nageoires impaires et les pelviennes. La tête est marquée par des taches rouges à noires et par des lignes de même couleur au tracé irrégulier autour de l’œil. Deux à quatre selles* blanchâtres de longueur variable peuvent être présentes sous la dorsale épineuse. Une selle blanche marque parfois le début du pédoncule* caudal, et un anneau blanc qui déborde sur la caudale orne son extrémité postérieure

Description détaillée :
Le corps a un dos élevé, sa hauteur entre de 2,6 à 3,1 fois dans la longueur standard (longueur sans la queue). Il est fortement comprimé latéralement. La tête est pointue et massive avec un museau qui s’arrondit chez les plus grands individus. La bouche aux lèvres épaisses est terminale et protractile*. Le front et l’opercule* portent des écailles, de même que les joues à l’exception de la zone de la mandibule*. Le profil dorsal du corps descend abruptement vers le pédoncule* caudal sous les derniers rayons de la dorsale molle. Le pédoncule caudal est puissant (sa hauteur entre environ 5 fois dans la longueur standard en phase terminale). La dorsale épineuse a la particularité de compter 10 rayons (il y en a 9 dans les autres espèces du genre). Les écailles sont de grande taille. La taille maximale documentée est de 45 cm.

Cette espèce hermaphrodite* protogyne présente un dimorphisme* et un dichromatisme* sexuels, ce qui signifie que la morphologie et la livrée de la phase initiale (femelles et éventuels mâles primaires) diffèrent de celles de la phase terminale (mâles terminaux).

Les différences morphologiques les plus manifestes entre les deux phases sont les suivantes :
La phase initiale regroupe des individus plus petits que la phase terminale ; le profil dorsal de leur tête est plus pointu. La nageoire dorsale épineuse est échancrée (vs ondulée chez les mâles terminaux). L’extrémité postérieure de la dorsale molle et celle de l’anale sont aussi plus arrondies que chez eux ; la nageoire caudale est arrondie (sans les rayons extérieurs de celle des mâles terminaux, qui forment une pointe) et leurs pelviennes sont moins longues.

Les éléments partagés du patron de couleurs des deux phases sont les suivants :
La couleur de fond est le plus souvent marbrée du fait de la juxtaposition aléatoire de zones plus claires et plus foncées ; les flancs sont marqués par de nombreuses petites taches blanches à rosées souvent alignées longitudinalement, auxquelles peuvent se mêler des taches noires ou rouges. On peut noter la présence quasi-constante de deux à trois petites selles* blanches sous la nageoire dorsale, de même que la présence fréquente de deux à trois selles plus ou moins marquées de même couleur échelonnées sur la nuque. Une courte selle* blanche orne la partie antérieure du pédoncule caudal, et à son extrémité un anneau blanc déborde sur la caudale.

La tête porte de très nombreuses taches rouges, éventuellement accompagnées de tirets de même couleur. Ces taches et tirets sont parfois noircissants ou noirs notamment en partie postérieure de la tête ; les taches rouges s’étendent jusque sous les premiers rayons de la dorsale épineuse et marquent aussi les lèvres, la gorge et le début de l’abdomen*. Ces taches peuvent aussi s’agrandir en formes aléatoires, groupées sur la partie supérieure de la tête. Plusieurs lignes rouges ou noires au tracé irrégulier sont présentes autour de l’œil, le plus souvent sous et derrière lui. Leur nombre et leur forme sont très variables mais elles sont toujours obliques (elles suivent approximativement le profil dorsal de la tête). Des tirets de forme très variable ornent souvent le préopercule* et l’opercule. L’iris* est orange et entouré d’un anneau vert qui porte des marques des lignes rouges qui l’entourent.

La couleur de la dorsale épineuse est identique à celle du corps ou plus foncée, souvent avec des prolongements des selles blanches présentes sous elle. La dorsale molle est translucide. L’anale est généralement plus foncée que la dorsale épineuse, avec un liseré rouge foncé. La caudale est blanche en partie antérieure, brun foncé à noirâtre en partie centrale et rouge en partie distale. Les membranes des pectorales sont translucides et leurs rayons sont rouge orangé. Les pelviennes sont de la couleur du corps, souvent en version plus foncée ou verdissante avec des rayons rouge vif. Toutes les nageoires à l’exception des pectorales sont piquetées d’une multitude de petits points blancs.

Quant aux différences dans les patrons de couleur entre les deux phases :
En phase initiale, la couleur de fond est généralement brun rouge plus ou moins foncé, mais elle peut virer au gris, plus ou moins foncé lui aussi. Dans les livrées grises, la couleur de fond de la tête peut être plus pâle que celle du corps. Trois à quatre taches noires plus grosses que les autres se trouvent parfois alignées sur la médiane horizontale du corps. Une tache noire souvent discrète se trouve sur la membrane des deux à trois premiers rayons de la dorsale, et la partie distale* des membranes de la dorsale épineuse est ornée d’une marque rouge arrondie coiffée de blanc.

En phase terminale, la couleur dominante du corps est variable et peut changer rapidement chez le même individu. Elle peut aller du brun-rouge au bronze en passant par le gris, et plus rarement par l’orange ou le jaune. La couleur de fond de la tête est verdissante à verte, et parfois bleue dans sa partie inférieure.

La livrée des juvéniles est décrite dans la section consacrée à la reproduction.

Espèces ressemblantes

Dans sa distribution, la vieille tachetée peut être confondue avec les espèces suivantes :

  • Cheilinus oxycephalus : la couleur de fond est généralement rouge brique et le corps est couvert de petites taches blanches, ce qui peut favoriser la confusion. Mais sa tête est plus pointue, l’extrémité de la lèvre supérieure porte deux taches noires, les deux premières membranes de la dorsale épineuse arborent une large tache orange surmontée d’une tache noire et deux lignes de taches noires souvent discrètes rayonnent à partir de la partie postérieure de l’œil. Sa distribution est indo-Pacifique (mer Rouge exclue).
  • Cheilinus trilobatus : entre autres différences, aucune des deux phases (initiale et terminale) ne porte de petites taches blanches sur le corps et les nageoires. Sa distribution est indo-Pacifique (mer Rouge exclue).

Pour ce qui concerne les juvéniles ressemblants : voir le paragraphe consacré à la reproduction.

Alimentation

Cette espèce se nourrit essentiellement d’invertébrés benthiques* comme les crabes, les oursins, les ophiures, les mollusques et les vers polychètes.

Reproduction - Multiplication

La biologie de la reproduction chez Cheilinus chlorourus n’a pas été systématiquement étudiée à la date de parution de cette fiche [07/2024], à notre connaissance. L’espèce est cependant considérée comme étant hermaphrodite* protogyne*. Que cet hermaphrodisme soit monandrique* (tous les individus naissent femelles et certains deviennent mâles) ou diandrique* (certains individus naissent mâles, et d’autres le deviennent) ne semble pas documenté. Quoi qu’il en soit, une même espèce peut être monandrique ou diandrique (et hermaphrodite protogyne ou gonochorique*) en fonction des circonstances et donc des lieux, comme le montre une recherche ayant étudié entre autres Cheilinus fasciatus (Lowe et al., 2021).

On sait toutefois que des agrégations destinées à la reproduction ont été observées sur la Grande Barrière de Corail, en Australie et que ces agrégations ont lieu en été (Russel, 2001).

Œufs* et larves* sont pélagiques*. La durée de vie larvaire, calculée d’après l’examen des otolithes* de 8 individus (Victor, 1986), est en moyenne de 27,1 jours, avec un minimum de 25 jours et un maximum de 30 pour cet échantillon, prélevé dans l’archipel de Palau (à l’est des Philippines). A l’issue de cette période océanique, les post-larves* colonisent un récif.

Les juvéniles sont plus fins que les individus en phase initiale et leurs nageoires paraissent proportionnellement plus grandes. Leur tête est plus pointue, les marques faciales rouges ou noires sont moins denses, et les lignes présentes autour de l’œil rayonnent aussi vers l’avant (vs sous et derrière l’œil chez la plupart des adultes). La couleur de fond est généralement plus claire, mais elle conserve les selles blanchâtres susceptibles de descendre jusqu’à l’abdomen pour celles qui se trouvent sous la dorsale, ainsi que la selle présente au début du pédoncule caudal et l’anneau blanc qui précède la caudale. Quatre taches noires alignées marquent souvent la médiane horizontale du corps. La première se situe à l’aplomb des premiers rayons de la dorsale épineuse, la dernière sur le pédoncule caudal. La tache noire qui orne la membrane des deux premiers rayons durs en phase initiale est turquoise bordée de noir chez les juvéniles.

Juvéniles ressemblants :

  • Cheilinus oxycephalus : comme chez les adultes, deux lignes de taches noires souvent discrètes rayonnent à partir de la partie postérieure de l’œil et une tache orange et noire marque les deux premières membranes de la dorsale épineuse. L’extrémité de la lèvre supérieure porte deux taches noires. Les juvéniles peuvent avoir le dernier tiers du corps blanc ou blanchissant.
  • Cheilinus trilobatus : ses écailles arborent des lignes verticales ondulées rouges et vertes et il ne porte de taches blanches ni sur le corps, ni sur les nageoires.

Vie associée

Une nouvelle espèce de parasite du genre Ceratomixa (Ceratomyxa cheilinae), a été découverte dans la vésicule biliaire de Cheilinus chlorourus. De nombreuses espèces de vers plathelminthes parasitant son système digestif sont aussi documentés : ils appartiennent aux classes des cestodes, des trématodes, des nématodes et des acanthocéphales.

Divers biologie

L’espèce est diurne*. Les individus sont solitaires en dehors des périodes de reproduction.

Les individus qui se sentent traqués ont tendance à se réfugier au pied d’un massif de corail ou à l’ombre d’un débris corallien, voire à se coucher sur un flanc sur le substrat* en adoptant la livrée la plus claire et terne possible.

En cas de conflit avec un conspécifique* une bande gris foncé peut apparaître sur la tête. Elle commence au-dessus de la lèvre supérieure et va jusqu’à la limite de l’opercule, voire au-delà, en passant par l’œil.

La nageoire dorsale comprend 10 rayons durs et 8 à 9 rayons mous, l’anale 3 rayons durs et 8 rayons mous. Les pectorales ont 12 rayons, dont deux seulement sont ramifiés.
La ligne* latérale s’interrompt sous la partie postérieure de la dorsale et reprend dans l’axe médian du corps jusqu’à la fin du pédoncule caudal. Sa première partie comprend 15 à 16 écailles perforées, la seconde en comprend 6 à 7.

Informations complémentaires

Une thèse de biomécanique soutenue à l’Ecole Polytechnique de Milan (Trotta, 2022) a modélisé la morphologie et les mouvements des mâchoires de sept espèces de poissons très différentes les unes des autres, dont celles de Cheilinus chlorourus, en vue d’améliorer l’efficacité des pinces utilisées en robotique. Sa conclusion est que le modèle inspiré de la vieille tachetée est le plus performant.

L’un des noms communs de C. chlorourus est « labre maori à points blancs ». Ce nom de labre maori est principalement appliqué à Cheilinus undulatus, mais il est aussi utilisé pour d’autres espèces de labres (par ex. C. trilobatus, C. fasciatus, ou Ophthalmolepis lineolata). Le point commun de ces espèces est d’avoir la tête marquée de nombreux tirets, lignes ou points, ce qui évoquerait les tatouages faciaux de la tribu polynésienne Maori, habitant la Nouvelle-Zélande.

La vieille tachetée est pêchée dans un cadre récréatif ou de subsistance, mais l’espèce est aussi présente dans le commerce aquariophile et sur le marché des poissons vivants.

Statuts de conservation et réglementations diverses

Le statut de l’espèce pour l’UICN* est LC (Least Concerned, traduit par « Préoccupation mineure »), ce qui signifie que les informations recueillies sur l’espèce ne permettent pas de la classer dans les autres catégories, notamment dans les trois qui alertent sur une menace (CR : en danger critique d’extinction, EN : en danger, VU : vulnérable). En fonction de quoi elle n’est pas actuellement concernée par des mesures de protection.

Cependant, l’espèce est sensible aux activités humaines et son déclin a été signalé en quelques endroits de sa distribution, comme à La Réunion où elle est considérée comme méritant une priorité haute en matière de conservation (Fricke, 2009).

Origine des noms

Origine du nom français

Vieille tachetée : de nombreuses espèces de labres et de mérous portent le nom commun de « vieille », d’origine obscure. Celle-ci est parsemée de petites taches blanches, rouges ou noires, d’où le participe passé à valeur d’adjectif « tachetée ».

Origine du nom scientifique

Cheilinus : le nom de genre est formé à partir du grec [cheilos], qui signifie lèvre.
Il est décrit en 1801 par le naturaliste français Bernard Germain de Lacépède (1756-1825) dans le volume 6 de l’Histoire naturelle des poissons (p. 274), sous le nom commun de « cheiline ». La première caractéristique donnée pour le genre est « la lèvre supérieure extensible » chez les espèces concernées, et l’auteur ajoute page 276 que « le nom cheiline indique la conformation des lèvres ».
Le genre contient actuellement huit espèces.
L’espèce-type* est C. trilobatus.

chlorourus : ce nom vient des mots grecs [chloros], qui signifie « de couleur jaune verdâtre », et [oura], qui signifie « queue ».
L’espèce est décrite en 1791 par le médecin et naturaliste allemand Marcus Élieser Bloch (1723-1799) sous le nom scientifique de Sparus chlorourus, dans Naturgeschichte der ausländischen Fische. Il en existe une édition française parue sous le nom de Ichthyologie, ou Histoire naturelle, générale et particulière des poissons, publiée en 1797. Dans l’édition française, la description se trouve dans le volume III, pages 15-17. Bloch y écrit qu’il donne à l’espèce le nom commun de « la queue verte » du fait de la couleur de fond des deux spécimens qu’il a pu examiner.
La réduction étonnante de cette couleur à la queue dans les noms scientifique et commun se retrouve dans deux autres espèces du genre Sparus (passablement fourre-tout à l’époque) que Bloch décrit à la suite de Sparus chlorourus : Sparus erythrourus (actuel Gerres erythrourus) est nommé « la queue rouge », et Sparus chrysourus (actuel Ocyurus chrysurus), est nommé « la queue d’or ». Lacépède, dans son Histoire naturelle des poissons, suit Bloch et donne à l’espèce le nom commun de « spare queue-verte » en 1802.
La localité du type* est vague : Bloch dit seulement qu’un des deux spécimens qu’il possède vient du Japon et l’autre de Saint Domingue.

NB : de nombreux auteurs nomment l’espèce Cheilinus chlorurus (vs chlorourus) à la suite de Bloch et Schneider en 1801, mais cette orthographe n’est pas acceptée par WoRMS.

Classification

Numéro d'entrée WoRMS : 218941

Termes scientifiques Termes en français Descriptif
Embranchement Chordata Chordés Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés.
Sous-embranchement Vertebrata Vertébrés Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux.
Super classe Osteichthyes Ostéichthyens Vertébrés à squelette osseux.
Sous-classe Neopterygii Teleostei Néoptérygiens Téléostéens Poissons à arêtes osseuses, présence d’un opercule, écailles minces et imbriquées.
Ordre Eupercaria (incertae sedis)
Famille Labridae Labridés Lèvres épaisses.
Genre Cheilinus
Espèce chlorourus

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