Colonies érigées en petits éventails serrés d'allure rigide
Coloration fauve (colonie vivante)
Branches de section arrondie
Colonie d'un centimètre de diamètre environ
Longs fouets mobiles donnant un aspect finement poilu
Clefs microscopiques :
Crisie de Bory (Audouin, 1826), Cabérée de Bory
Crisia boryi Audouin, 1826
Méditerranée, Atlantique Est (du nord au sud), mer Rouge, Indo-Pacifique
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises], ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge]Caberea boryi est largement présent par petits fonds en Méditerranée. En Atlantique Est, il est rencontré du sud des îles Britanniques jusqu'en Afrique du Sud. Des observations ont également été faites en mer Rouge où il a été initialement décrit, dans l'océan Indien et dans le Pacifique Ouest (Australie, Nouvelle-Zélande, Chine, Japon et aux îles Salomon).
Caberea boryi fréquente les fonds coralligènes*, détritiques* et les herbiers, où il se fixe sur des éponges, des coquilles, etc. Ce petit bryozoaire a une préférence marquée pour les végétaux en conditions ombragées, en particulier les souches de posidonie et les algues précoralligènes.
En Méditerranée, il est présent entre 0 et 100 mètres de profondeur et plus particulièrement abondant de 20 à 60 mètres.
En Bretagne, il fait partie de la communauté des petits bryozoaires présents sur les surfaces dures. Associés à plusieurs Bugula spp., Crisia spp. et autres Scrupocellaria spp., ils constituent, lorsque les conditions sont favorables, un faciès typique à petits bryozoaires érigés.
Caberea boryi forme des colonies érigées en petits éventails serrés, de couleur fauve à rouge-orange, d'allure rigide. Ces branches cylindriques se divisent un petit nombre de fois deux par deux (division dichotomique*), à intervalles réguliers. Les colonies profondes montrent un port souvent plus étiré. La taille habituelle des colonies est de l'ordre de 10 mm de diamètre. Elles sont ancrées au substrat* par l'intermédiaire d'une sorte de petits "bouquets de radicelles" nommés rhizoïdes*.
Les rameaux se présentent sans joints visibles au niveau des divisions dichotomiques, mais ils sont néanmoins légèrement élastiques, donc déformables sans se rompre.
Les zoïdes* courts sont organisés en une double série longitudinale alternée, ou en triple série juste avant les divisions dichotomiques.
De très longs filaments mobiles (vibraculaires*), issus du bord des branches, un par zoïde, se déploient habituellement vers la face frontale des rameaux. La face dorsale des branches a l'allure d'un épi de blé.
Voir la description microscopique dans la rubrique "Divers biologie".
Caberea ellisii, de couleur plus claire, est une espèce des eaux froides du nord de l'Europe, elle est sporadiquement rencontrée en Bretagne Nord mais elle est absente en Méditerranée. Elle est dépourvue de scutum* et forme des colonies plus robustes et plus grandes.
Caberea dichotoma est une espèce d'Indo-Pacifique et l'espèce-type* du genre Caberea (Lamouroux, 1816).
Scrupocellaria reptans forme des rameaux légèrement épineux donnant une allure rêche à la colonie de couleur beige et dont l'envergure est de l'ordre de 3 cm. Scrupocellaria scruposa est une espèce voisine très ressemblante.
Scrupocellaria scrupea forme des rameaux épais, lisses et aplatis. Son port en "rosette" rouge-orangé est très caractéristique, le diamètre des colonies est de l'ordre de 2 cm.
Comme chez tous les bryozoaires, la nutrition est assurée par la capture de particules alimentaires (phytoplancton*, en particulier) par les tentacules* du lophophore*, dont la sortie est assurée par une augmentation de la pression du liquide interne, phénomène obtenu grâce à la compression musculaire.
Une fois la gaine du lophophore dévaginée, un mouvement pendulaire et circulaire des tentacules ciliés* composant le panache de ce lophophore va permettre le brassage de l’eau environnante et favoriser ainsi la capture des micro-organismes composant le régime alimentaire de la colonie. Ces animaux sont ainsi dits filtreurs "actifs".
Les diatomées* (algues unicellulaires) et les bactéries sont la base de l'alimentation de ce type de bryozoaires, filtreur suspensivore* microphage*.
La croissance de la colonie se fait par bourgeonnement* périphérique de nouvelles zoécies* (= zoïdes). La reproduction est sexuée et la colonie est hermaphrodite*. Les œufs fécondés produits par un zoïde femelle sont incubés dans une ovicelle* (petite chambre au-dessus de l’orifice).
Après maturation, il va y avoir émission de larves* lécitotrophiques* ciliées, qui vont être dispersées par les courants. Après une courte vie dans la colonne d’eau, la larve va se fixer sur un substrat adéquat et se métamorphoser* en un zoïde primaire ou ancestrule*. Celui-ci bourgeonnera deux à trois zoïdes, qui bourgeonneront eux-mêmes en formant petit à petit la colonie érigée, lui permettant de grandir.
En Méditerranée, chez Caberea boryi, les ovicelles sont présentes toute l'année, les embryons également toute l'année sauf en août et septembre et les ancestrules observées uniquement en mars et avril.
Description microscopique :
Les joints au niveau des divisions dichotomiques sont présents mais cachés par des calcifications. De ce fait, les colonies sont bien moins flexibles que chez les autres espèces de Candidés (Candidae), comme les Scrupocellaria spp. ou les Canda spp.
La taille la plus commune des autozoïdes*, de forme parallélogramme vue de face, est de 0,35 x 0,2 mm.
Les ouvertures se situent sur une seule face des branches, la face frontale. La face frontale de chacune des deux séries d'autozoïdes, constituant les branches, forment entre elles un angle de 90°. Chaque autozoïde vu par sa face frontale est oblique, incliné vers l’intérieur vers le haut (en distal) par rapport à l'axe de la branche. La surface frontale de chaque autozoïde alterné recouvre légèrement son voisin.
L'opercule* et l'opésia* constituent environ les quatre cinquièmes de la surface frontale, ils sont bordés latéralement et en proximal (= vers le bas) par un large et fin cryptocyste* granuleux. Il n'y a pas de gymnocyste* frontal calcifié. L'opercule se situe à l'angle disto-externe (= vers le haut et l’extérieur) de l'opésia où le pédoncule* du scutum* est repoussé. Il y a deux ou trois épines orales distales essentiellement présentes aux extrémités des branches, une à l'angle interne et un ou deux plus longues à l'angle externe. La majeure partie de l'opesia est cachée par un scutum, robuste et ovale, rattaché par un large pédoncule légèrement asymétrique et inséré en distal du côté des épines distales internes. Le pédoncule portant le scutum est renforcé au niveau de son bord médian extérieur.
En présence d'ovicelles, gymnocyste* et cryptocyste* sont réduits.
Deux types d'aviculaires* sont présents ; 1) de tous petits aviculaires latéraux à proximité de l'insertion du long vibraculaire, orienté latéralement, à la mandibule* triangulaire ; 2) petit aviculaire frontal fréquent au sommet interne du cryptocyste, orienté de façon distale. Parfois un aviculaire frontal très développé est présent à la bifurcation et positionné perpendiculairement à la surface frontale.
Les ovicelles* sont en position supra-orale, de forme sub globuleuse, lisses et penchés vers l’intérieur de la branche. Elles occupent une grande partie de la face frontale et s'ouvrent par une fenêtre asymétrique plus profonde du côté de l'axe médian des branches.
La face dorsale (ou basale) des zoïdes est occupée par un très long filament ou fouet de 1,5 à 2 mm de longueur en moyenne, et nommé vibraculaire*. Ce vibraculaire aux bords légèrement dentelés et caractéristique de l'espèce se déploie habituellement du côté de la face frontale. Son vibracellaire* (loge constituant la partie fixe, calcifiée, du vibraculaire et renfermant les muscles permettant au long fouet de se mouvoir) est oblique, allongé (0,42 mm de longueur) et à longue rainure où le fouet peut venir se ranger.
Les rhizoïdes* issus de vibraculaires modifiés fixent la colonie au substrat.
Les lophophores à 13 tentacules ciliés sont translucides.
Le vibraculaire est un aviculaire dont la partie mobile, la mandibule, s'est largement modifiée en une sorte de fin et long fouet. Chez Caberea boryi, ce fouet est articulé et animé de mouvements vibraculaires synchrones et rythmiques. Chez d'autres espèces de Candidés (Candidae), comme les Scrupocellaria, ces mouvements pendulaires peuvent être moins réguliers, moins coordonnés.
Vibraculaires et aviculaires ont des fonctions non parfaitement définies. Un rôle de nettoyage et de défense de la colonie est suggéré.
Bryozoaire à fouet est une proposition du site DORIS en rapport avec les très longs vibraculaires caractéristiques.
Crisie de Bory est le premier nom commun donné par Audouin en 1826 pour cette espèce qu'il a décrite initialement sous le genre Crisia et en l'honneur de M. Bory de Saint-Vincent.
Caberea : fille de Protée et de la nymphe Torone son épouse, ou Cabérée en français. Il s'agit d'un genre établi par Lamouroux en 1816 à partir de deux espèces collectées en Australie, C. dichotoma et C. pinnata, et qu'il caractérise par la présence de sillons sur la face dorsale des zoïdes.
boryi : en l'honneur du Baron Jean Baptiste Geneviève Marcellin Bory de Saint-Vincent, (1778-1846), naturaliste français ayant observé cette espèce à Barcelone et auteur du "Dictionnaire classique de l'histoire naturelle".
Numéro d'entrée WoRMS : 111229
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Bryozoa / Ectoprocta | Bryozoaires / Ectoproctes | Petits animaux coloniaux filtreurs aquatiques fixés à un substrat. Tous les zoïdes sont en continuité physique et issus de bourgeonnement à partir d’un individu unique. Chaque zoïde porte un lophophore rétractile et est abrité dans une logette. |
Classe | Gymnolaemata | Gymnolèmes | Colonies polymorphes. Les zoïdes sont cylindriques ou aplatis, les lophophores circulaires. Les parois peuvent être calcifiées ou non. Presque tous marins. |
Ordre | Cheilostomatida | Cheilostomes | Bryozoaires calcifiés, zoïdes* en forme de boîte obturée par un opercule à charnière. Gymnolèmes les plus nombreux et les plus diversifiés des régions littorales, souples à rigides. Groupe au polymorphisme marqué où l’on trouve des individus différenciés (aviculaires, vibraculaires, ovicelles globuleux…). |
Sous-ordre | Flustrina | Flustrine | |
Famille | Candidae | Candidés | Signifie "qui a les cheveux blancs". Principaux genres : Caberea, Scrupocellaria, Canda, Tricellaria, ... = Scrupocellariidae (synonyme ancien, non valide) |
Genre | Caberea | ||
Espèce | boryi |
Colonie fauve orangé caractéristique
La coloration fauve tendant vers le rouge orangé est relativement caractéristique de cette espèce. Les fouets mobiles, fins et longs, sont aperçus sur la face frontale des éventails.
Figuerolles, La Ciotat (13), 12 m
07/07/2013
Éventail serré
Caberea boryi forme des colonies érigées en petits éventails serrés, de couleur fauve à rouge-orange, d'allure rigide.
Côte Vermeille (66)
N/A
Microfaune de la sous strate des fonds durs
Les petits animaux érigés et encroûtants occupant les substrats* durs sont très nombreux et diversifiés en fonction des conditions de vie (lumière, courant,...) et des micro-habitats disponibles.
A côté des deux petites colonies de Caberea boryi, vous pouvez observer sur cette photo des petites ascidies verdâtres (Ecteinascidia herdmani), de toutes petites colonies naissantes de l'alcyon encroûtant rose (Alcyonium coralloides), les gros polypes de la clavulaire commune (Clavularia crassa), les petits tubes blanchâtres d'une éponge (Ascandra falcata ?) et beaucoup d'autres organismes.
La Ramère, Cerbère, Côte Vermeille (66)
19/08/2005
Branches cylindriques
Caberea boryi possède des branches cylindriques qui se divisent un petit nombre de fois deux par deux à intervalles réguliers.
Les Grottes, Cap de la Fauconnière, La Ciotat (13), 9 m
03/09/2001
Colonie brun clair et longs fouets
Les longs et très fins fouets des vibraculaires*, semblables à des cheveux, sont en partie visibles au centre de la colonie.
Villefranche-sur-Mer (06)
10/12/2006
Colonie érigée en petit éventail robuste
Face frontale et lophophores* déployés.
Les lophophores sont translucides et de petite taille.
Escampo Bariou, Giens (83)
01/11/2007
Beaux éventails de couleur fauve orangé à Marseille
L'aspect des rameaux est robuste, le touché relativement rigide. Ces deux beaux éventails largement étalés sont ici en compagnie du bryozoaire encroûtant rouge Schizobrachiella sanguinea.
Rade de Marseille (13), 30 m
02/05/2010
En Crète
En compagnie de l'ascidie coloniale pourpre Cystodytes dellechiajei, Caberea boryi est relativement commun dans toute la Méditerranée, comme ici en Crète.
Agia Pelagia, Crète (Grèce), 10 m
27/04/2007
En épibionte sur une éponge en Provence
Parmi d'autres épibiontes* sur une éponge cornée noire Scalarispongia scalaris.
Le petit nudibranche bleu Felimare orsinii se nourrit de cette éponge sur laquelle on trouve souvent de nombreux individus.
Les Fourmigues, Giens (83), 20 m
04/08/2007
Bel éventail fauve orangé
En compagnie d'autres petits bryozoaires (Cellaria sp., Scrupocellaria spp., etc) et des ascidies translucides Clavelina lepadiformis (grandes) et Pycnoclavella sp. (petites), Caberea boryi est ici à l'abri de la lumière dans une grande grotte marine.
Grotte de la Vaca, îles Medes, Costa Brava (Espagne), 15 m
03/04/2007
En Bretagne Nord, faciès à petits bryozoaires
En Bretagne, Caberea boryi fait partie de la communauté des petits bryozoaires présents sur les surfaces dures. Il est très souvent associé à plusieurs autres petits bryozoaires dont Bugula spp., Crisia spp. et autres Scrupocellaria spp.. L'ensemble de ces espèces constitue en Bretagne, lorsque les conditions sont favorables, un faciès typique à petits bryozoaires érigés.
Les jolis polypes roses appartiennent à l'anémone-bijou Corynactis viridis.
Le Four Nord, Trébeurden, Bretagne Nord, 15 m
10/08/2006
Sur une feuille morte de posidonie
Caberea boryi est en compagnie de petits tubes cylindriques zigzagant du ver Hydroides elegans (ou une espèce proche) sur cette feuille morte de posidonie.
(échantillon n° AN14)
Antibes (06), (prélèvement)
08/2009
Fouets mobiles, fins et longs
Les mouvements saccadés et synchronisés des fouets (vibraculaires*) sont très curieux à observer sur une colonie vivante.
Escampo Bariou, Giens (83)
01/11/2007
Eventail robuste aux rameaux cylindriques
Rhizoides* (radicelles fixant la colonie), vibraculaires* (longs et très fins filaments) et épines orales (visibles à l’extrémité des branches) sont bien illustrés sur cette petite colonie.
(échantillon n° AN12)
Antibes (06), (photo au microscope)
08/2009
Scutum caractéristique et épines orales
La majeure partie de la membrane frontale (opesia*) est cachée par un scutum* (flèches rouges) robuste et ovale, rattaché par un large pédoncule* légèrement asymétrique et inséré en distal du côté des épines distales internes. Le pédoncule portant le scutum est renforcé au niveau de son bord médian extérieur.
Il y a deux ou trois épines orales orientées vers le haut (en distal), essentiellement présentes aux extrémités des branches, une à l'angle interne et une ou deux plus longues à l'angle externe comme illustré sur cette photo.
(échantillon n° AN12)
Antibes (06), (photo à la loupe binoculaire)
08/2009
Face dorsale en épi
La face dorsale des branches est carénée et porte de nombreuses rainures accessoires destinées à loger les fouets des vibraculaires.
(échantillon n° AN12)
Antibes (06), (photo à la loupe binoculaire)
08/2009
Longs fouets (vibraculaires)
Les longs fouets des vibraculaires* sont finement dentés.
Antibes (06), (photo au microscope)
08/2009
Lophophores discrets
Les lophophores* à 13 tentacules* ciliés* sont translucides et de petite taille.
(échantillon n° AN14)
Antibes (06), (photo au microscope)
08/2009
Fixée au substrat par de fines "racines"
La colonie est rattachée à son support par de fines structures calcifiées, nommées rhizoïdes*, et qui sont issues de vibraculaires* modifiés.
Antibes (06), (photo au microscope)
08/2009
Dessins originaux de l'auteur
Ces reproductions anciennes montrent, d'une très belle façon, les détails des zoïdes* et des colonies :
(Dessins issus de la planche n°12 de Audouin 1826 et réorganisés sur ce visuel)
- Fig 4.2 : il apparaît clairement, sur cette vue frontale d'une partie de la colonie, que les zoïdes* sont bien organisés en deux séries parallèles au niveau des rameaux,
- Fig 4.3 : sur cette vue de la face dorsale (ou basale) dépourvue d'ouvertures zoïdales, les zoécies sont allongées et orientées vers l'extérieur des branches. Associé à la présence de longs et fin filaments (vibraculaires*), un par zoécie, l'aspect de cette face dorsale évoque un épi de céréale. Sur cette face basale, chaque zoïde émet un rhizoïde*, ceux-ci descendent le long de la face basale et dont ils couvrent le milieu.
- Fig 4.4 : portion de la face frontale portant des individus ovicellés ("K" = ovicelle*).
- Fig 4.5 : portion du même fragment vue du côté dorsal. La fine gouttière médiane et oblique, sur chaque individu, et qui peut recevoir le vibraculaire*, est bien materialisée sur ce dessin. L'aspect en épi est caractéristique du genre Caberea.
- Fig 4.6 : fragment aux zoïdes sans ovicelle et montrant le large scutum* ovale caractéristique masquant une grande partie de l'opesia*.
Audouin J. V., 1826, Explication sommaire des planches de polypes de l’Égypte et de la Syrie, publiées par Savigny J.C., 4e partie, 225-244 p., in : Description de l’Égypte, ou recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'armée française, publié par les ordres de sa majesté l'empereur Napoléon le Grand, Histoire naturelle, Tome premier, Imprimerie Impériale, Paris.
Andouin in Savigny, planche n° 12, figures 4
Reproduction de documents anciens
1826
Rédacteur principal : Frédéric ANDRÉ
Vérificateur : Valérie CARO
Responsable régional : Frédéric ANDRÉ
Audouin J. V., 1826, Explication sommaire des planches de polypes de l’Égypte et de la Syrie, publiées par Savigny J.C., 4e partie, 225-244 p., in : Description de l’Égypte, ou recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'armée française, publié par les ordres de sa majesté l'empereur Napoléon le Grand, Histoire naturelle, Tome premier, Imprimerie Impériale, Paris.
Hayward P.J., McKinney F.F., 2002, Northern Adriatic bryozoa from the vicinity of Rovinj, Croatia, Bulletin of the American Museum of Natural History, 270(1), 1-139.
Tilbrook, 2006, Caberea boryi (Audouin, 1826), p.56, pl.7E-F.