Corps trapu comprimé latéralement, taille maximale 20 cm
Tête plus haute que longue, museau formant un angle proche de 90°, lèvres noires toujours entrouvertes
5 ou 6 fortes épines sur les flancs des mâles, groupe de soies dressées chez les femelles au même endroit
Pédoncule caudal puissant et caudale courte et arrondie, les deux de couleur noire
Couleur de fond brune à grise souvent pâlie au milieu du corps, avec 10 à 12 barres verticales plus foncées au milieu des flancs
Dorsale molle, anale et pectorales à membranes translucides et rayons ocre jaune
Broom filefish, broom leatherjacket, brushsided leatherjacket (GB), Pesce lima scopa (I), Besen-Feilenfisch (D), Borstel vijlvis (Pays-Bas), Besem-vylvis (Afrique du Sud)
J.E. Gray, le descripteur du genre, donnait à l’espèce le nom commun de « Spine-Sided Monacanthus ».
Balistes scopas Cuvier, 1829
Monacanthus scopas (Cuvier, 1829)
Thamnaconus penicularius Fourmanoir, 1955
Mer Rouge et Indo-Pacifique
Zones DORIS : ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge]Amanses scopas est présent en mer Rouge et dans les zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest et centre.
Dans l’océan Indien, on le trouve des côtes de l’Afrique de l’Est à l’Australie, en passant par les Comores, Madagascar, les Mascareignes*, les Seychelles, l’Inde et la mer d’Andaman.
Dans le Pacifique, on le rencontre du sud du Japon à la Grande Barrière de corail (Australie), avec une distribution vers l’est qui s’étend jusqu’à la Polynésie française en passant par la Nouvelle-Calédonie et la plupart des îles comprises dans ces limites.
Le poisson-lime balai se rencontre en milieu corallien dans les lagons*,
sur les pentes externes et les récifs du large, sur des fonds sableux ou
détritiques*.
Sa distribution verticale va généralement de 1 à 18 m, bien que l'on puisse parfois le rencontrer un peu plus bas.
Description succincte : ce poisson-lime d’une taille maximale de 20 cm a un corps trapu et comprimé latéralement, une tête pointue plus haute que longue, un pédoncule* caudal puissant et une nageoire caudale courte et arrondie. Quand la poche pelvienne est dilatée, elle forme un triangle inversé dont le sommet est un angle droit au niveau de l’abdomen. On trouve à l’arrière des flancs du mâle 5 ou 6 épines fortes et longues, rabattues sur le corps, et chez la femelle, au même endroit, une touffe de grandes soies* dressées. Quand il est érigé, le premier rayon de la dorsale consiste en une longue épine recourbée vers l’arrière.
La couleur de fond peut être brune, grise, jaunâtre ou verdâtre. Une large zone plus pâle que la couleur de fond est fréquente entre la tête et le groupe d’épines. Cette zone est marquée par 10 à 12 barres verticales noirâtres à ocre de longueur inégale. Les lèvres, le pédoncule caudal et la nageoire caudale sont noirs.
Description détaillée :
Morphologie
Le corps est trapu et fortement comprimé latéralement. Sa hauteur, mesurée à la verticale de la poche pelvienne* quand celle-ci n’est pas dilatée, entre environ deux fois dans la longueur standard* (longueur sans la queue).
Le museau forme un angle proche des 90°. Le profil dorsal est plat à légèrement bombé entre la nuque et l’origine de la dorsale molle, à partir de laquelle il descend vers le pédoncule caudal. Le profil ventral prolonge celui de la tête jusqu’au rudiment de nageoire pelvienne, puis il remonte jusqu’au pédoncule* caudal. Quand la poche pelvienne est complètement distendue, elle rompt ce profil au niveau de l’abdomen* en formant un triangle inversé dont le sommet est un angle droit.
Le pédoncule caudal est puissant (sa hauteur équivaut à la longueur de la caudale).
Un groupe de 5 ou 6 robustes épines est placé au milieu des flancs à l’aplomb du premier tiers de la dorsale molle chez les mâles. Ces épines sont longues (leur longueur est égale ou supérieure à celle de la caudale) et elles sont rabattues vers l’arrière. Chez les femelles, on trouve au même emplacement un groupe dense de soies* dressées évoquant une brosse de forme ovale aux poils épais (ou un balai, d’où le nom commun usuel). Le corps est couvert de petites écailles généralement visibles qui portent de courtes spinules* orientées vers l’arrière. Ces spinules sont nettement plus fortes sur le pédoncule caudal.
La ligne latérale* n’est pas visible. La taille maximale documentée est de 20 cm.
La tête, plus haute que longue, est massive. Son profil dorsal est droit à légèrement concave. L’œil est haut placé, légèrement globuleux et relativement grand (son diamètre entre environ 3,5 fois dans la longueur de la tête). Une paire de narines presque accolées se trouve juste devant lui. La bouche est petite et terminale avec des lèvres fines toujours entrouvertes sur les puissantes incisives blanches projetées vers l’avant des deux mâchoires. Une fente branchiale* oblique et légèrement ondulée commence à l’aplomb de la partie postérieure de l’œil, à peu près aux deux tiers de la distance qui le sépare de la nageoire pectorale, et s’achève devant la base de cette nageoire.
La dorsale épineuse, située au-dessus de l’œil, consiste en deux rayons généralement cachés dans un sillon du tégument*. Elle ne sort de ce sillon qu’en situation de stress ou d’intimidation. Le premier rayon, en forme d’épine recourbée vers l’arrière, est particulièrement long (sa longueur est à peu près identique à celle du museau). Il est alors bloqué en position érigée par le second rayon, beaucoup plus court. Le premier rayon est discrètement denticulé.
La dorsale molle et l’anale sont symétriques mais l’anale, plus courte, commence derrière l’aplomb des 5 à 6 premiers rayons de la dorsale molle. La base de ces deux nageoires est gainée par un repli écailleux du tégument.
La caudale est courte et légèrement arrondie.
Les pectorales sont en forme d’éventail avec des rayons latéraux plus courts que les rayons centraux.
Il n’y a pas de nageoires pelviennes. Elles sont remplacées par un petit rudiment osseux fixe et hérissé de protubérances pointues.
Couleurs
La couleur de fond est brune à grise, voire jaunâtre ou verdâtre. Ces couleurs sont fréquemment plus ou moins pâlies dans les deux tiers antérieurs des flancs, de la nageoire pectorale aux épines ou aux soies situées sous la dorsale molle, et parfois jusqu’au pédoncule caudal. La zone centrale de cette partie est marquée par une série de 10 à 12 barres verticales noirâtres à ocre plus ou moins ondulées et de taille inégale. Leur longueur augmente régulièrement des premières, situées à l’aplomb du sillon de la dorsale épineuse, jusqu’à l’aplomb des premiers rayons de la dorsale molle et diminue ensuite jusque devant le pédoncule caudal quand il y en a plus de 10 ; quand il y en a 10, la dernière traverse la base du groupe d’épines présentes sur les flancs du mâle. Ces épines peuvent porter des zones blanches, souvent à leur pointe. Le pédoncule* caudal est noirâtre.
La tête a la même la couleur de fond que le corps, mais elle peut être plus foncée. Quand elle est claire, on peut distinguer un anneau plus foncé autour de l’œil, dont la partie inférieure rayonne en deux ou trois bandes orientées vers le museau pour la première, la joue pour la deuxième et la gorge pour la troisième. La protubérance charnue qui contient l’œil est d’un brun jaunâtre discrètement cerclé de bleu à sa base ; l'iris* est marron. Les lèvres sont noires. La fente branchiale est souvent surlignée d’une couleur plus foncée que la couleur de fond.
Les membranes de la nageoire dorsale molle, de l’anale et des pectorales sont translucides avec des rayons jaunes à ocre. La gaine à la base de la dorsale molle et de l’anale peut être noirâtre ou jaunâtre, en fonction de la couleur de fond. La caudale est brun foncé à noire.
Amanses scopas peut être distingué de toutes les autres espèces de Monacanthidés grâce au groupe d’épines placé à l’arrière des flancs du mâle et à la touffe de soies rigides au même endroit chez les femelles.
Le poisson-lime balai est un corallivore* dit « obligatoire » : il ne se nourrit que des polypes* qu’il prélève sur les massifs coralliens. Parmi les coraux qu’il exploite se trouvent les genres Acropora, Pocillopora et Porites.
La biologie de la reproduction n’a pas été étudiée chez Amanses scopas à la date de publication de cette fiche [11/2024], à notre connaissance. La plupart des poissons de la famille des Monacanthidés déposent leurs œufs dans un nid préparé et gardé par les deux parents, mais certaines espèces tropicales dispersent leurs œufs dans la colonne d’eau. Il est donc impossible de généraliser.
Les juvéniles sont très rarement documentés. Une photo d’un individu de 52,9 mm proposée par le CRIOBE (Centre de Recherches Insulaires et OBservatoire de l’Environnement, associé entre autres au CNRS) montre un individu préservé dans une solution de fixation dont le profil dorsal de tête est nettement concave et dont le corps s’affine vers l’arrière dès la dorsale épineuse. Il n’a pas de barres noirâtres sur les flancs, alors qu’elles sont visibles sur un adulte lui aussi préservé. Pas d’épines ou de soies sur les flancs non plus. Pour le reste, sa livrée et celle de l’adulte ne diffèrent pas sensiblement, tant pour le corps que pour les nageoires.
Entre autres parasites, Amanses scopas a les intestins infestés par les plathelminthes trématodes Lepotrema clavatum, Lepotrema amansis, et Lintonium madhaviae, et les branchies* parasitées par le crustacé copépode Hatschekia khahajya.
Amanses scopas est diurne*. La nuit, il dort dans les coraux en mordant un petit relief pour s’arrimer. Il se protège ainsi des courants et évite les ectoparasites* qui profitent du sommeil des poissons qui dorment sur le fond.
La nage du poisson-lime balai est de type « balistiforme » : la locomotion est assurée par l’oscillation et l’ondulation coordonnées de la dorsale molle et de l’anale ainsi que par les pectorales. La caudale est utilisée pour les déplacements rapides quand ils sont nécessaires.
Les individus sont généralement solitaires, mais on peut les trouver par paires. Ils sont craintifs et ne se laissent pas facilement approcher. Ils cherchent refuge dans les massifs de coraux quand ils se sentent en danger.
La dorsale épineuse comprend 2 rayons, et la dorsale molle 26 à 29. La nageoire anale a 22 à 25 rayons, les pectorales en ont 13.
Une étude menée en Polynésie française (Grupstra et al., 2021) montre que la concentration de zooxanthelles* vivantes dans les fèces* des poissons corallivores* obligatoires, dont Amanses scopas, est nettement supérieure à celles des excréments des corallivores facultatifs et des brouteurs-détritivores*. Elle est de surcroît 4 à 5 fois plus élevée que dans le sédiment et 6 à 7 fois plus que dans la colonne d’eau. Cette redistribution dans le milieu de microalgues essentielles à la vie des coraux fait que les poissons qui s’en nourrissent sont aussi des promoteurs de leur bonne santé.
L’espèce est considérée comme peu commune.
Le plus grand Monacanthidé est le bourse-écriture Aluteres scriptus, avec une taille maximale documentée de 110 cm, et le plus petit est probablement Rudarius excelsus, qui ne dépasse pas 2,5 cm.
Le statut d’Amanses scopas pour l’UICN* est LC (Least Concerned, traduit par « Préoccupation mineure »), ce qui signifie que les informations recueillies sur l’espèce ne permettent pas de la classer dans les autres catégories, notamment dans les trois qui alertent sur une menace (CR : en danger critique d’extinction, EN : en danger, VU : vulnérable). En fonction de quoi elle n’est pas actuellement concernée par des mesures de protection.
Toutefois, sa corallivorie obligatoire fait que l’espèce est menacée par la dégradation des coraux.
Poisson-lime : c’est le nom commun des Monacanthidés, ainsi nommés à cause de leur tégument rugueux et abrasif dû à des écailles armées de spinules*.
balai : traduction du nom d’espèce (voir ci-dessous).
Amanses : le genre (établi comme un sous-genre) est mentionné en 1835 par le zoologiste anglais John Edward Gray (1800-1875) dans Illustrations of Indian zoology ; chiefly selected from the collection of Major-General Hardwicke, F.R.S. (volume II), qui est un recueil de dessins naturalistes. Il est nommé dans la liste des planches présente en tête de l’ouvrage, et la 98e planche propose le dessin d’un Monacanthus (Amanses) histrix, qui représente l’actuel Amanses scopas. Il n’y a pas de description, ni donc d’explication concernant son nom.
Ce nom provient probablement de l’alchimie, où il désigne des contrefaçons de pierres précieuses selon certains alchimistes. L’alchimie est parfois considérée comme l’ancêtre de la pharmacie et le père de Gray était un pharmacologiste renommé, assisté dans ses travaux par Gray lui-même ; il est donc possible que le nom du genre lui vienne de cette culture et qu’il renvoie à la présence des épines et des soies présentes sur les flancs de l’espèce, qu’on ne trouve chez aucun autre Monacanthidé et qui en ferait donc une « contrefaçon ».
Le sous-genre Amanses sera élevé au rang de genre par J.E. Randall en 1964.
Le genre est monotypique* : il ne contient qu’A. scopas, qui est donc l‘espèce-type*.
scopas : du nom latin [scopa], qui signifie balai.
L’espèce est mentionnée en 1829 par l’anatomiste français George Cuvier (1769-1832) dans Le Règne Animal, distribué d'après son organisation, pour servir de base à l'histoire naturelle des animaux et d'introduction à l'anatomie comparée (2e édition, volume 2, p. 374). Dans le paragraphe consacré aux Monacanthes, il écrit que certains se distinguent « parce que les côtés de leur queue sont hérissés de soies rudes » en renvoyant au « baliste à brosse, Balistes scopas », ainsi nommé par Commerson. Le choix du nom d’espèce vient donc de la touffe de soies rigides présente chez les femelles en avant du pédoncule caudal, qui peut évoquer une brosse ou un balai.
La localité du type* est l’île Maurice.
Numéro d'entrée WoRMS : 212242
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Classe | Teleostei | ||
Ordre | Tetraodontiformes | Tétraodontiformes | Groupe hétérogène mais absence d'écailles imbriquées, ouvertures branchiales réduites, bouche très peu fendue, pelviennes anormales ou absentes. |
Famille | Monacanthidae | Monacanthidés | Bourses ou Poissons-lime. |
Genre | Amanses | ||
Espèce | scopas |
Beau mâle
Les longues et fortes épines présentes entre la dorsale molle et l’anale différencient les mâles des femelles, qui ont à cet endroit une touffe de soies dressées. La longueur de ces épines peut être égale ou supérieure à celle de la caudale : chez ce sujet elles sont plus longues que la nageoire.
Elphinstone Ouest, Egypte, mer Rouge, 23 m
26/08/2012
Comprimé latéralement
Le corps est fortement comprimé latéralement.
Ce cliché permet en outre de voir que les épines latérales sont rabattues sur le corps.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
16/11/2011
Profil singulier
Le profil de ce poisson est particulier quand le premier rayon de la dorsale épineuse est rabattu dans son sillon et que la poche pelvienne est dilatée.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
10/03/2012
Épines latérales
Les épines latérales du mâle sont généralement au contact les unes des autres et peuvent être teintées de blanc.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
21/11/2020
Soies
La touffe de soies rigides et dressées qui signale les femelles évoque une brosse ou un balai. Ce qui permet de comprendre le nom commun actuel de l’espèce (poisson-lime balai) et celui qui lui a été donné au XVIIIe siècle par le naturaliste français Philibert Commerson (baliste à brosse).
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
17/03/2013
Dentition
Les lèvres sont toujours entrouvertes sur de puissantes incisives blanches projetées vers l’avant. Cette dentition est bien adaptée à la diète de l’espèce, qui se nourrit de polypes de coraux.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
08/06/2012
Intimidation
Le premier rayon de la dorsale épineuse dressé, la poche pelvienne dilatée et les épines latérales en éventail montrent que cet individu est stressé et qu’il cherche probablement à intimider la photographe.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
25/12/2013
Craintif
Le poisson-lime balai est craintif et ne se laisse pas facilement approcher.
Il cherche généralement refuge dans les massifs de coraux quand il se sent en danger, mais un dédale de débris coralliens peut aussi faire l’affaire.
Safaga, Egypte, mer Rouge, 6 m
08/04/2018
Distribution : en mer Rouge
Amanses scopas est présent en mer Rouge, ce qui n’est pas le cas de toutes les espèces à distribution indo-Pacifique.
Cet individu a été photographié dans les eaux du vertigineux récif d'Elphinstone, situé à une trentaine de kilomètres au nord de Marsa Alam et à 12 km du rivage, sur la côte égyptienne de la mer Rouge.
Récif d'Elphinstone Ouest, Egypte, mer Rouge, 23 m
26/08/2012
Distribution : dans les Mascareignes
Dans l’océan Indien, cette espèce n'est pas rare et on peut la rencontrer sur une large distribution. Cet individu fréquentait la côte ouest de l'île de La Réunion mais on trouvera aussi l'espèce dans les autres îles et archipels du sud-ouest de l'océan Indien (les Comores, Madagascar, les Seychelles, Maurice....).
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
16/11/2011
Illustration de l’espèce-type par le descripteur du genre
Ce dessin d’Amanses scopas illustre, sous le nom de Monacanthus (Amanses) histrix, ce que le descripteur consacré du genre, John Edward Gray, considérait comme un sous-genre.
Le dessin est par ailleurs la seule contribution du descripteur, puisque le sous-genre en question n’est pas décrit !
Source : Illustrations of Indian zoology ; chiefly selected from the collection of Major-General Hardwicke, F.R.S. (volume II), 1833-1834, Planche 98.
Planche n°98, par John Edward Gray (1800-1875). extraite de l'ouvrage Illustrations of Indian zoology ; chiefly selected from the collection of Major-General Hardwicke, F.R.S. (volume II), Londres, 1833-1834.
Reproduction de documents anciens
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Rédacteur principal : Philippe BOURJON
Vérificateur : Alain-Pierre SITTLER
Responsable régional : Alain-Pierre SITTLER
Bray R.A., Cribb T.H., 1996, Two Lepotrema Ozaki, 1932 species (Digenea: Lepocreadiidae) from marine fishes from the southern Great Barrier Reef, Queensland, Australia, Systematic Parasitology, 35, 111-117.
Bray R.A., Cutmore S.C., 2018, Lepotrema Ozaki, 1932 (Lepocreadiidae: Digenea) from Indo-Pacific fishes, with the description of eight new species, characterised by morphometric and molecular features, Systematic Parasitology, 95, 693-741.
Cribb T.H., Martin S.B., Diaz P.E., Bray R.A., Cutmore S.C., 2021, Eight species of Lintonium Stunkard & Nigrelli, 1930 (Digenea: Fellodistomidae) in Australian tetraodontiform fishes, Systematic Parasitology, 98, 595-624.
Eyal G., Eyal-Shaham L., Loya T., 2011, "Teeth-anchorage": Sleeping behavior of a Red Sea filefish on a branching coral, Coral Reefs, 30, 707.
Fourmanoir P., 1957, Poissons téléostéens des eaux malgaches du canal de Mozambique, Mémoires de l'Institut Scientifique de Madagascar, Série F, Océanographie, 1, 279-280.
Grupstra C.G.B., Rabbitt K.M., Howe-Kerr L.I., Correa A.M.S., 2021, Fish predation on corals promotes the dispersal of coral symbionts, Animal microbiome, 3, 25.
Randal J.E., 1964, A Revision of the Filefish Genera Amanses and Cantherhines, Copeia, 2, 331-361.
Uyeno D., Nagazawa K., 2010, A new species of parasitic copepod of the genus Hatschekia Poche, 1902 (Siphonostomatoida: Hatschekiidae) from filefishes (Pisces: Tetraodontiformes: Monacanthidae) from off Okinawa, Japan, Systematic Parasitology, 76, 53-58.
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La page de Amanses scopas dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN
La page de Amanses scopas sur le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase