Parasite?

Bruno CHANET le 14/11/12

avant tout envoi ... photos !!

gaffe !! chairs et peau toxiques chez ce genre (vérifie dans FB) !! gants et nettoyages de tout objet en contact

Philippe BOURJON le 14/11/12

Ok pour l'excroissance, mais il faut supposer la touffe en mèche aplatie faute d'eau sur le Diodon, et c'est cette prolifération d'aspect végétal (je ne dis pas que c'est végétal) qui m'intrigue encore.

Si je le trouve mort (ce qui ne saurait tarder semble-t-il), j'essaierai de te l'envoyer, ou au moins les proliférations en question ;-)

Deux détails qui me reviennent en mémoire : il claquait des dents d'un coup sec à peu près toutes les deux minutes, et l'un des yeux était manifestement atteint lui aussi.

Bruno CHANET le 14/11/12

sans doute la même chose que chez ce Diodon holacanthus, mort à l'Aquarium de Vannes

Bruno CHANET le 14/11/12

non, c'est l'excroissance osseuse et pathollogique!!

j'ai des images de cela sur un Diodon mort, je te cherche cela

Philippe BOURJON le 13/11/12

Merci Bruno pour l'info.
Il se pourrait qu'il y ait ce dont tu parles ici, ce qui expliquerait que la lèvre supérieure soit exagérément retroussée, mais quid des saletés qui poussent en haut des dents, venues probablement des gencives?

Un parasite quelconque qui aurait profité de tissus enflammés et peut-être infectés pour s'installer? Ces trucs-là ne font pas vraiment tumoraux, et ils me rappellent un parasite "en mèche" non identifié (posté il y a un temps sur le forum) que je vois parfois sur le flanc d'autres espèces.

Bruno CHANET le 13/11/12

Philippe,

au moins en aquariums (aquaria ?), ce type d'animaux est sujet aux excroissances osseuses des machoires, sans doute est-ce ici le cas.

tumeur ? probable, résultant d'une hypercroissance osseuse des os des mâchoires, avec inclusion des dents, dites coalescentes, dans la masse osseuse

Philippe BOURJON le 13/11/12

Erreur, mes excuses : ce n'était pas il y a 2 jours, mais un peu plus de 15. Je l'ai confondu avec un autre hispidus mal fichu présent sur le même spot, on s'y perd...

Philippe BOURJON le 13/11/12

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