?

Philippe BOURJON le 13/11/11

Bon, ben ça devrait être ça alors. Merci pour tout!

Bruno CHANET le 12/11/11

sans problème !!

Philippe BOURJON le 12/11/11

Merci pour l'info. Donc : est-ce que des bactéries peuvent produire un voile avec des couches superposées, transparentes et assez consistantes pour retenir des particules étrangères?

Bruno CHANET le 12/11/11

si les piquants et fragments de tests ne sont pas érodés, ils ont été broyés, puis recrachés par l'extremité antérieure du tube digestif ...

salive réduite chez ces animaux

Philippe BOURJON le 12/11/11

Merci Bruno pour ce début d'explication. Je dois t'avouer que, mon ignorance aidant, je me suis demandé un instant si "crachouillis" était un concept de bio marine, mais je me suis vite aperçu qu'il ne concernait que les dragons ;-)

Le sac reste mystérieux : j'imagine qu'un voile de bactéries aurait poussé sur le tas de débris mais ne se serait que très peu développé en-dessous, entre le substrat et les débris, et l'aurait fait sans former une sorte de sac. Et ça n'aurait pas été aussi consistant.

Est-il possible que des balistes ou d'autres amateurs d'oursins enveloppent d'une salive épaisse ou d'un mucus quelconque les éléments non comestibles de la proie avant de les recracher (notamment à cause des piquants, pratiquement tous intacts)?

Bruno CHANET le 12/11/11

crachouilli fossile avec reste d'oursins ici

Bruno CHANET le 12/11/11

cela me rappelle les crachouillis, abondants fossiles dans certains gisements, de poissons

l'animal crachant tests et piquants broyés par ses dents avant d'avaler le contenu, phéno souvent filmé durant les séances de nourrisssage de poissons tropicaux actuels.

le fait que les fragments de tests soient "intacts", non rongés par les acides gastriques, me confortent dans cette "analyse".

reste le problème du "sac" autour ... film bactérien, un peu épais ?????