éponge

Francis POLLAK le 29/09/15

Bonjour Frédéric.
Tes réponses pourront-elles être conservées avec la v4 ?

Frédéric ANDRÉ le 29/09/15

La photo principale est bien, de couleur "standard", Hexadella racovitzai Topsent, 1896, http://doris.ffessm.fr/fiche2.asp?fiche_numero=811

la photo de Dominique H. est Haliclona mucosa.

gosnik laurent le 25/02/10

ouh la la
je suis loin d'être un spécialiste, plutôt un grand amateur de toutes ces formes et ces couleurs (ça m'a pris en Martinique lors du passage de mon premier niveau en 2006, la Martinique  :"royaume des éponges")
Et je ne supporte pas de ne pouvoir donner un nom à ces organismes, surtout quand ils occupent plus de 50% de la photo.
Alors en affirmant haut et fort que c'était hexadella racovitzai, je m'attendais bien sûr à une petite réaction.
J'ai une photo de cette espèce de couleur rose (post 2882 sur Doris); et j'ai lu qu'elle pouvait être aussi plus claire.
Je joins un grossier aggrandissement où apparaissent les "détails" qui m'ont fait pencher vers hexadelle :
le même aspect "fibreux".
Ceci dit, n'étant pas spécialiste, il se peut fort bien que je me base sur de mauvais repères.
Avis aux "vrais" experts...

Anne PROUZET le 25/02/10

Détails ?  Qué détails ???
mais vous avez des yeux de larynx !!!

Moi je ne vois rien du tout. Où sont les rides superficielles en ligne ou en étoile, les oscules membraneux disposés parallèlement, etc ??
Bon, j'ai compris, c'est l'âge...

Mais Laurent, tu sembles bien t'y connaître en éponges Méditerranéennes et justement on a un énorme besoin de spécialiste de ces animaux. Accepterais-tu de rédiger et/ou relire des fiches éponges  pour DORIS ?

gosnik laurent le 25/02/10

j'ai pu visionner d'autres photos sur le net, il s'agirait bien d'hexadella racovitzai (détails très ressemblants).

gosnik laurent le 25/02/10

on y travaille (je parle de l'option n°2 of course )

Anne PROUZET le 24/02/10

Laurent,
comme je te comprends !
J'en suis moi-même à renoncer à une sortie plongée quand je ne suis pas sûre d'avoir un binôme bio ou photo, c'est trop frustrant !
Il ne te reste que 3 options: 
1 - Noyer ton binôme
2 - le convertir  à la bio
3 - lui offrir un APN + caisson...

Belles plongées !

gosnik laurent le 24/02/10

@ Anne

ah,... si je pouvais effectuer toutes mes plongées avec des fana de bio et de photos ...
ça me permettrait évidemment de prendre le temps de faire 3,4 ou 5 clichés du même organisme, de toucher, d'observer longuement...
Malheureusement, et heureusement, tous les goûts sont dans la nature. Et rester proche de son binôme est la règle n°1, fort peu réalisable, lorsque l'on s'intéresse de près à un organisme qui n'attire pas la sympathie de tous les plongeurs. Donc, on prend la photo et on passe à autre chose.

De plus, pour se souvenir de tous les paramètres (environnement, profondeur,détail au toucher...)  de chaque organisme photographié !!! (environnement, profondeur,détail au toucher...) 

Alors, pour mettre un nom sur un organisme, il nous reste le web et l'excellentissime DORIS, et ces non-moins excellentissimes spécialistes.
Mais c'est promis, la prochaine fois, je prends le temps de faire connaissance avec mon sujet !

Dominique HORST le 24/02/10

Même de loin, cette éponge me rappelle beaucoup celle-là (sous un surplomb également)...
Elle a été proposée comme Hexadella racovtzai, pour la fiche, mais il y a des doutes, alors mieux vaut l'écarter si pas de certitude... Reste que l'identification nous échappe....
/Dominique

 

Anne PROUZET le 23/02/10

Chers amis du Forum,
C'est pas pour ronchonner ni pour rabâcher, mais... ne vous attendez pas à ce que quelqu'un ose vous donner un nom d'éponge à partir d'une vague tache jaunâtre en arrière-plan de photo ! 
Je ne parle même pas de prélèvements ou de spicules, mais il faut au moins s'intéresser assez à votre sujet pour le photographier de près dans ce qu'il a de personnel et et de particulier : l'aspect de la surface, le relief, les oscules,  la bordure, que sais-je  ?  savoir au moins si c'est dur ou mou... bref faites connaissance avant tout !

Et puis il faut accepter, ça n'a rien de frustrant ou de négatif, qu'on puisse ne pas savoir à partir d'une simple photo.
C'est pas beau, déjà, d'aller les voir sur place et les photographier ?

Julian ARANGUREN le 23/02/10

Il semble que vous aillez d'ailleurs aussi photographié un corail rouge (Corallium Rubrum) ! Au centre, vous pouvez d'ailleurs admirer un ver tubicole Serpula vermicularis.
C'est fou ce que le benthos peut révéler en faune qui passe bien souvent inaperçue du photographe !