Yvan PUNTOUS le 12/03/16
Tout est dit dans le titre, sauf que dans mes souvenirs, si, vus avec le masque (et mes lentilles de contact), ils faisaient 3 cm de long, c'était le bout du monde.
Yvan PUNTOUS le 13/03/16
Bonjour Philippe, on se croise...
Toujours dans le tri de mes photos, j'allais justement en poster une autre mais pas pour les juvéniles qu'on voit encore, avec, en plus un "chevreau" différent du précédent mais aussi avec une toute petite femelle de perroquet brûlé, mais simplement pour demander si c'était bien, juste derrière le "chevreau" et dans l'angle bas droit , des microbialithes avec une perle terminale, mais je ne trouve aucune photo permettant de confirmer, sauf sur un document où elle est trop petite et pas de qualité : Hydrocoleum coccineum http://www.atolls-polynesie.ird.fr/commatoll/micrb...
Je poste la photo dans une autre discussion.
Bonne journée
Philippe BOURJON le 13/03/16
J'ajoute qu'il est possible que ces juvéniles soient ceux de Scarus psittacus. Sans la moindre garantie, évidemment.
Philippe BOURJON le 13/03/16
Je pense que oui. Observez la morphologie générale, le "bec", les larges écailles et la forme de la caudale notamment. Quant à aller plus loin, je ne crois pas que ce soit possible : à cette taille ce patron gris verdâtre est partagé par plusieurs espèces (comme le patron à lignes horizontales brunes sur fond clair pour un stade plus jeune). Pour vous faire une idée de la complexité de la détermination des juvéniles chez les Scaridae, voyez les descriptions ici (descriptions à partir de la page 193, planches en fin d'ouvrage). Sachant que certains juvéniles aussi changent de couleur en fonction de l'humeur, du biotope et de leur taille-âge : ils deviennent plus ou moins pâles, ou passent du gris au vert et inversement avec apparition et disparition des taches claires, pour l'essentiel (les motifs en ligne brunes ne changent pas, à ma connaissance).
Si vous avez la patience de tenter d'y voir clair dans ce domaine peu fréquenté, bienvenue au club des naturalistes masos !