Manteau oblong (de 9 cm de longueur) plus de 2 fois plus long que large
Bord dorsal antérieur du manteau aigu faisant saillie vers l'avant jusqu'entre les 2 yeux
8 bras courts de longueur presque égale
Chaque bras porte 2 rangées de ventouses de taille décroissante vers l'extrémité
3 à 4 ventouses plus grandes au milieu de la massue tentaculaire courte et ovale
Nageoires n'atteignant pas le bord antérieur du manteau et ne s'élargissant pas vers l'arrière
Face ventrale du manteau avec une rangée longitudinale de 6 crêtes blanchâtres étroites de chaque côté près des nageoires
Animal brun rougeâtre
Petite seiche, supiou
Elegant cuttlefish, little cuttlefish (GB), Castagnola, seccatella difango, seccia austina, seppia elegante, seppia piccola (I), Castaño, choquiňo, choquito, choquito sin punta, sepia elegante (E), Schlammsepie, Kleine Sepie (D), Choco-elegante (P), Sierlijke zeekat (NL), Txoko dotorea (Basque), Castanyo (Catalan)
Sepia biserialis Blainville, 1827
sepia elegans Blainville, 1827
Sepia ruppellaria de Férussac et d'Orbigny, 1835
Sepia rubens Philippi, 1844
Sepia bisserialis Vérany, 1851
Sepia italica Risso, 1854
également sous les noms de genre Parasepia
Atlantique Est et Méditerranée
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises]La seiche élégante est présente dans l'Atlantique Est de 55°N sur la côte ouest de l'Ecosse, dans le sud de la mer du Nord et jusqu'à la Namibie (21°S) vers le sud (voire jusqu'au banc des Aiguilles à l'extrémité de l'Afrique du Sud) et dans toute la Méditerranée.
Des sépions (ou os de seiche) de cette espèce ont été récoltés sur les plages de la mer du Nord, mais aucun individu vivant n'a été observé. Les sépions flottent après disparition de la chair et sont déplacés par les courants.
La seiche élégante est une espèce démersale*, néritique* vivant dans les eaux côtières peu profondes modérément chaudes et sur les plateaux continentaux. C'est une espèce sublittorale* (circalittorale* et dans la zone supérieure du système bathyal*) qui habite les fonds de sable et de vase à des profondeurs de 2 m à 400 m (rarement à plus de 450 m). Elle est peu commune dans les zones côtières. La plus grande densité de populations, dans certaines régions, se situe vers 150 m de profondeur.
Elle passe l’hiver en eaux profondes (200-400 m). Au printemps et en été, certaines populations migrent vers les eaux peu profondes pour se reproduire. D'autres populations se reproduisent toute l’année.
Dans la mer de Marmara (Méditerranée) et dans certains estuaires, cette espèce a été trouvée dans des eaux saumâtres (salinité entre 18 et 25 ‰), ce qui indique un haut degré de tolérance.
La seiche élégante ne semble pas être capable de s'enfouir dans un substrat meuble.
La longueur du manteau* de la seiche élégante est d’environ 9 cm (les seiches sont mesurées par la longueur du manteau, la tête et les bras ne sont pas pris en compte). Les mâles adultes pouvant atteindre 7,5 cm de longueur du manteau et les femelles jusqu’à 9 cm. Le manteau est oblong, plus de 2 fois plus long que large. Le bord dorsal antérieur du manteau est aigu et fait saillie vers l’avant jusqu’entre les 2 yeux.
Les 8 bras courts sont presque de longueur égale.
La majorité des bras porte 2 rangées de ventouses de taille décroissante vers l’extrémité. Certains bras sont tétrasériés (4 rangées de ventouses) à la base puis bisériés vers l'extrémité. C'est le cas des bras II et III chez les mâles et des bras IV chez les femelles. Les bras sont numérotés de I à IV, de chaque côté, en partant du dos (I) vers le ventre (IV).
Chez le mâle adulte, le bras ventral gauche est transformé en bras hectocotyle*. Il porte 1 à 2 rangées de ventouses suivies de 9 à 11 rangées de minuscules ventouses, puis de nouveau des ventouses plus grandes jusqu’à l’extrémité du bras. Les ventouses sont disposées en 2 séries dorsales et 2 séries ventrales décalées latéralement.
Les massues des tentacules* sont courtes et ovales. La surface portant les ventouses est aplatie. Il y a 6 à 8 ventouses en rangées transversales. Les ventouses n’ont pas toutes la même taille. Au milieu de la massue, il y a 3 à 4 ventouses plus grandes.
Les nageoires n’atteignent pas le bord antérieur du manteau et ne s’élargissent pas vers l’arrière.
La face ventrale du manteau présente, de chaque côté près des nageoires, une rangée longitudinale de 6 crêtes étroites. Les 2 paires du milieu étant plus grandes que les 2 paires postérieures et les 2 paires antérieures.
L'animal est brun rougeâtre. La tête et la surface du manteau dorsal sont parsemées de quelques chromatophores*, violet-noir sur le manteau. Les nageoires et la surface du manteau ventral sont pâles, les crêtes du manteau ventral étant blanchâtres.
L'os de seiche (ou sépion) est oblong et convexe en vue latérale. Il se rétrécit en une pointe aiguë à l'avant. A l'arrière, il est recourbé ventralement et sa surface dorsale est uniformément convexe. L'épine est très petite, "plutôt comme une petite crête calcaire que comme une véritable épine". Les ailes latérales sont présentes, mais elles sont très petites.
Seules 3 espèces de seiches sont présentes sur nos côtes : Sepia officinalis, Rhombosepion orbignyanum et Rhombosepion elegans.
Rhombosepion elegans et Rhombosepion orbignyanum sont souvent confondues l’une avec l’autre et avec les jeunes individus de Sepia officinalis. Rhombosepion elegans a cependant un corps plus étroit.
R. orbignyanum et R. elegans ont toutes les deux le bord antérieur du manteau qui forme un lobe pointu qui s’étend entre les deux yeux.
Sepia officinalis a une coloration plus brunâtre, une plus grande taille. Elle vit moins profond et peut s’enfouir dans le sédiment pendant la journée. Les animaux matures sont reconnaissables à leurs bandes blanches sur le corps et aux petites taches blanches sur la surface supérieure des nageoires. Les mâles ont des lignes blanches ramifiées à la base des troisièmes bras évasés, se transformant en taches vers les extrémités.
En Méditerranée, les jeunes S. officinalis se distinguent de R. orbignyanum et de R. elegans par la couleur brune, plutôt que rouge, de leur peau, la forme du sépion et la disposition des ventouses sur la massue tentaculaire.
Rhombosepion orbignyanum est très proche de R. elegans (cette dernière est plus pâle) mais elle est un peu plus longue (environ 10 cm de longueur) et la couleur dorsale est à dominante rose ou orange. L’extrémité postérieure du corps est pointue du fait de la présence d’une épine terminale (peu visible chez l’animal vivant) sur le sépion.
La forme de la pupille est caractéristique chez
les seiches. Chez les 3 seiches, elle est légèrement différente. L'ouverture de
la pupille est moins divisée chez S. elegans et encore moins chez S.
officinalis (voir le schéma).
Sepia bertheloti est présente seulement dans l’Atlantique Est des Canaries à l’Angola, et est plus grande (17 cm de longueur).
Les seiches ont un régime carnivore. Ce sont des prédateurs opportunistes et leurs principales proies sont les mollusques, les petits crustacés, les poissons et les vers polychètes.
L'espèce se nourrit principalement de petits crustacés (comme Porcellana platycheles, Pisidia longicornis, Polybius henslowii), de Portunidés, de Majidés, de crevettes telles que Crangon crangon, d’Hippolytidés, Palaemon adspersus, P. serratus, d’autres Palaemonidés, Processa edulis, d’Euphausiacées, de Mysides, d’Ostracodes, d’Amphipodes Caprellidés, de Gammares, de poissons (comme Callionymus lyra, Aphia minuta, Pomatoschistus pictus) et d’annélides polychètes.
Comme chez les autres céphalopodes, les sexes sont séparés. La maturité sexuelle serait atteinte à l’âge d’un an pour une longueur de manteau* de 4 cm chez les mâles et de 4 à 6 cm chez les femelles.
En Méditerranée, les mâles et les femelles matures seraient présents toute l’année, ce qui suggère une période de reproduction continue avec un maximum au printemps et en été.
La durée de vie des individus de cette espèce serait de 12 à 19 mois.
L’accouplement n’a pas encore été observé, il doit être proche de celui de S. officinalis car aucune des femelles examinées n’avait de spermatophores* dans la cavité palléale* (Mangold 1963).
Les œufs blanchâtres, translucides, d’un diamètre maximum de 5 mm, sont fixés au support. Ils sont toujours en petite quantité, sur des supports allongés de préférence. Ils sont attachés isolément à une certaine distance les uns des autres. Ils ne forment pas de grappes comme chez S. officinalis et ils sont plus petits.
Les deux filaments étirés de l’enveloppe, formés par la femelle au moment de la ponte, sont fixés au support. L’œuf avec ses enveloppes peut ainsi former comme une bague avec un gros chaton sur le support (Bouligand 1961).
Sur les fonds vaseux fréquentés par la seiche élégante, les supports choisis par les femelles sont la plupart du temps des Cnidaires vivants plantés dans le substrat ou fixés sur des coquilles, des pierres isolées. Les œufs ont été observés sur Alcyonium palmatum, Antipathella subpinnata, Epizoanthus arenaceus, Alcyonium digitatum, Eunicella verrucosa, Nemertesia antennina, Aglaophenia sp..
On les trouve en outre, mais moins souvent, sur des coquilles et des Cnidaires du coralligène* (Mangold, 1963).
L’enveloppe avant l’éclosion est brune (Guerra Castro 1989).
Après l’éclosion, les jeunes animaux (3-4 mm de longueur du manteau) adoptent immédiatement le mode de vie benthique* des adultes. Il n’y a pas de stades paralarvaires*. Toutefois, ils peuvent s’attacher à un substrat dur par la face ventrale du manteau qui fonctionne alors comme une ventouse (Quéro 1998, Boletzky).
Les femelles de la seiche élégante abritent dans certaines glandes (les glandes nidamentaires accessoires) une communauté bactérienne (Roseobacter) dense comme chez d’autres sépiolides et calmars myopsides. Toutefois, on manque d’informations sur les effets (production d’antibiotiques et de toxines pour la protection des œufs ?) de cette association (Pichon & al 2005).
Comme tous les animaux sauvages, les seiches sont des hôtes intermédiaires ou définitifs de parasites :La seiche élégante est la plus petite représentante de la famille des Sépiidés en Méditerranée.
Comme la seiche épineuse, la seiche élégante ne semble pas avoir un comportement d’enfouissement dans un substrat meuble comme S. officinalis (Boletzky, 1996).
Peu après l’éclosion, les jeunes seiches peuvent adhérer à un support fixe en utilisant la surface ventrale du manteau et les bras postéro-ventraux qui jouent alors le rôle d’une ventouse. Toutefois, S. elegans et S. orbignyana perdent rapidement cette capacité (Boletzky Roeleveld 2000). Cependant, Sepia elegans et Sepia orbignyana restent en contact avec les substrats durs ou mous uniquement avec l’extrémité des bras ventraux, le manteau* restant presque horizontal grâce à la flottabilité quasi neutre de l’os de seiche (ou sépion) (Boletzky 1989, Boletzky Roeleveld 2000).
Comme les autres espèces de seiches, elle adapte en permanence la coloration et la texture de la peau en fonction des conditions environnementales et de son environnement. Des cellules colorées, les chromatophores*, contiennent des pigments et peuvent changer de conformation. Au repos, les chromatophores sont petits et grands quand ils sont étendus. Quand les fibres musculaires des chromatophores cessent de se contracter, le chromatophore revient à son état (petit) initial.
La peau peut être lisse ou hérissée d’excroissances.
Ces modifications de la coloration et de la texture de la peau lui permettent de se cacher de ses proies ou prédateurs (camouflage*) ou de communiquer avec d'autres seiches (homochromie*), en particulier en période de reproduction.
La seiche se déplace le plus souvent lentement grâce aux ondulations de la nageoire bordant le corps. Elle est également capable de mouvements extrêmement rapides en expulsant soudainement par l'entonnoir (ou siphon) musculeux l'eau contenue dans la cavité palléale* (cavité ventrale où baignent les branchies et où débouchent anus, orifice de la poche à encre et orifice génital).
Lorsqu'elle se sent menacée, la seiche, comme d'autres céphalopodes, peut masquer sa fuite en expulsant un nuage d'encre noire qui trompe son agresseur.
Sa croissance rapide exige un métabolisme élevé, d'où ses besoins énergétiques importants.
Par comparaisons génétiques, les deux petites seiches (R. elegans et R. orbignyanum) sont plus proches entre elles que de S. officinalis.
Cette espèce n’est pas particulièrement recherchée pour la pêche. Il s’agit d’une prise accessoire. Elle est d’ailleurs vendue avec d’autres espèces ou rejetée à l’eau.
L’os de seiche ou sépion est souvent observé dans la laisse de mer*. Les sépions des 3 seiches de nos côtes présentent quelques différences qui permettent de les identifier : celui de la seiche élégante est le plus petit (jusqu’à 9 cm de longueur), il est étroit, losangique et fragile. Il ne porte pas de rostre mais une petite crête rugueuse à son extrémité postérieure.
Le sépion est un coquille interne poreuse remplie de gaz (diazote) permettant à l’animal de réguler sa flottabilité. L'acidification des océans due à l’élévation de la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère conduit à une densification des sépions chez les seiches. Cela aurait un effet négatif sur le contrôle de la flottabilité de ces animaux (Gutskowa 2010).
Quelques prédateurs de la seiche élégante ont été identifiés jusqu’à présent par les restes (les becs) trouvés dans les estomacs de la coryphène commune (Coryphaena hippurus), du grand dauphin (Tursiops truncatus) et du merlu commun (Merluccius merluccius). D’autres prédateurs sont connus comme le calmar commun (Loligo vulgaris), la petite roussette (Scyliorhinus canicula ), la raie aigle rayée (Aetomylaeus bovinus), la torpille marbrée (Torpedo marmorata ) et la raie épineuse (Raja clavata), le Saint-Pierre (Zeus faber ) et la grande sériole (Seriola dumerili).
En raison de son régime alimentaire composé de proies benthiques, cette seiche est plus contaminée par le cadmium que les autres céphalopodes.
Seiche élégante : francisation du nom scientifique.
Rhombosepion : du grec [rhomb-] = losange et du grec [sepion] = os de seiche. Les sépions de ce genre sont en forme de losange. Le naturaliste britannique John Edward Gray (1800-1875) a proposé une classification des sépions (seule partie du corps conservé après la décomposition de l'animal) pour la famille des seiches. Le zoologiste et botaniste français Alphonse Amédée Tremeau de Rochebrune (1836-1912) a repris cette classification en proposant plusieurs noms de genres dont Rhombosepion.
elegans : du latin [elegans] = élégant, distingué, de bon goût.
Numéro d'entrée WoRMS : 1667162
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Mollusca | Mollusques | Organismes non segmentés à symétrie bilatérale possédant un pied musculeux, une radula, un manteau sécrétant des formations calcaires (spicules, plaques, coquille) et délimitant une cavité ouverte sur l’extérieur contenant les branchies. |
Classe | Cephalopoda | Céphalopodes | Yeux complexes, coquille interne, externe cloisonnée ou absente, cavité palléale musclée, siphon musculeux, tentacules ou bras (munis de ventouses). |
Sous-classe | Coleoidea | Coléoïdes | Ventouses sur les bras, au nombre de 8 au moins. Bras hectocotyle chez le mâle pour le transfert des spermatophores. 2 branchies, 2 néphridies, une coquille interne ou vestigiale, des chromatophores, une poche à encre, un grand cerveau. |
Super ordre | Decapodiformes | Décapodiformes / Decabrachia | Céphalopodes à 8 bras et 2 tentacules de chasse. |
Ordre | Sepiida | Sépiides | Coquille calcifiée, interne, cloisonnée, rectiligne, parfois réduite ou absente. Le corps est court et large ou en forme de sac bordé sur toute la longueur par une nageoire ondulante. Organismes benthiques ou pélagiques. |
Famille | Sepiidae | Sepiidés | |
Genre | Rhombosepion | ||
Espèce | elegans |
Dessin de Rhombosepion elegans
Le bord dorsal antérieur du manteau est aigu et fait saillie vers l'avant jusqu'entre les deux yeux. Les tentacules, représentés ici, ne sont étendus vers l'avant que lors de la chasse d'une proie. Sinon ils sont contractés entre les autres bras.
Dessin extrait de Pfeffer 1906
Dessin extrait de Pfeffer 1906 IV Die Cephalopoden in Nordisches Plankton page 60 fig 67
Reproduction de documents anciens
1906
Ponte de Rhombosepion elegans
Schéma d'un Alcyonium palmatum portant un œuf de Sepia elegans et la photographie d'un œuf de Sepia elegans isolé (la petite tache noire est un œil de l'embryon).
Cette illustration a été composée à partir de la figure 1 et de la photo de la figure 2 A du travail d'Yves Bouligand 1961
Reproduction de documents anciens
1961
Les sépions des 3 seiches de nos côtes
L’avant de l’animal est en haut de la figure.
A = vue ventrale ; B = vue latérale
Sepia officinalis : jusqu’à 30 cm de longueur, blanc sale, arrondi à l’avant et à l’arrière, petit rostre, surface dorsale granuleuse.
Rhombosepion orbignyanum : jusqu’à 12 cm de longueur, parfois rosâtre, forme ovale allongée étroite avec un rostre bien visible.
Rhombosepion elegans : jusqu’à 9 cm de longueur, forme allongée légèrement losangique, fragile, rostre absent ou petit remplacé en position dorsale par une petite carène longitudinale rugueuse.
Ensemble réalisé à partir des dessins de Pfeffer 1906 (fig 64,66 et 68), Naef 1923 (fig 309,310,315), Bandel & Boletzky 1979 (fig 1 B) et Neige & Boletzki 1997 (fig 2A, 2C et 2D)
07/02/2024
Pupilles des 3 Sepia de nos côtes
Notez la forme différente du rabat de l'iris, qui divise l'ouverture de la pupille et le champ de vision en zones séparées pour les objets devant, à côté et derrière l'animal. Ceci est plus marqué chez Rhombosepion orbignyanum.
Naef A. 1923, Cephalopoda part I, vol.I, fascicle II, figure 293 de la page 511, actualisé
Reproduction de documents anciens
1923
Différences morphologiques au niveau de la massue tentaculaire et du bras IV hectocotyle chez les 3 espèces de seiches
A : massue d'un des tentacules
B : extrémité du bras IV du mâle modifié en bras hectocotyle*
Dessin, actualisé, extrait de Neige & Boletzky, 1997, figure 12
Reproduction de documents anciens
1997
Rédacteur principal : Yves MÜLLER
Vérificateur : Laure BONNAUD-PONTICELLI
Responsable régional : Yves MÜLLER
Adam W., Rees W.J., 1966, A review of the cephalopod family Sepiidae, The John Murray Expedition 1933-34, Scientific Reports, 11(1),1-165.
Bello G., 1990, Guida all’identificazione delle conchiglie dei cefalopodi del Mediterraneao, Bollettino Malacologico, 26(10–12), 157–164.
Boletzky S. von., 1996, Cephalopods Burying in Soft Substrata: Agents of Bioturbation?, Marine Ecology, 17(1-3), 77–86.
Boletzky S.v., Roeleveld M.A.C., 2000, “Ventral adhesion” to hard substrates: a thigmotactic response in sepiid cuttlefish (Mollusca: Cephalopoda), Vie et Milieu, 50(1), 59–64.
Bouligand Y., 1961, Le dispositif d'accrochage des œufs de Sepia elegans sur Alcyonium palmatum, Vie et Milieu, 12(4), 589-593.
Castro B.G., Guerra A,.1990, The diet of Sepia officinalis (Linnaeus, 1758) and Sepia elegans (D'Orbigny, 1835)(Cephalopoda, Sepioidea) from the Ria de Vigo (NW Spain), Scientia Marina, 54(4), 375-388.
Cuénot L., 1936, Commensalisme des pontes de Céphalopodes avec des éponges et des cnidaires, Mémoires du Musée Royal d'Histoire Naturelle de Belgique, 2(3), 37-40.
Guerra A., 2009, Food of the cuttlefish Sepia officinalis and S. elegans in the Ria de Vigo (NW Spain) (Mollusca: Cephalopoda), Journal of Zoology, 207(4), 511–519.
Guerra A., Castro B.G., 1989, Some aspects of the biology of Sepia elegans (Cephalopoda, Sepioidea) from the ria de Vigo, NW Spain, Vie et Milieu, 39(3-4), 213-218.
Hastie L.C., Pierce G.J., Wang J., Bruno I., Moreno A., Piatkowski U. Robin J.P., 2009, Cephalopods in the north-eastern Atlantic: species, biogeography, ecology, exploitation and conservation, Oceanography and marine biology: an annual review, 47, 111–190.
Jereb P., Allcock A.L., Lefkaditou E., Piatkowski U., Hastie L.C., Pierce G.J. (Eds.), 2015, Cephalopod biology and fisheries in Europe: II. Species Accounts, ICES Cooperative Research Report No. 325., 360 pp.
Mangold-Wirz K., 1963, Biologie des Céphalopodes benthiques et nectoniques de la Mer Catalane, Vie et Milieu, 13(Suppl.), 285 pp.
Naef A., 1923, DIE CEPHALOPODEN. FAUNA E FLORA DEL GOLFO DI NAPOLI, monograph 35, 1(1) part 2, 149–863.
Neige P., Boletzky S.v., 1997, Morphometrics of the shell of three Sepia species (Mollusca: Cephalopoda): intra- and interspecific variation, Zoologische Beiträge, 38, 137–156.
Pascual S., Gestal C., Estéve J. M., Rodríguez H., Soto M., Abollo E., Arias C., 1996, Parasites in commercially-exploited cephalopods (Mollusca, Cephalopoda) in Spain: an updated perspective, Aquaculture, 142(1-2), 1–10.
Pfeffer G., 1901-1911, IV Die Cephalopoden 2, in Brandt K. A. H. & Apstein C., NORDISCHES PLANKTON, ZOOLOGISCHER TEIL, III Dolioliden, Salpen, Appendicularien, Ascidienlarven, IV Pteropoden, Cephalopoden, V Gastropoden, Acephalen Lipsius & Tischer, pp 9-116.
Pichon D., Grigioni S., Favet J., Boucher-Rodoni R., 2005, Symbiotic associations between cephalopods and the Roseobacter bacteria strain, Phuket mar. biol. Cent. Res. Bull, 66, 243–248.
Pierce G.J., Allcock L., Bruno I., Bustamante P., Gonzalez A., Guerra A., Jereb P., Lefkaditou E., Malham S., Moreno A., Pereira J., Pitakowski U., Rasero M., Sanchez P., Begona Santos M., Santurtun M., Seixas S., Sobrino I., Villanueva R., 2010, Cephalopod biology and fisheries in Europe, ICES Report No. 303, 175 pp.
Rochebrune A.T., 1884, Etude monographique de la famille des Sepiadae, Bulletin de la Société Philomatique de Paris, 7e série, tome 8, 74-122.
Salman A., 2015, Reproductive Biology of the Elegant Cuttlefish (Sepia elegans) in the Eastern Mediterranean, Turkish Journal of Fisheries and Aquatic Sciences, 15(2), 265–272.
Sanjuan A., Pérez-Losada M.,Guerra A., 1996, Genetic differentiation in three Sepia species (Mollusca: Cephalopoda) from Galician waters (north-west Iberian Peninsula), Marine Biology, 126, 253–259.
La page de Sepia elegans dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN