Corps allongé, pyramidal
Un œil unique
Byssus transparent constitué d'un seul filament
Un ou plusieurs dards recourbés
Coloration uniformément grise
Lest,
Sinker, weight (GB), Piombo (I), Plomo (E), Blei (D)
Plumbea quadrangulata Rapala, 1898
Cosmopolite
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises], ● Caraïbes, ● Atlantique Nord-Ouest, ● Eau douce d'Europe, ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge]Cosmopolite et ubiquiste*, on en trouve dans toutes les mers du monde, sous toutes les latitudes mais aussi en eau douce, dans toutes les rivières et les étangs.
Plumbum quadrangulatum prospère dans toutes les mers et rivières, que les substrats* soient rocheux, sableux ou graveleux. Sa présence est dépendante de la richesse en poissons, réelle ou supposée, car les juvéniles sont de redoutables prédateurs.
Selon l'âge des Plumbum, leur position par rapport au substrat évolue : les juvéniles en action de pêche se déplacent à la surface du fond, leur byssus* est alors libre. Ils peuvent aussi bondir au-dessus du fond, entraînés qu'ils sont par leur byssus, surtout si un poisson a été capturé. On dit qu'il fait sauter les plombs.
Ils deviennent adultes quand le byssus se fixe sur un support solide : c'est le phénomène de la "croche" qui transforme un Plumbum errant en Plumbum sédentaire. Les vociférations, audibles en surface à cet instant, restent un mystère pour le plongeur : " P..., j'ai encore croché !".
On les trouve alors suspendus en pleine eau, retenus à des surplombs par leur byssus. Leur existence ne tient qu'à un fil. Ils vivent également dans les creux entre les rochers et restent immobiles, comme en léthargie : c'est le sommeil de plomb.
Les individus âgés, dont le byssus s'est rompu, nagent rapidement vers le fond et s'enfouissent, jusqu'à une dizaine de centimètres sous le sable.
Plumbum quadrangulatum présente un corps allongé, grossièrement pyramidal, de coloration générale grise. Il mesure de 5 à 10 cm de long pour une largeur maximale de 1,5 cm.
L'extrémité céphalique, la plus effilée, présente un œil unique formant une protubérance qui dépasse de la ligne générale du cou. Elle est aussi dense que le corps : il a du plomb dans la tête. Le cou, très court, est volontiers cylindrique et mesure 5 mm de diamètre environ.
Le corps, pyramidal, est marqué par quatre fortes côtes, qui lui donnent une section carrée. L'extrémité caudale, la plus large peut être plane, ou de forme pyramidale également, mais très courte.
Un byssus* est présent chez les juvéniles et jeunes adultes, il disparaît ou est très réduit chez les individus âgés. Il est constitué d'un filament unique transparent, incolore ou verdâtre, de 5/10 à 15/10 de mm de diamètre. Ce byssus accroche solidement le Plumbum au substrat par l'extrémité céphalique. Il est très résistant à la traction et peut blesser les doigts du plongeur qui tenterait de le couper à mains nues. Il peut mesurer plusieurs mètres ou dizaines de mètres de long et s'enchevêtrer de façon inextricable dans les rochers. On dit alors qu'il a fait "la perruque".
Un dard recourbé est souvent associé au byssus des juvéniles et leur permet de capturer des poissons. Le dard se désagrège par une lyse oxydative dès que le plomb devient adulte. Cette lyse est progressive en quelques mois. Parfois les dards sont multiples et ornés de petits nodules colorés ou phosphorescents, et d'appendices pennés : c'est la variété Plumbum quadrangulatum var. mitrailletta. Symbiose de la plume et du plomb, il ne pèse pas lourd et peut nager en pleine eau.
La coloration est uniformément grise. Les juvéniles sont beaucoup plus clairs et brillants que les adultes. En vieillissant, ils n'acquièrent pas de dessin mais font grise mine et ternissent.
Les Plumbum pèsent habituellement entre 40 et 100 grammes.
Il y a un discret dimorphisme* sexuel : chez le mâle, c'est pas dur, un plomb ; chez la femelle, ça dure une plombe.
Plumbum olivaceum Marius, 1932, le plomb olive, n'a pas d'arête vive et présente un tube digestif ouvert aux extrémités céphalique et caudale. Il est très rarement sphérique, d'où l'expression : "Saturne pas rond".
Quelques rares sous-espèces montrent une caudale souple, colorée ou pas.
Plumbum bricolatum Bidouille, 1956, Trucus cloutordus Metallo, 1936, et Homemade manufactum Roro & Mimile, 1968, espèces locales, se rencontrent en peu d'exemplaires à la fois, dans une zone restreinte. Leurs formes variées montrent bien l'esprit inventif du créateur. Elles valent leur pesant de clopinettes. Leur caractéristique commune est la présence d'une arête centrale souvent couleur de rouille, qui subit la même lyse oxydative que le dard et se détache du byssus avec l'âge.
Cuillera triacantha Yann, 1948 et Plumbum quadrangulatum var. mitrailletta Mitchell, 1952 (voir plus haut) se caractérisent par leur capacité à nager en pleine eau et à capturer les poissons pélagiques, bars, maquereaux et thonidés. Les gros spécimens de Cuillera atteignent les 200 grammes et portent un triple dard caudal particulièrement redoutable.
Turlutta sepiacida Bimbo, 1969, la turlutte, ne fait pas le poids, car, pour elle, y a pas de Pb.
C'est une sorte de sucette en plastique, vivement colorée, maquillée comme une voiture volée. Elle attire l'œil, mais c'est un leurre : c'est une terrible teuthophage* !
Les jeunes passent leur vie à se dandiner frénétiquement, au bout du byssus. Cette danse vise à séduire les seiches. Le céphalopode, attiré par ses couleurs aguicheuses et son mouvement oscillant, vient l'enlacer de ses huit bras, lui colle ses ventouses partout et tente de lui mordiller la queue. Mais cette extrémité caudale est munie d'une double rangée de 24 dards acérés. La turlutte lui met alors le grappin dessus et ne le lâche plus.
Les adultes gardent leurs couleurs, mais ne bougent plus, accrochés au substrat par leurs dards.
Bougica mobylettae Champion, 1912 et Boulonnum vulgare Castorama, 1968. Ces espèces invasives, venues de Chine, remplacent les plombs d'origine de plus en plus souvent. La crise économique actuelle et le prix des matières premières pourraient en expliquer la prolifération.
Enfin, un lointain cousin, à respiration aérienne, Semen avicidum Manufrance, 1936, beaucoup plus petit, de forme arrondie. Quand il a du plomb dans l'aile, on retrouve son cadavre au fond de certains étangs fréquentés aussi par les canards.
Seuls les juvéniles se nourrissent. Ce sont de redoutables prédateurs qui s'attaquent aux poissons, essentiellement les carnivores. En action de pêche, les dards sont recouverts d'un appât, fragment de ver polychète, ou de bivalve, Ensis sp. En eau douce, ce sont souvent des larves d'insectes diptères.
Les poissons, asticotés, viennent pour goûter, et se retrouvent retenus à manger, le dard au fond du gosier. Dur à avaler !
Un dard qui a perdu son appât n'attire plus les poissons : l'esche tombée, ça mord plus.
Sur la côte basque, certains appâtent avec du piment d'Espelette, sans grand succès. Les poissons se préviennent entre eux : "Touche pas à ça, malheurrheux, ça arrhache la gueule".
Les adultes et les sujets âgés ne se nourrissent plus. D'abord, ils ont comme un poids sur l'estomac, ensuite leurs dards usés ne sont plus assez solides ni pointus pour pêcher. Comme ils restent immobiles, leurs dépenses énergétiques se réduisent au minimum.
Curieusement, la reproduction des Plumbum est aérienne. Après d'assez longs et très chauds préliminaires, l'effusion atteint son paroxysme. Le fluide vital argenté se répand enfin dans la matrice femelle accueillante. Le fait de rentrer dans le moule engendre une dizaine d'individus environ. Ceux-ci devront attendre un refroidissement global de leur environnement avant de s'extraire de la matrice.
Les larves* commencent à vivre leur vie de lest par une période aérienne de quelques semaines à quelques mois. Pendant cette période, lest apprend les vertus cardinales, patience, sobriété, maîtrise de soi, qui lui seront utiles dans sa vie adulte.
Transitoirement Sans Fil, les juvéniles vivent quelques mois de galène : ils sont soumis à un odieux commerce dont ils doivent s'échapper pour rejoindre la mer et devenir des juvéniles piscivores*.
Des balanes et jeunes moules se fixent sur les adultes immobiles depuis quelques semaines. Il est difficile de parler de commensalisme*, puisque Plumbum adulte ne se nourrit plus.
Le byssus, enchevêtré dans les rochers ou les gorgones, sert de support à des espèces épibiontes*, les moules, ou le bryozoaire Turbicellepora avicularis.
Le contraste entre le comportement agressif des juvéniles et l'immobilité des adultes impressionne toujours. Le plomb a sale caractère. Si on le cherche, on va droit à la casse ; c'est là qu'il faut aller chercher la police.
Les individus âgés ont un comportement grégaire. A l'aplomb des surplombs, on les trouve en grand nombre, enfouis dans le sable, serrés en batterie les uns contre les autres.
La position systématique du Genre Plumbum spp. est très controversée parmi les spécialistes, malgré plusieurs congrès internationaux. Elle n'est donc pas encore mentionnée par ITIS, ni par le MNHN.
En l'absence de consensus international, la classification française est actuellement la suivante :
Embranchement : Detritus : Déchets : Tout objet insoluble dont le rejet en mer n'est pas une solution.
Classe : Canulariida : Canulariidés : le seul taxon à faire l'unanimité.
Ordre : Metalloïdes : Epaves : Objets pesants posés au fond, témoins de la légèreté des habitants de la surface en matière de sécurité nautique.
Sous-Ordre : Piscicipidae : Engins de pêche : Objets censés remonter du poisson, et piégés au fond : filets, casiers, nasses, etc...
Famille : Piscilineatidae : Engins de pêche à la ligne : Jeu de patience des rivages aquatiques : consiste à garder la ligne le plus longtemps possible, en silence, dans l'attente du coup de fil d'un poisson.
Genre : Plumbum
Espèce : quadrangulatum
Les juvéniles en action de pêche n'hésitent pas à s'attaquer au plongeur. Les dards s'accrochent partout :
Sur le filet de la bouteille, le plongeur risque une remontée incontrôlée.
Sur la combinaison, c'est la déchirure assurée (+33 (0)4 68 35 22 26).
Sur la peau, le dard provoque une piqûre très douloureuse. Il est très difficile à sortir s'il est enfoncé profondément. Même s'il n'est pas venimeux, la blessure risque de s'infecter. La nécessité d'un antiseptique ne fait aucun doute.
En cas d'ingestion, la toxicité est importante : saturne l'estomac et l'on ressent de violentes coliques.
Un petit jeu pour les plongeurs : titiller le plomb, attendre la tension réflexe du byssus, et lâcher brusquement.
La résistance des Plumbum à la rupture est légendaire : il faut beaucoup tirer sur la corde pour faire péter les plombs.
Capture des plombs : les juvéniles sont à éviter à cause des risques de blessures. Ne jamais ranger de juvéniles dans les poches de Stab (gilet stabilisateur utilisé par les plongeurs sous-marins), il y a risque de perforation.
Pour les adultes : ne pas se fier à leur immobilité, ils cherchent par tous les moyens à s'échapper de la main qui les retient, ou de la poche de la Stab dès qu'elle est mal fermée. Ils sont capables de nager à une vitesse surprenante, toujours vers le bas pour se réfugier dans le sable où ils se cachent.
En cas de captures importantes, un parachute de palier est salutaire pour remonter les prises.
Usage des plombs. Les plombs gris se préparent comme les moules. Couper les byssus, gratter les balanes. Cuire à feu vif par paquets d'1 kg. Le plomb se serre à raison de 3 à 6 kg par plongeur, autour de la taille.
Les Turluttes n'ont aucun intérêt culinaire, mais permettent d'amadouer les pêcheurs à la ligne par une sorte de troc, à la sortie de l'eau.
Les Bougica et autres Boulonnum n'ont absolument aucun intérêt et montrent bien le mépris qu'ont certains pêcheurs à la ligne envers les plongeurs sous-marins recycleurs.
La présence des Plumbum et espèces apparentées est décrétée indésirable dans certaines zones du littoral pour permettre aux poissons de vivre en paix. En effet, l'impact de ce redoutable prédateur est certain sur les peuplements et l'on voit les poissons revenir nombreux partout où les Plumbum ont été éradiqués. Pour mémoire, citons les réserves de Banyuls, de Port-Cros et de Scandola, parmi bien d'autres.
Simple traduction du terme scientifique, avec une précision sur son régime alimentaire.
Plumbum ou Plumbea, en latin, nom des balles de plomb, lancées à la fronde par les soldats romains.
La discussion entre masculin ou féminin a été vive entre spécialistes : masculin, Plumbeus faisait lourdingue ; féminin, Plumbea faisait mauvais genre ; à DORIS, nous avons choisi de rester neutres.
quadrangulatum : du latin [quadrus, -a, -um] = carré, et [angulus] = angle, coin, en référence à sa section carrée, à angles droits.
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Classe | Canulariida | Canulariides | Organismes polymorphes et divers surgis de pensées espiègles ou ayant des origines oniriques. |
Genre | Plumbum | ||
Espèce | quadrangulatum |
Beau spécimen adulte
Un spécimen adulte, de 100 grammes environ, posé sur le substrat. Son immobilité le laisse se recouvrir de sédiment, ce qui participe à son camouflage.
Pointe du Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 10 m
01/06/2009
Juvénile
Un juvénile, d'une cinquantaine de grammes, reconnaissable à sa livrée brillante. Il est en pleine action de pêche, accroché par son byssus. Le dard caudal n'est pas visible sur la photo.
Chez Hortense, Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 13 m
29/06/2002
En pleine eau
Deux spécimens de Plumbum olivaceum, jeunes adultes, pendus en pleine eau. La résistance du byssus est de quelques mois seulement. A la rupture de celui-ci, les plombs nagent frénétiquement vers le fond et se cachent dans le sable.
Grand-Piquey, Bassin d'Arcachon (33), 5 m
27/01/2002
Trucus cloutordus
Beau spécimen de Trucus cloutordus adulte. Les longues épines mobiles sur les flancs et l'arête centrale sont caractéristiques de l'espèce.
Chez Hortense, Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 13 m
01/06/2009
Jeune adulte
Ce jeune adulte n'a pas encore perdu totalement son éclat juvénile.
Chez Hortense, Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 13 m
01/06/2009
Plomb olive adulte âgé
Un Plumbum olivaceum âgé, tapi immobile au creux d'un rocher. Un épibionte commence à le recouvrir. Le byssus, en mauvais état, sort par le siphon céphalique.
Côte bleue, Marseille (13), 5-6 m
02/2010
Reproduction
Conception de Plumbum quadrangulatum. Après d'assez longs et très chauds préliminaires, le fluide vital se répand enfin dans la matrice femelle accueillante. Cet acte reproductif engendrera une dizaine d'individus environ. Ceux-ci devront attendre un refroidissement global de leur environnement avant de s'extraire de la matrice et de commencer à vivre leur vie de lest.
Chez Félix et Lulu, Sospel (06), + 400 m
09/02/2010
Dards de P. quadrangulatum var. mitrailletta
Le dard, orné de nodules colorés, a commencé sa lyse oxydative : il devient inoffensif. Lisse et brillant au début, il ne résiste pas longtemps à la corruption. Trop poli pour être honnête !
Saint-Yves, Arcachon (33), 15 m
11/11/2005
Turbicellepora épibionte
Le byssus, croché dans une gorgone, est entièrement recouvert par Turbicellepora avicularis. Ce bryozoaire encroûtant se développe souvent autour des byssus des plombs de pêche.
Iles de Marseille (13)
01/08/2004
Support de moules
Les moules connaissent la filière : elles s'accrochent sur tout support un peu solide. Ici un enchevêtrement de byssus de plombs. Cela constitue une sorte de récif artificiel, caches et nourriture pour un bon nombre d'invertébrés et de poissons.
Chez Hortense-Sud, Cap-Ferret, Bassin d'Arcachon (33), 13 m
18/06/2009
Rare Plumbum olivaceum à queue tirebouchonée
Le recadrage du bas permet de découvrir le corps gris sub-sphérique d'où part la queue en tirebouchon.
Attention, le byssus non visible ici, part du côté opposé à la queue.
Notez que certains auteurs l'indiquent comme la variante Plumbum olivaceum var. tournemoulii, d'autres se contentent de lui soutirer les vers du nez.
Canal d'Hossegor. 4 m
18/03/2018
Turluttes (ex situ)
Ces turluttes, prélevées au cours d'un comptage, ont été déposées dans un aquarium avant d'être remises à l'eau. On remarque les deux rangées de dards. On les trouve en abondance en automne de septembre à novembre, période où les jeunes seiches sont nombreuses et voraces.
Elles sont en compagnie d'un P. quandrangulatum de 50 g. On voit bien son œil unique.
Prise de vue en laboratoire
22/09/2008
Squelette de Turlutta sp.
Il ne reste plus que l'arête centrale et les dards acérés de cette Turlutte. Les restes photographiés ici ne permettent pas d'identifier l'espèce avec précision, mais la double rangée de 24 dards semble indiquer Turlutta sepiacida.
Si l'on sait que les Turlutta spp. sont des prédateurs des céphalopodes, on ignore qui sont les prédateurs des Turluttes.
Côte bleue, Marseille (13), 5-6 m
02/2010
Turlutta piscis sp
Si le genre Turlutta semble avéré, on a du mal à établir l'espèce.
L'individu reposait sur le fond inerte.
Si le corps semble épargné dans
son ensemble, les dards, au nombre de 4, ont subi une oxydation due à un
séjour prolongé dans le milieu. Les dards sont situés sous la partie
ventrale de l'individu et par un jeu d'articulations, directement
"reliés" au squelette interne métallique qu'on peut voir par
transparence.
A noter au niveau de l’œil, un cas exceptionnel et
remarquable de double pupille en croix.
Capbreton, canal d'Hossegor, 7m
25/05/2019
Rédacteur principal : Michel BARRABES
Rédacteur : Alain-Pierre SITTLER
Vérificateur : Véronique LAMARE
Correcteur : Anne PROUZET
Responsable historique : Michel BARRABES
Responsable régional : Laurent FEY
Barrabès M., 1998, La chasse au plomb, Echo des Balanes N° 12, Commission Biologie Nationale, pp.4-5.
Corvez P., 2007, DICTIONNAIRE DES MOTS NES DE LA MER, Editions du Chasse-Marée, France, 359p.
Devos R., 1991, MATIERE A RIRE, L'INTEGRALE, Ed. Olivier Orban, France, 542p.
Giraud M., 2007, CALME PLAT CHEZ LES SOLES, Ed. Robert Laffont, France, 345p.
Imbert F., Debras L., 2009, Fondre ses plombs et les élever soi-même, Ed. Nausicaa, Sospel, 1p.