Corps très comprimé latéralement, taille jusqu’à 30 cm
Couleur de fond brun rouge, large tache blanche sur chaque écaille des flancs
Masque gris à blanc couvrant l’ensemble de la tête
Quatre lignes noires bordées de blanc derrière l’œil
Large bande blanche verticale à la base de la caudale
Juvénile brun ou vert avec 5 barres verticales sombres et des taches blanches intermédiaires, nageoire dorsale très effrangée
Rason-algue, labre masqué, mardel
Labre tænioure (Lacépède, dans sa description originale)
Carpet wrasse, dragon wrasse, masked wrasse, olive-scribbled wrasse, reindeer wrasse, rockmover, rockmover wrasse (GB), Cuchillo dragon, doncella alguera, señorita alguera, vieja dragón (E), Donzela algueira (P), Rotsskuiwer-lipvis (Afrique du Sud)
Labrus taeniourus Lacepède, 1801
Hemipteronotus taeniourus (Lacepède, 1801)
Julis bifer Lay & Bennett, 1839
Novaculichthys bifer (Lay & Bennett, 1839)
Mer Rouge, océan Indien et océan Pacifique
Zones DORIS : ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge]Novaculichthys taeniourus est présent en mer Rouge et dans les zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et de l’ensemble de l’océan Pacifique. Sa distribution va des côtes de l’est de l’Afrique au Panama et au Mexique, en passant par Madagascar, les Mascareignes, le sud du Japon, la Nouvelle-Calédonie, les Tuamotu, Hawaï et les Galápagos.
Le labre-rasoir masqué se rencontre dans des zones à hydrodynamisme modéré sur les fonds sableux et sablo-détritiques* des lagons et des pentes externes, de 1 à 25 mètres. On peut aussi le trouver dans des herbiers de phanérogames*.
Description sommaire : labre de taille moyenne au corps très comprimé latéralement. La couleur de fond est généralement brune, chaque écaille des flancs est marquée par une large tache blanche. Un masque gris pâle couvre l’ensemble de la tête. Quatre lignes noires bordées de blanc rayonnent derrière l’œil. Les deux premières membranes de la nageoire dorsale portent une tache noire. La caudale est arrondie et porte une large bande verticale blanche à sa base.
Description détaillée :
Le corps est oblong, sa hauteur entre environ 2,6 à 3 fois dans sa longueur standard (longueur sans la queue). Il est très comprimé latéralement (sa largeur entre de 2,4 à 3 fois dans sa hauteur). Il peut atteindre 30 cm de long.
La couleur de fond du corps est un brun rouge plus ou moins foncé, mais elle peut être grise. Chaque écaille des flancs est marquée par une large tache blanche, ce qui donne un aspect fortement réticulé au patron de couleurs. Chez certains individus, notamment les plus grands, l’abdomen* rougit : les écailles sont alors intégralement rouge bordeaux et la couleur de fond, réduite à un losange autour de chacune d’elles, devient blanche.
La tête est massive et pointue, avec un profil dorsal légèrement convexe. Elle ne porte pas d’écailles, en dehors de deux petites rangées sur la partie postérieure du préopercule*. La bouche est terminale et protractile*, les lèvres sont charnues. Deux canines recourbées vers l’intérieur, parfois visibles en plongée, arment la partie antérieure des mâchoires. Les yeux sont haut placés, l’iris* est orangé à rouge. Une sorte de « masque » gris à blanc, plus foncé sur le front et la nuque, couvre l’ensemble de la tête, du museau aux opercules* compris. Quatre lignes noires obliques bordées de blanc rayonnent vers l’arrière de la tête depuis la partie postérieure de l’œil. Deux d’entre elles descendent en courbe vers la limite inférieure de l’opercule ; les deux autres, plus courtes, montent de quelques centimètres vers la nuque, qu’elles n’atteignent pas. Ces lignes peuvent être imperceptibles chez certains adultes. Elles sont plus nombreuses chez les subadultes*, qui portent de surcroît quatre à cinq taches rayonnant sur l’iris autour de la pupille, ces deux caractéristiques étant héritées de la phase juvénile.
La nageoire dorsale est longue et continue, avec des rayons mous plus hauts que les rayons durs. Ses deux premiers rayons sont flexibles ; leurs membranes portent chacune une large tache noire avec une petite tache jaune en partie inférieure. Ces deux premiers rayons sont nettement plus hauts que les autres rayons durs chez les subadultes, qui héritent là encore cette caractéristique de la phase juvénile.
La nageoire anale est elle aussi particulièrement longue. La couleur de fond de ces deux nageoires est blanchâtre à beige clair, elle est marquée par un réseau dense de lignes ou taches obliques grises à noirâtres plus ou moins parallèles et continues. Il arrive que la couleur de fond de l’anale rougisse chez les individus dont l’abdomen est rouge.
Les pectorales sont translucides à rayons jaunes, avec une tache noire, puis rouge ou jaune, sur la partie supérieure de leur base.
Les pelviennes, de petite taille, sont noires avec des rayons brun rouge.
La caudale est arrondie et porte une large bande verticale blanche à sa base, suivie d’une bande brun foncé à large liseré brun clair, ces deux dernières bandes étant parsemées de tirets verticaux blanchâtres alignés longitudinalement.
Il n’y a ni dimorphisme*, ni dichromatisme* sexuels documentés chez cette espèce.
La description des juvéniles se trouve dans la rubrique consacrée à la reproduction.
La morphologie et le patron de couleur de cette espèce sont si particuliers qu’il est impossible de la confondre avec une autre.
L’espèce se nourrit essentiellement d’invertébrés benthiques* à carapace dure comme les crabes, les mollusques ou les oursins, mais elle consomme aussi des ophiures et des vers polychètes.
Peu de choses sont connues sur la biologie de la reproduction de cette espèce, à notre connaissance et à la date de publication de cette fiche (mars 2021). Les scientifiques estiment probable que Novaculichthys taeniourus soit hermaphrodite* protogyne* du fait de la prévalence de cette stratégie chez les Labridés. Cet hermaphrodisme pourrait être diandrique*. La reproduction se fait par couple (vs en groupe), les gamètes* sont émis en pleine eau, la fertilisation* est donc externe et les larves* sont pélagiques*.
La durée de vie larvaire, calculée à partir de l’examen des otolithes* de deux individus, serait de 73,5 jours en moyenne. L’échantillon est évidemment très faible, mais cette durée rejoint celles calculées chez des espèces d’autres genres de labres-rasoirs, comme Cymolutes et Xyrichthys, et elle est donc probablement fiable. Cette longue durée de vie larvaire donne à ces espèces une capacité de dispersion importante et, en conséquence, une vaste distribution. N. taeniourus fait d’ailleurs partie du petit nombre d’espèces du « domaine indo-Pacifique » (région biogéographique regroupant les zones tropicales de l’océan Indien et des parties ouest et centre du Pacifique) à avoir colonisé l’est du Pacifique tropical.
Les juvéniles ont un aspect très particulier du fait de la morphologie de leurs nageoires, liée, avec leurs comportements de nage, à leur stratégie de défense mimétique* (voir ci-dessous, dans la rubrique « Divers Biologie »).
La couleur dominante peut être verte ou marron, ces deux couleurs pouvant être claires ou foncées. Cinq barres verticales régulièrement espacées, plus foncées que la couleur dominante, marquent le corps. La première (sous les deux premiers rayons de la dorsale) et la dernière (en forme de chevron vertical, sur la partie postérieure du pédoncule* caudal) sont parfois imperceptibles. Dans chacune des quatre colonnes déterminées par ces barres verticales se distribuent quatre larges taches blanches plus ou moins ovales, bordées d’un anneau plus foncé que la couleur dominante. La tache du haut est située au contact de la dorsale, la tache la plus basse, la quatrième, est au contact de l’anale, sauf dans la première colonne où elle est au contact de l’abdomen. Cette quatrième tache de la première colonne rejoint souvent la quatrième tache de la colonne suivante, en dessinant un arc de cercle. A cette exception près, ces taches sont alignées verticalement dans chaque colonne et horizontalement sur les flancs. Trois autres taches blanches ornent le début de la caudale.
Le profil dorsal de la tête est rectiligne (vs légèrement convexe chez les adultes). De nombreuses lignes noires, isolant et alternant des plaques blanches et des plaques de la couleur du corps, rayonnent à partir de l’œil. Celui-ci porte quatre à cinq taches brunes rayonnant sur l’iris autour de la pupille. Cinq courtes barres transversales blanches bordées de noir marquent en outre le museau de la lèvre supérieure à la nuque.
Toutes les nageoires sont fortement effrangées à l’exception des pectorales et de la caudale, dont les membranes sont translucides. Les deux premiers rayons de la dorsale sont nettement séparés des rayons suivants. Ils sont très longs, flexibles et reliés à leur base par une courte membrane. Ils sont couverts de petites taches blanches et portent sur toute leur longueur une fine membrane, à la manière des oriflammes. Les autres rayons, comme ceux de l’anale et des pelviennes, sont reliés par des membranes plus ou moins complètes. La dorsale et l’anale présentent des bandes irrégulières foncées dans le prolongement des barres verticales présentes sur les flancs. En dehors de ces bandes, des zones translucides et des taches blanches se répartissent aléatoirement.
Les adultes sont capables de retourner des débris coralliens avec leur bouche pour débusquer les proies cachées sous les blocs. Cette méthode de chasse se pratique soit seul, soit en couple. Quand il s’agit d’un couple, le chasseur qui ne retourne pas le bloc attaque dès les premiers centimètres soulevés, ce qui ne laisse pas à certaines proies le temps de fuir.
Les adultes excellent dans l’art d’échapper à la vue d’un poursuivant en nageant d’un relief à l’autre, sans direction précise et en alternant à grande vitesse nage normale et nage sur le flanc, pour enfin se plaquer soudain contre un bloc. Si le subterfuge ne réussit pas, ils recommencent et peuvent finir par s’ensabler.
Les nageoires effrangées des juvéniles évoquent un débris végétal. Ils complètent cette ressemblance, quand ils sont inquiétés, par une nage apparemment erratique imitant une touffe d’algue à la dérive dans les courants. Pour parfaire l’illusion, ils accompagnent les variations des courants et nagent souvent en position verticale, tête en bas. Il s’agit donc d’un mimétisme* à la fois visuel et comportemental. Ils se contentent parfois de la première stratégie en se mêlant à une touffe d’algues vivantes poussant sur le substrat.
Juvéniles et adultes sont très généralement solitaires.
L’espèce est diurne, les individus s’ensablent la nuit pour dormir.
La nageoire dorsale comprend 9 rayons durs et 12 à 13 rayons mous. Les deux premiers rayons durs sont flexibles. L’anale comprend 3 rayons durs et 12 à 13 rayons mous. Les pectorales comprennent 13 rayons.
La ligne latérale* est interrompue sous la partie postérieure de la dorsale, avec 19 à 20 écailles perforées dans le premier segment et 5 ou 6 sur le pédoncule* caudal.
Le genre Novaculichthys comprenait deux espèces (N. taeniourus et N. macrolepidotus) jusqu’à ce que Randall et Earle créent le genre Novaculoides pour la seconde en 2003, les deux genres étant dès lors monotypiques*. L'une des différences soulignées par les auteurs pour distinguer ces espèces est l'orientation latérale des canines recourbées présentes à l'extrémité antérieure de la bouche chez N. macrolepidotus, alors qu’elles sont dans l’axe de la mâchoire chez N. taeniourus.
N. taeniourus est prisé des aquariophiles, notamment pour ses spectaculaires juvéniles (sans que l’acheteur soit toujours conscient de la mutation à venir). Or, l’adulte est potentiellement agressif dans un espace vital réduit et il n’est généralement pas conseillé en bac communautaire.
Le statut de Novaculichthys taeniourus pour l’UICN* est LC (Least Concerned, traduit par « Préoccupation mineure »), ce qui signifie que les informations recueillies sur l’espèce, ainsi que leur exploitation, n’induisent pas une classification dans les autres catégories, notamment dans les trois qui alertent sur une menace (CR : en danger critique d’extinction, EN : en danger, VU : vulnérable). Fonction de quoi, l'espèce n’est pas actuellement concernée par des mesures de protection.
Labre : le mot vient du nom scientifique de la famille des Labridés. Ce nom de famille est issu du mot latin [labrum], qui signifie lèvre, en référence aux lèvres généralement charnues des poissons de ce groupe, et probablement aussi à leur voracité bien connue.
rasoir : du fait du corps très comprimé de l’animal, qui évoquait un instrument tranchant pour le créateur du genre (voir Origine du nom scientifique, Novaculichthys).
masqué : cette précision renvoie probablement au « masque » blanc grisé orné de lignes noires derrière les yeux qui couvre la tête des adultes.
Novaculichthys : ce nom de genre est composé du mot latin [novacula], qui signifie rasoir, couteau, poignard, et du mot grec [ichthys] qui signifie poisson.
Le genre est créé par Bleeker en 1862, dans Conspectus generum Labroideorum analyticus (p. 414). La première caractéristique mentionnée dans sa description des « Novaculæformes » à la même page est la suivante: « Corpus oblongum valde compressum » (corps oblong très comprimé). C'est donc probablement cet aspect de la morphologie de l’espèce-type* (le Labrus tæniourus de Lacépède, autrement dit N. taeniourus) qui motive le nom du genre, qu’on peut traduire par « poisson-rasoir ».
Le genre est monotypique* (il ne contient qu’une seule espèce).
taeniourus : l’espèce est décrite par Lacépède d’après les manuscrits et les dessins de Commerson, dans Histoire naturelle des poissons (Tome troisième, pp. 448-449), sous le nom scientifique de « Labrus tæniourus » et le nom commun de « labre tænioure ». L’épithète spécifique choisie vient du mot latin [tænia], qui signifie entre autres bande, bandelette, ruban. Lacépède précise que c’est bien ce sens du mot auquel il se réfère, du fait du « ruban ou [de] la bande que l’on voit sur la nageoire caudale » (note de bas de page, p. 519). C’est donc la partie antérieure blanche de la caudale qui motive le nom d’espèce.
Numéro d'entrée WoRMS : 219035
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Classe | Actinopterygii | Actinoptérygiens | Ossification du crâne ou du squelette tout entier. Poissons épineux ou à nageoires rayonnées. |
Ordre | Perciformes | Perciformes | Nageoires pelviennes très rapprochées des nageoires pectorales. |
Sous-ordre | Labroidei | Labroïdes | Une seule dorsale, dents molariformes formant un puissant appareil masticatoire. |
Famille | Labridae | Labridés | Lèvres épaisses. |
Genre | Novaculichthys | ||
Espèce | taeniourus |
Pourquoi masqué ?
Le nom commun de ce labre vient probablement du « masque » blanc grisé et orné de lignes noires derrière les yeux qui couvre la tête des adultes.
Notez l’abdomen rouge de ce bel individu.
Current city, Komodo, Petites îles de la Sonde, Indonésie, mer de Savu, océan Pacifique, 10 m
05/08/2016
Le rouge s’étend
Chez certains individus, la couleur rouge de l’abdomen s’étend à la nageoire anale et aux pelviennes.
Mtsamboro, Mayotte (976), océan Indien, 2 m
11/03/2012
Livrée gris pâle
La couleur de fond du corps est habituellement un brun rouge plus ou moins foncé mais elle peut aussi être grise, comme c’est le cas chez cet individu.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
17/09/2011
Variabilité des motifs faciaux
Le patron de lignes partant de la partie postérieure de l’œil est relativement stable dans le motif principal, mais il peut connaître des variantes et des ajouts. Variantes pour le dessin, ajouts pour les taches blanches.
Chez cet individu, outre le dessin inhabituel des lignes noires, on peut observer des taches et tirets blancs de part et d’autre de la ligne la plus longue.
Baie des citrons, Nouméa, Nouvelle-Calédonie (988), océan Pacifique, 10 m
05/01/2007
Subadulte dans un herbier
Le subadulte est reconnaissable aux deux premiers rayons de sa dorsale, nettement plus longs que les autres, et aux multiples lignes rayonnant autour de ses yeux vers l’avant comme vers l’arrière.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
20/10/2012
Juvéniles
La couleur de fond des juvéniles peut être brune ou verte, ces deux couleurs pouvant être plus ou moins foncées.
En revanche, les divers ornements de la livrée et leurs nageoires très particulières sont une constante.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
07 & 14/11/2012
Petit juvénile
Chez ce petit juvénile, la couleur noire des lignes rayonnant autour de l’œil devient orange, de même que les parties foncées des rayons des nageoires.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion (974), océan Indien, 1,5 m, en PMT
19/10/2016
Distribution : à Mayotte
On peut trouver le labre-rasoir masqué à Mayotte comme dans les principaux DROM-COM (ex DOM-TOM) de l’océan Indien et du Pacifique (La Réunion, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie Française).
Îlot Choisil, Mayotte (976), océan Indien, 3 m
31/10/2010
Distribution : à l’île Christmas
Ce juvénile a été photographié à l’île Christmas, île australienne située dans l’est de l’océan Indien à environ 400 km au sud de l’île de Java. Elle est considérée, avec les îles Cocos, comme formant la zone de suture des océans Indien et Pacifique et, en conséquence, comme un haut-lieu d’hybridation entre les espèces-sœurs des deux océans.
Cela ne concerne pas N. taeniourus, dont l’espèce est la même dans sa très vaste répartition.
Christmas island, Australie, océan Indien, 10 m
11/2019
Distribution : en Nouvelle-Calédonie
Juvénile néo-calédonien rencontré sur la côte est de la Grande Terre, dans la baie de Poindimié.
Poindimié, appartenant à la Province Nord, se trouve à 310 km au nord de Nouméa, principale ville de la Province Sud et de la Nouvelle-Calédonie.
Poindimié, Nouvelle-Calédonie (988), océan Pacifique, 20 m
18/11/2017
Distribution : en Polynésie française
Cet individu polynésien a été rencontré près de Paea, commune de la Polynésie française sur la côte ouest de Tahiti.
Paea, Tahiti (987), Polynésie française, océan Pacifique, 1 m
15/12/2016
Rédacteur principal : Philippe BOURJON
Vérificateur : Sylvie DIDIERLAURENT
Responsable régional : Alain-Pierre SITTLER
Randall J.E., Earle J.L., 2004, Novaculoides, a new genus for the Indo-Pacific labrid fish Novaculichthys macrolepidotus, Aqua, 8(1), 37-43.
Victor B.C., 1986, Duration of the planktonic larval stage of one hundred species of the Pacific and Atlantic wrasses (family Labridae), Marine Biology, 90, 317-326.
Westneat M.W., 2001, Labridae. Wrasses, hogfishes, razorfishes, corises, tuskfishes, In: K.E. Carpenter and V. Niem (eds), FAO species identification guide for fishery purposes. The living marine resources of the Western Central Pacific, Bony fishes part 4 (Labridae to Latimeridae), FAO, Rome, 3381-3467.
La page de Novaculichthys taeniourus sur le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase
La page de Novaculichthys taeniourus dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN