Tube calcaire, avec des cloisons à l'intérieur, dans un morceau de bois
Mollusque bivalve vermiforme
Corps cylindrique d'une longueur courante comprise entre 50 et 80 mm
Valves comportant trois zones distinctes dont l'une, vue de l'intérieur a la forme d'une poire
Palettes en forme de pagaies
Coquille couvrant l'animal sur moins de 1/10 de sa longueur
Shipworm Norway (GB), Norwegischer Bohrwurm, Schiffsbohrwurm (D), Noorse paalworm (NL), Norsk paeleom (DK).
Nototeredo norvegica (Spengler, 1792)
Nototeredo norvegicus (Spengler, 1792)
Teredo norvagica Spengler, 1792
Teredo norvagicus Spengler, 1792
Septaria mediterranea Risso, 1826
Teredo nigra Blainville, 1828
Teredo bruguierii delle Chiaje, 1830
Teredo deshaii Quatrefages, 1849
Teredo fatalis Quatrefages, 1849
Teredo divaricata Fischer, 1856
Teredo deshayesi Lamy, 1926
Atlantique Nord-Est, Manche, Méditerranée
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Méditerranée française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises]L'espèce Nototeredo norvagica est présente sur toutes les côtes nord-est de l'Atlantique, tout autour des îles Britanniques, de l'Islande, de la Norvège et de la Suède. Sur les côtes françaises, on la rencontre de la mer du Nord, sur les côtes de la Manche, de l'Atlantique et en Méditerranée jusqu'à la Grèce.
Elle n'a pas été observée en mer Baltique certainement du fait de la faible salinité de cette mer.
Son aire de répartition est très probablement plus étendue car cette espèce voyage sur des bois dérivants.
Nototeredo norvagica vit dans le bois qu'il colonise en y creusant des galeries appelées aussi terriers. Il y sécrète du calcaire dont il recouvre la paroi sur des épaisseurs variables. Les galeries s'élargissent au fur et à mesure de la croissance de l'animal si bien qu'il s'y trouve protégé et prisonnier.
On le trouvera dans un grand nombre d'ouvrages réalisés dans de multiples espèces de bois en contact permanent avec l'eau de mer comme les coques de navire, les ouvrages portuaires ou de signalisation ainsi que quais, digues, bouchots etc.
Cette espèce est euryhaline*, et réside dans une gamme de salinité variant de 39 à 17 grammes de sel par litre d'eau et aucun individu ne survit en dessous de 12 grammes par litre.
Elle vit de la surface à 200 m de profondeur et dans des eaux dont la température est comprise entre 2 °C et 30 °C.
La première chose que l'on voit, c'est un (ou plusieurs) tube calcaire, de section circulaire, dans un morceau de bois, avec, à l'intérieur, de petites cloisons. Ce tube appartient à un mollusque bivalve vermiforme*, (mais ce n'est pas un ver). Il a une couleur variant du blanc un peu laiteux au brun clair à rougeâtre.
Son corps est cylindrique, d'une longueur courante comprise entre 50 et 80 mm avec des individus pouvant atteindre 600 mm. La coquille a un diamètre courant compris entre 5 et 8 mm avec un maximum de 25 mm pour une longueur de 20 mm au plus : elle est donc plus large que longue.
Cette coquille blanchâtre est composée de deux parties calcaires situées sur sa partie antérieure (c'est-à-dire à l'avant) de l'animal. Elles sont équivalves* (en deux parties égales) et recouvertes d'un très fin périostracum*. Cette coquille bivalve, largement ouverte, de forme globalement cylindrique plus large que longue, ne recouvre son extrémité antérieure que sur moins du dixième de sa longueur et n'a pour seule fonction que le forage de la galerie.
La coquille est dépourvue de charnière et les deux valves ne sont solidement rattachées l'une à l'autre que par le manteau.
Chaque valve est fortement convexe et est formée de trois zones distinctes : le lobe antérieur, la zone médiane composée de deux disques séparés par une zone plate et le lobe postérieur ou auricule.
Le lobe antérieur est garni de stries d'accroissement très fines, droites, parallèles et pourvues de dents. Ce sont celles-ci qui creusent le bois.
La zone médiane est partagée en deux parties séparées par une zone plate bien visible. Le côté antérieur très plat comporte des stries droites ressemblant à celles du lobe antérieur et des stries courbes mais moins marquées sur le côté postérieur.
Le lobe postérieur est plus grand que la zone antérieure, lisse et est en forme de poire.
La zone médiane comporte une apophyse* fixée sur un bouton intérieur, une sorte de renforcement de la structure, appelé condyle*. L'apophyse, en forme de lame, est légèrement courbée, longue des trois quarts de longueur de la coquille. Le muscle adducteur s'insère sur l'apophyse. Ce muscle puissant agit comme une ventouse et sert d'ancrage à l'animal lors des périodes de forage de la galerie.
Les deux valves pivotent autour d'un axe représenté par le centre des deux coquilles.
L'extrémité postérieure (l'arrière) est terminée par les siphons (inhalant et exhalant) qui débouchent sur l'extérieur par le point d'entrée d'environ 0,6 à 0,8 mm réalisé par la larve qui s'y est fixée avant de grandir et de commencer son travail de forage. Sur cette extrémité, il y a également deux palettes calcaires en forme de pagaies légèrement convexes et terminées par une forme plate ou arrondie leur donnant une allure de cuillère. Par cette ouverture, l'animal sort ou rétracte ses siphons et ses palettes. Ces dernières une fois rentrées bouchent hermétiquement la cavité où vit le taret.
Les palettes représentent un important caractère d'identification.
Les branchies en forme de lame sont étalées sur plus de la moitié de la longueur de l'animal, côté postérieur.
Teredo navalis Linné, 1758 : présente un tube sans cloisons, des palettes de formes variables sans crêtes, avec le bord distal de la face interne allant de légèrement concave à découpé en U peu accentué, et le bord externe en U profond. Le périostracum* est jaune pâle et recouvre la moitié distale la prolongeant sous la forme d'une bande étroite.
Bankia bipennata (Turton, 1819) : les palettes des Bankia sont constituées de petits cônes emboîtés les uns dans les autres au bout d'une hampe.
Lyrodus pedicellatus (Quatrefages, 1849) : les palettes sont constituées d'une base calcaire recouverte d'un vaste périostracum* (alors que chez Teredo elles sont uniquement calcaires).
Vu le nombre d'espèces de tarets présentes dans les eaux métropolitaines (au niveau mondial : 15 genres, 74 espèces), il est illusoire de vouloir déterminer une espèce précisément sans étudier tous les caractères notamment les palettes.
D'autres bivalves, de la famille des Pholadidés (appartenant aux genres Martesia et Xylophaga), peuvent forer des galeries dans le bois mais elles ne sont pas tapissées de calcaire.
Le mollusque utilise les dents présentes sur la coquille pour râper le bois et agrandir lentement, en longueur, le tube où il vit. Les particules de bois sont conduites à la bouche par des cils.
Le bois est sa nourriture principale à partir du forage qu'il exerce : l'espèce Nototeredo norvagica est donc un xylophage*. Il doit certainement digérer la cellulose du bois de la même façon que Teredo navalis.
Le plancton* et des particules organiques font aussi partie de son régime alimentaire. Ils sont aspirés par le siphon inhalant et conduits vers les palpes* labiaux puis la bouche par un sillon alimentaire cilié. Les plus grosses particules sont rejetées par le siphon exhalant.
Les parts du bois et du plancton consommés varient suivant les espèces, la saison et probablement d'autres facteurs comme l'âge de l'animal.
Quand son terrier est terminé et son extrémité antérieure complètement recouverte de calcaire, son alimentation devient exclusivement planctonique.
Nototeredo norvagica est une espèce hermaphrodite* protandrique*, c'est-à-dire qu'à maturité il est d'abord mâle puis devient femelle. La reproduction s'effectue quand la température de l'eau commence à diminuer.
L'émission des gamètes* se fait dans l'eau où a lieu la fécondation*. Ensuite le développement se poursuit avec une phase larvaire* véligère* planctotrophique* variant de quelques jours à 3 semaines en fonction de la température et de la nourriture disponible.
La fécondité des tarets est très élevée et leur durée de vie est estimée à trois ans au maximum.
En Atlantique, les larves* sont rencontrées en automne et au début de l'hiver.
Les larves avant de se métamorphoser sont capables de repérer les objets en bois. Chaque larve creuse une petite cavité dans laquelle elle subit une métamorphose rapide pour devenir un jeune taret fonctionnel.
Cette espèce est toujours rencontrée dans le bois immergé de longue date. De multiples essences naturelles sont utilisées pour les constructions marines et peu d'entre elles échappent à leurs râpes. Par contre, dans une même pièce de bois il est tout à fait possible de trouver plusieurs espèces de tarets et d'autres espèces xylophages*.
À leur mort les galeries peuvent être occupées par d'autres organismes comme des annélides polychètes, des crustacés etc. et ce jusqu'à la destruction complète du bois.
Parmi les autres organismes marins xylophages, peuvent être également observés des isopodes Limnoriidés comme Limnoria lignorum (Rathke, 1799) (certainement l'espèce la plus commune) souvent accompagnée de Chelura terebrans Philippi, 1839 et de nombreuses autres espèces. Ces petits crustacés ne consomment pas directement le bois mais les associations de bactéries et de champignons qui décomposent les constituants du bois.
Le taret dans son tube peut respirer grâce aux deux siphons inhalant et exhalant rétractables qu'il peut sortir à l'extérieur du tube. Lorsqu'il est menacé, il peut les rétracter et les protéger en bouchant l'orifice de la galerie avec une paire de palettes calcaires en forme d'aviron.
La coquille n'a plus de fonction protectrice puisque l'animal vit dans un tube calcaire dans le bois. Son rôle est de râper le bois. Pour cela le taret prend appui sur son pied et provoque le basculement de sa coquille, fermement appliquée contre le bois.
Le tube, flexueux, est à peu près cylindrique dans sa plus grande partie et conique vers son extrémité postérieure. Parfois le tube peut être fermé par le calcaire sur son extrémité antérieure. Il présente de petites cloisons régulièrement espacées sur lesquelles l'animal prend appui et des restes de ces cloisons peuvent être aperçus tout du long du tube.
Les tarets jouent un rôle écologique important en tant qu'agents principaux de la minéralisation des matières végétales cellulosiques dans des milieux marins et saumâtres peu profonds (<150 m).
Très tôt l'homme a été confronté aux dégâts provoqués par les tarets. Pendant la période antique, les coques étaient enduites de goudron. A partir du XVIIIéme siècle, des plaques métalliques (de cuivre) ont été fixées sur les coques des navires. Actuellement les dégâts des tarets concernent toutes les structures en bois immergées (ouvrages portuaires, supports pour la conchyliculture, etc).
En cas de danger les tarets peuvent obturer l'extrémité débouchant sur l'extérieur par plaquage des palettes et rester ainsi à l'abri pendant plusieurs semaines. Les tarets dans leur galerie sont ainsi protégés contre la dessication et les variations de salinité. En utilisant un métabolisme particulier à partir du glycogène produit par la digestion de la cellulose, ils pourraient survivre, en conditions anaérobies, quelques semaines.
L'amenée en eau douce des navires nécessitait une quarantaine de plusieurs jours à plusieurs semaines pour obtenir une certaine efficacité. Cela a été fait pendant plusieurs siècles en mer Baltique dans des zones où la salinité descendait très en dessous de 12 g/L d'eau de mer et aucun d'entre eux ne survivait quand la salinité descendait en dessous de 5 g/L. C'est pourquoi de grandes épaves se trouvant au fond de cette mer depuis plusieurs siècles ont encore leur bois en relativement bon état. La mise au sec des navires peut s'avérer efficace mais crée d'autres dommages aux structures par dessèchement.
Plusieurs espèces peuvent cohabiter dans une même pièce de bois. En se décomposant seules les coquilles et les palettes sans lien entre elles subsistent, ce qui rend les identifications difficiles.
"Les tarets perforent le bois en tous sens et des inflexions ne manquent jamais de se manifester lorsqu'un taret rencontre soit un tube d'un de ses voisins, soit quelque vieille galerie abandonnée et ayant même perdu son revêtement calcaire. Il résulte de cette sorte d'instinct que quelque multipliés que soient ces tubes dans un même morceau de bois, ils n'adhèrent jamais entre eux". D'après Monsieur De Quatrefages "sur les tarets" 1848/1849.
La lutte chimique et biochimique est peu efficace face aux tarets, tout au plus les peintures antifouling retardent le travail de forage. D'autres mesures chimiques ont été tentées mais leur impact sur l'environnement s'est avéré extrêmement néfaste et elles ont dû être abandonnées.
Le réchauffement climatique et l'augmentation du trafic marchand sont favorables à la colonisation entière de la mer Baltique et donc complètement défavorables à la conservation des épaves.
Taret : nom grec du mollusque, tarière, ver qui ronge le bois (Pline).
Notoeredo : du grec [not-] = dos et du latin [tered] = frotter, user, percer et est relatif aux animaux qui usent en frottant.
norvagica : relatif à la Norvège. Pour la petite histoire le terme "norvagica" a été inscrit à la place de "norvegica" lors de l'enregistrement en 1792 du nom scientifique si bien que c'est celui-ci qui fait foi.
Numéro d'entrée WoRMS : 181368
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Mollusca | Mollusques | Organismes non segmentés à symétrie bilatérale possédant un pied musculeux, une radula, un manteau sécrétant des formations calcaires (spicules, plaques, coquille) et délimitant une cavité ouverte sur l’extérieur contenant les branchies. |
Classe | Bivalvia / Lamellibranchia / Pelecypoda | Bivalves / Lamellibranches / Pélécypodes | Mollusques aquatiques, filtreurs, au corps comprimé latéralement. Coquille composée de 2 valves articulées disposées de part et d’autre du plan de symétrie. Absence de tête, de pharynx, de radula et de glande salivaire. |
Sous-classe | Heterodonta | Hétérodontes | Charnière à dents dissociées. Siphon bien développé permettant aux organismes de se nourrir et de respirer tout en restant enfouis. |
Ordre | Myoida ou Myida | Myoïdes | Bivalves fouisseurs à coquille mince et aux siphons très développés. Charnière généralement édentée ou avec 1 ou 2 dents. Coquille non nacrée. Chondrophore présent. |
Famille | Teredinidae | Teredinidés | Corps allongé comme celui d'un ver, enfermé dans un tube calcaire rétréci en arrière. Les valves très petites, à trois plans, ne recouvrent que la partie antérieure du corps. Siphons courts, qui se ferment par deux pièces calcaires allongées (les palettes). Creusent le bois et font des dégâts considérables. Lindner 1999 p170. |
Genre | Nototeredo | ||
Espèce | norvagica |
A Arcachon
Ce cliché a été pris à la profondeur de 80 ou 90 ...cm, dans le bassin d'Arcachon.
Le photographe a voulu se déhaler en se tirant sur un vieux piquet en bois, il a cédé...
Surprise, un long machin blanc en partie sortant du piquet !
Beaucoup de prises de vues pour quelques clichés très moyens (beaucoup de houle, eau chargée..). Heureusement que son compagnon de plongée, Michel BARRABES, a pu tenir une partie de l'animal pour éviter qu'il ne bouge pas de trop dans la houle.
On voit ici les siphons, et des plaques calcaires typiques de ce genre d'animal.
D'après photo tout porte à croire qu'il s'agit de cette espèce mais on ne peut pas le garantir absolument.
Arcachon (33), 1 m
30/10/2008
Siphon et
Vue rapprochée qui montre les "palettes", structures caractéristiques des Teredinidés.
Arcachon (33), 1 m
30/10/2008
Différences
On distingue sur ce fragment de bois trouvé en épave les points d'entrée de galeries des larves de deux espèces : Nototeredo norvagica au tube avec des petites cloisons à gauche et à droite et Teredo navalis au tube lisse au centre
Laboratoire
17/06/2016
Valve droite
Sur cette valve droite en parfait état on distingue : le lobe antérieur réduit à gauche, l'apophyse en forme de lame au centre entre les deux condyles et le lobe postérieur plus grand que le lobe antérieur et nettement en forme de poire à droite.
Laboratoire
20/07/2016
Valve droite, vue extérieure
Vue extérieure d'une valve droite. On y remarque des stries identiques sur le lobe et sur la partie centrale.
Laboratoire
0/07/2016
Cloisons
Ce cliché montre une portion de galerie de Nototeredo norvagica avec cloisons.
Laboratoire
20/07/2016
Palette
Caractère discriminant, la palette prend ici la forme d'une pagaie ou d'une cuillère.
Laboratoire
20/07/2016
Ravages
Deux vues d'une même pièce de bois touchée par des tarets. Vu le nombre d'orifices d'entrée on peut imaginer les ravages à l'intérieur confirmés par la seconde image. Le pourcentage de bois manquant est très élevé.
Laboratoire
20/07/2016
tube calcaire de taret sur un tin.
Les différences entre les deux espèces de tarets sont à la portée des spécialistes et non des plongeurs. Il est donc ici impossible sur photo d'identifier l'une de nos deux espèces de tarets : Nototeredo norvagica ou Teredo navalis.
Forme 4, sur un tin, Dunkerque (59)
17/03/2013
Tube de calcaire d'un taret
La première chose que l'on voit, c'est un (ou plusieurs) tube calcaire de section circulaire dans un morceau de bois.
Forme 4, sur un tin, Dunkerque (59)
17/03/2013
Sur la coque d'une épave
La multitude de tubes visibles sur ce cliché montre la prolifération des tarets sur une pièce de bois. Là aussi l’œil d'un plongeur ne pourra pas déterminer l’espèce.
Swansea Vale, goulet de Brest (29), 29 m
31/07/2009
Palettes de tarets
A gauche : palettes de Teredo navalis : a) face externe d'une palette, b) face interne d'une palette.
A droite : palettes de Nototerdo norvagica : a) face externe d'une palette d'un spécimen jeune regardée en lumière transmise pour montrer les segments, b) face externe d'une palette caractéristique, c) face interne de la même palette.
Turner 1968 Teredo navalis p53 fig 58 et Nototeredo norvagica p55 fig 65
Reproduction de documents anciens
1968
Dessin de Nototeredo norvagica
Ce dessin représente le taret sans son tube calcaire. Seuls les siphons et les palettes sortent du tube.
Gray, 1857 page 25 figure 10
Reproduction de documents anciens
1857
Siphons
Des siphons sortent d'une pièce de bois. Il s'agit probablement de siphons de tarets. Les siphons sont souvent le seul signe visible d'une infestation de tarets.
Lembeh, North Sulawesi, Indonesie. 25 m
13/07/2017
Desin de l'organisation d'un taret
Kerkut, 1958, p 633, fig 430.
Reproduction de documents anciens
1958
Pénétration de la larve et croissance du taret dans le bois
Les galeries s'élargissent au fur et à mesure de la croissance de l'animal si bien qu'il s'y trouve prisonnier ou protégé.
Nair & Saraswathy, 1971, p. 408, fig 34
Reproduction de documents anciens
1971
Rédacteur principal : Christian SCOUPPE
Correcteur : Yves MÜLLER
Responsable historique : Daniel BURON
Responsable régional : Yves MÜLLER
Deschamps P., 1956, CONTRIBUTION A L'ETUDE DES XYLOPHAGES MARINS, Ed Archimer, 17 pages.
Gray M.E., 1857, FIGURES OF MOLLUSCOUS ANIMALS SELECTED FROM VARIOUS AUTHORS VOLUME V CONCHIFERA AND BRACHIOPODS PLATE 313-381 AND EXPLANATION OF PLATES AND SYSTEMATIC ARRANGEMENT OF THE FIGURES, Longman, Brown, Green and Longmans, London, 210p.
Kerkut G.A., 1958, THE INVERTEBRATA, Cambridge University Press, 823p.
Ministère de l'Agriculture,1933, LES TARETS ET AUTRES ANIMAUX MARINS ATTAQUANT LES BOIS IMMERGES, Administration des Eaux et Forêts, Commission d'études des ennemis des arbres et bois abattus et des bois mis en œuvre, ENEF, Ecole nationale des eaux et forêts, Nancy 12p.
Nair N.B., Saraswathy M., 1971, The biology of wood-boring teredinid molluscs, Advances in Marine Biology, 9, 335-509.
Turner R.D., 1968, Les Mollusques marins perforants du bois in Gareth Jones E.B., Eltringham S.K., Callame B, Les perforants, les champignons et les slissures du bois en milieu marin, Organisation de Coopération et de Développement Economiques, 19-67.
La fiche de Nototeredo norvagica dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN