Taille maximale documentée 12 cm
Larges taches noirâtres plus ou moins coalescentes dans les deux-tiers postérieurs du corps
Marque rose en forme de boomerang sur la joue des individus en phase terminale
Large marque rose foncé dans la partie postérieure de l’abdomen des individus en phase initiale
Petite tache noire derrière les yeux chez les individus en phase initiale
Girelle nébuleuse (Maurice)
Cloud
wrasse, clouded rainbow fish, clouded wrasse, nebulous wrasse, picture wrasse
(GB), Prent-lipvis (Afrique du Sud)
Julis nebulosus Valenciennes, 1839
Julis pseudominiatus Bleeker, 1856
Julis reichei Bleeker, 1857
Halichoeres reichei (Bleeker, 1857)
Pseudojulis maculifer Castelnau, 1875
Mer Rouge, océan Indien et océan Pacifique Ouest.
Zones DORIS : ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge]On peut trouver cette espèce en mer Rouge et dans les zones tropicales et subtropicales de l’océan Indien et du Pacifique Ouest. Dans le Pacifique, du nord au sud, sa distribution s’étend du sud du Japon à l’île Lord Howe et à la Nouvelle-Calédonie. En direction de l’est, elle va jusqu’à la Papouasie-Nouvelle Guinée et aux îles Palau.
Halichoeres nebulosus privilégie les zones détritiques* de mode battu des platiers* récifaux, ainsi que les côtes rocheuses. Il apprécie les sites colonisés par les algues et, quoique dans une moindre mesure, les herbiers.
Sa distribution verticale va de 1 à 40 mètres, mais il est souvent rencontré par moins d'un mètre.
Description sommaire :
Petit labre multicolore au corps fuselé. La livrée des mâles terminaux est verte avec des motifs roses et de larges taches noires diffuses sur les flancs. Celle des individus en phase initiale est foncée en moitié supérieure du corps et claire en moitié inférieure, avec une large tache rose à violette sur l'abdomen. La nageoire dorsale porte un ocelle* noir, bordé de jaune chez les individus en phase initiale, au début des rayons mous.
Description détaillée :
Le corps est fuselé et comprimé latéralement. Sa hauteur (distance entre la base du troisième rayon de la dorsale et celle du premier rayon des pelviennes) entre environ 3,3 fois dans sa longueur standard (longueur sans la queue). La taille maximale documentée est de 12 cm.
L’espèce présentant un dichromatisme* sexuel et étant supposée hermaphrodite* protogyne*, le patron de couleur dépend du stade des individus : la phase initiale regroupe les femelles et d’éventuels mâles primaires (mais ce dernier point n'est pas certain pour cette espèce), la phase terminale ne concerne que les mâles terminaux (dits aussi mâles « secondaires » parce qu’ils commencent leur existence comme femelles).
Phase initiale : La moitié supérieure du corps est brun rouille à vert bronze,
avec ou sans larges taches noires plus ou moins diffuses sur les flancs et une rangée de petites
taches blanches largement espacées le long de l’axe médian. Des taches
blanches moins nombreuses, plus grosses et plus espacées, sont visibles sur le
dos le long de la base de la nageoire dorsale. La moitié inférieure du corps
est blanche à jaunâtre avec une large marque rose foncé à violine, parfois accompagnée d’une à trois lignes blanches à bleutées, dans la partie postérieure de l’abdomen.
Derrière cette marque se trouvent quelques bandes verticales
irrégulières de même couleur que la partie supérieure du corps.
Les
motifs de la tête sont à peu près similaires à ceux de la phase
terminale à l’exception de la marque en forme de boomerang sur les
joues, qui n’est qu’esquissée, d’une petite tache noire derrière les yeux
et d’une tache blanche plus grosse qui lui succède sur les
opercules*. On observe deux bandes obliques ocre jaune de part et d’autre
des nageoires pectorales (elles sont roses et tachées de noir chez les mâles terminaux). La
nageoire dorsale est ornée de bandes obliques brunes dirigées vers
l’avant, d’un ocelle noir bordé de jaune au début des rayons mous et d’un petit point noir entre les deux premiers rayons durs. L’anale porte des barres obliques roses.
Phase terminale : La couleur de fond est verdâtre avec une zone abdominale plus claire. Le premier tiers du corps (tête exclue) porte dans sa partie supérieure trois bandes horizontales d’un rose saumon plus ou moins fumé, constituées par des séries de taches plus ou moins coalescentes. Sa partie abdominale est vert pâle à jaunâtre avec deux petites bandes obliques roses tachées de noir de part et d’autre des pectorales. Les deux tiers postérieurs du corps sont marqués par plusieurs larges taches noirâtres plus ou moins coalescentes aux contours diffus recouvrant partiellement de multiples taches rose saumon. Ces taches roses sont organisées en agrégats de forme et de surface variables dont certains se poursuivent en bandes verticales très irrégulières dans la moitié inférieure du corps. Certaines de ces bandes peuvent être violacées à noirâtres. Les plus grands mâles terminaux peuvent ne pas présenter de taches noirâtres sur les flancs.
La tête est pointue, avec une petite bouche terminale aux lèvres charnues formant une sorte de bec. Les yeux sont haut placés, l’iris est doré autour de la pupille et turquoise au-delà. Entre la pointe du museau et la nuque se trouvent de nombreuses bandes ou taches rose saumon très variables en forme et en nombre. Les motifs sur la partie latérale de la tête sont plus constants : on trouve une bande rose saumon reliant la commissure des lèvres à la partie antérieure des yeux et une bande de même couleur derrière les yeux. Celle-ci se dédouble, une branche allant vers l’extrémité supérieure des opercules* et l’autre vers l’extrémité située dans l’axe des pectorales. Les joues portent une longue marque rose en forme de boomerang, dont le coude se situe sous les yeux ; cette marque est caractéristique des mâles terminaux. Toutes ces marques sont finement bordées de bleu turquoise. Une petite tache noire étirée verticalement et bordée de turquoise dans sa partie antérieure marque le bord supérieur des opercules.
La couleur de fond des nageoires impaires est un vert pâle qui peut être jaunissant. Toutes portent de nombreux motifs rose saumon de forme variable. Une bande médiane rose, contenant parfois des taches rondes de même couleur que le fond, orne la dorsale dans la partie des rayons durs. Un ocelle noir bordé de turquoise est présent entre le premier et le troisième rayon mou. Le reste des rayons mous présente deux séries de taches vertes à jaunâtres sur fond rose, la première attenante à la base de la nageoire, la seconde, composée de taches plus petites, dans sa partie supérieure. Un fin liseré bleu couvre toute la nageoire. La nageoire anale présente une bande rose bordée de turquoise avec des taches vertes alignées à intervalles réguliers au contact de sa base ; ce motif est complété par une large bande terminale rose. La nageoire caudale est ornée d’alignements verticaux de points roses. Les pectorales sont translucides. Les premiers rayons des pelviennes sont roses, les suivants sont blancs à bleutés.
Les individus présentant des caractéristiques empruntées aux livrées des deux phases, initiale et terminale, sont des « intermédiaires », c’est-à-dire qu’ils sont en train de muter d’une phase à l’autre.
La livrée des juvéniles est décrite dans la section consacrée à la reproduction.
D’une manière générale et pour ce qui concerne les mâles terminaux, le critère de différenciation avec les espèces ressemblantes dans le genre Halichoeres est donné par les marques de couleur présentes sur les joues.
Cette espèce se nourrit principalement de crustacés et de gastéropodes benthiques* mais elle peut aussi manger des bras d’ophiure, des œufs et des larves* de poisson, des chitons, des bivalves, des vers et même des éponges.
La biologie de la reproduction n’a pas été étudiée chez H. nebulosus à la date de parution de cette fiche [septembre 2020], à notre connaissance. Toutefois, des observations de reproduction ont été faites dans quelques espèces du genre Halichoeres. Elles montrent que le dichromatisme* et le dimorphisme* sexuels sont fréquents, ainsi que la stratégie de reproduction de type harémique* (un mâle adulte contrôle plusieurs femelles), mais la stratégie de l’aire de parade* (plusieurs mâles en compétition, regroupés pour l’occasion dans un même lieu) peut être développée. Les mâles patrouillent sur les frontières de leur territoire. Ils font des ascensions fulgurantes suivies d’une descente aussi rapide pour signaler leur présence et leur disponibilité aux femelles environnantes. Les accouplements se font par couple (vs en groupe). Pour susciter un accouplement, les mâles se précipitent vers les femelles et nagent en cercle au-dessus d’elles, les nageoires impaires déployées. Quand une femelle est disponible, le couple fait une ascension rapide et émet ses gamètes* à l’apex* de cette ascension. Les mâles paradent après l’accouplement. La reproduction a lieu le plus souvent après la marée haute, en début de saison chaude. Les larves* sont pélagiques*.
La moyenne de la durée de vie larvaire chez H. nebulosus a été estimée à 29,6 jours, à partir des otolithes* de 10 individus.
Livrée du juvénile.
Le juvénile est d’abord vert acide avec des taches blanches sur la tête et l’abdomen. La membrane des trois premiers rayons de la dorsale est blanche. Le reste est translucide à l’exception d’un petit ocelle* noir largement bordé de jaune au niveau des premiers rayons mous. Les pelviennes sont blanches, les autres nageoires sont translucides. La tête est proportionnellement plus grande que celle des adultes. Puis le corps s’allonge, la moitié supérieure du corps devient brun clair tacheté de blanc et la moitié inférieure devient blanche, annonçant ainsi le patron de couleur de la phase initiale. De larges taches noires coalescentes masquent une bonne partie de ces couleurs, notamment dans la partie postérieure du corps. Une tache noire nettement plus grosse marque le milieu des flancs. Enfin, les marques noires régressent, les nageoires commencent à se colorer et la tache violine caractéristique de la phase initiale apparaît dans la partie postérieure de l’abdomen, en même temps que les marques roses des joues.
Cette espèce vit le plus souvent en petits groupes assez lâches, elle est rarement solitaire.
Quand
ce carnivore a la bouche ouverte, on peut observer à l’extrémité de chaque mâchoire une paire de canines
légèrement projetées vers l’avant et légèrement recourbées.
Outre son dichromatisme* sexuel, l’espèce est sexuellement dimorphique* : les femelles matures sont plus petites que les mâles terminaux.
Randall et Smith (1982) suspectent l’espèce de ne pas produire de mâles primaires : tous les individus naîtraient femelles et certains deviendraient des mâles, en fonction des circonstances. Contrairement à une espèce diandrique*, comme Halichoeres marginatus, où les individus sont à l’éclosion soit mâles, soit femelles, certaines femelles pouvant ensuite devenir mâles en fonction des circonstances.
Les Labridés constituent une famille très vaste (environ 600 espèces divisées en 82 genres), qui présente des stratégies de reproduction très différentes : gonochorie*, hermaphrodisme* successif protogyne* ou protandre*, diandrie, monogamie facultative, organisation en harems ou en aires de parades*, etc.
La dorsale comprend 9 rayons durs et 11 rayons mous, l’anale comprend 3 rayons durs et 11 rayons mous. La ligne latérale* comprend 27 écailles
Le statut de l’espèce pour l’UICN* est LC (Least Concerned, traduit par « Préoccupation mineure »), ce qui signifie que les informations recueillies sur l’espèce ne permettent pas de la classer dans les autres catégories, notamment dans les trois qui alertent sur une menace (CR : en danger critique d’extinction, EN : en danger, VU : vulnérable). Fonction de quoi elle n’est pas actuellement concernée par des mesures de protection.
Labre : le mot vient du nom scientifique de la famille des Labridés. Ce nom de famille est issu du mot latin [labrum], qui signifie lèvre, en référence aux lèvres généralement charnues des poissons de ce groupe, et probablement aussi à leur voracité bien connue.
nébuleux : cet adjectif signifie obscurci par des nuages. Il traduit l’adjectif latin nebulosus, choisi par Valenciennes comme épithète spécifique dans le nom scientifique de l’espèce (voir l’étymologie du nom scientifique).
Halichoeres : le mot est composé du grec [als] qui signifie sel, par extension mer, et [choiros], qui signifie porc. Son sens litteral est donc « porc de mer ». Le genre est fondé par Rüppell en 1835 (sous le nom de Halichöres) dans Neue Wirbelthiere zu der Fauna von Abyssinien gehörig, dans le chapitre Fische des Rothen Meeres (p. 10). Il réfère explicitement le choix du nom de genre à la dentition des espèces concernées. Celles-ci présentent, sur la mâchoire supérieure et au niveau de la commissure des lèvres, une paire de canines recourbées qui évoque celle des sangliers. Ces canines ne se trouvent que chez les grands individus.
Le type* est Halichoeres bimaculatus (actuellement Halichoeres zeylonicus). La localité du type est la mer Rouge. Le genre comprend actuellement 84 espèces acceptées mais une analyse cladistique suggère qu’il pourrait être scindé en trois ou quatre nouveaux genres à l’avenir si des études morphologiques venaient confirmer les données de la génétique.
nebulosus : ce mot est un adjectif latin désignant un lieu rempli de brouillard et par extension un nuage, ou quelque chose d’obscur, de difficile à comprendre. L’espèce est décrite en 1839 par Valenciennes dans Histoire naturelle des poissons (Tome treizième, Livre seizième, Des Labroïdes, p. 461) sous le nom de Julis nebulosus, avec le nom commun de « Girelle nuageuse ». Dans sa description, Valenciennes précise : « sur le milieu des côtés il y a plusieurs taches noires nuageuses, mêlées à d’autres nacrées. » Il est donc probable que ce sont ces taches qui motivent le choix de l’épithète spécifique.
La localité du type est Bombay (Inde).
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Chordata | Chordés | Animaux à l’organisation complexe définie par 3 caractères originaux : tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de Chordés : les Tuniciers, les Céphalocordés et les Vertébrés. |
Sous-embranchement | Vertebrata | Vertébrés | Chordés possédant une colonne vertébrale et un crâne qui contient la partie antérieure du système nerveux. |
Classe | Actinopterygii | Actinoptérygiens | Ossification du crâne ou du squelette tout entier. Poissons épineux ou à nageoires rayonnées. |
Ordre | Perciformes | Perciformes | Nageoires pelviennes très rapprochées des nageoires pectorales. |
Famille | Labridae | Labridés | Lèvres épaisses. |
Genre | Halichoeres | ||
Espèce | nebulosus |
Labre nébuleux
Cette espèce doit l’épithète spécifique de son nom scientifique et son nom commun aux taches noirâtres diffuses présentes sur les flancs.
Valenciennes, son descripteur, mentionne « plusieurs taches noires nuageuses » présentes « sur le milieu des côtés ». Il lui donne d’ailleurs le nom commun de « girelle nuageuse ».
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
18/03/2019
Phase terminale sans « nuages »
Les taches noires des flancs, les "nuages" selon le descripteur de l'espèce, peuvent disparaître chez les plus grands mâles.
On peut observer, chez ce mâle d’une douzaine de centimètres, la fin du processus d’effacement de ces taches à travers quelques zones grisâtres résiduelles.
Le mâle terminal se reconnaît à la marque rose en forme de boomerang sous les yeux.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
13/03/2019
Fuselé
Le corps est fuselé et fortement comprimé latéralement. Cette morphologie rend l’espèce très agile dans les habitats de mode battu qu’elle privilégie.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
18/03/2019
Tête
La tête est pointue, avec une petite bouche terminale et des lèvres charnues formant une sorte de bec. Notez le bel anneau turquoise entourant l’iris.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
05/10/2011
Phase initiale
Dans sa phase initiale, l’espèce ne comprendrait probablement que des femelles (il n'y aurait pas de mâles primaires) mais ce point n’est pas encore confirmé.
Leur marque spécifique est la large tache rose à violine située dans la partie postérieure de l’abdomen. Toutefois, le marquage des joues ainsi que ceux des nageoires impaires sont aussi très différents de ceux des mâles.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
13/03/2019
Grand juvénile
Cet individu d’environ 3 cm achève son passage du stade juvénile à la phase initiale.
Il lui reste à compléter le patron de couleur des nageoires impaires pour que ce soit chose faite !
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
28/02/2013
Jeune individu
Cet individu présente la livrée complète de la phase initiale, mais la faible hauteur de son corps (distance entre la base du troisième rayon de la dorsale et celle du premier rayon des pelviennes) montre qu’il est très jeune.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
20/08/2011
Réveil !
Cet individu en phase initiale a passé la nuit ensablé, comme la plupart des labres. Il est 7 h 32, il commence sa journée.
South Twin islands, archipel Mergui, Birmanie, 25m
25/02/2020
Alimentation
Le régime alimentaire de l’espèce est très varié, bien qu’elle se nourrisse principalement de crustacés et de gastéropodes benthiques. On voit ici le labre nébuleux consommant un bras d’ophiure.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
13/03/2019
Biotope
Halichoeres nebulosus apprécie les zones détritiques de mode battu des platiers récifaux, comme c’est le cas de l’individu photographié, mais on le trouve aussi sur les côtes rocheuses.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
18/03/2019
Dans un herbier
L’espèce apprécie les sites colonisés par les algues, mais on peut la trouver dans des herbiers de phanérogames. Tout dépend probablement du type de nourriture qu’elle cherche.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
20/10/2012
Opportuniste peu farouche
Il suffit de cogner un petit débris corallien sur un autre pour voir arriver cet opportuniste, attiré par la perspective de proies débusquées par l’agitation en cours. Il peut alors devenir très familier, comme le montre cette photo.
Lagon de l'Ermitage, La Réunion, océan Indien, 1,5 m, en PMT
07/09//2010
A Mayotte
Ici, une femelle mahoraise sur un fond détritique. L’espèce se rencontre en mer Rouge, dans l’océan Indien et dans le Pacifique Ouest.
Sakouli, Mayotte, océan Indien, 2 m
09-01-2011
Rédacteur principal : Philippe BOURJON
Vérificateur : Alain-Pierre SITTLER
Responsable régional : Alain-Pierre SITTLER
Colin P.L., Bell L.J., 1991, Aspects of the spawning of labrid and scarid fishes (Pisces: Labroidei) at Enewetak Atoll, Marshall Islands with notes on other families, Environmental Biology of Fishes, 31, 229-260.
Kramer M.J., Bellwood O., Bellwood D.R., 2016, Foraging and microhabitat use by crustacean-feeding wrasses on coral reefs, Marine Ecology Progress Series, 548, 277-282.
Victor B.C., 1986, Duration of the planktonic larval stage of one hundred species of the Pacific and Atlantic wrasses (family Labridae), Marine Biology, 90, 317-326.
Westneat M.W., Alfaro M.E., 2005, Phylogenetic relationships and evolutionary history of the reef fish family Labridae, Molecular Phylogenetics and Evolution, 36(2), 370-390.
La page sur Halichoeres nebulosus dans le site de référence de DORIS pour les poissons : FishBase