Coquille largement
ovale, équivalve, blanche et brillante, légèrement transparente
10 à 15 mm de longueur
Sommets en arrière d’une ligne médiane
Périostracum
mince, brun clair ou rouille, apparent que sur les marges de la coquille
Coquille lisse ou avec de très fines stries de croissance
Sinus palléal profond et plutôt irrégulier
Telline blanche
White furrow shell, white abra (GB), Weisse
Pfeffermuschel, kleine Pfeffermuschel (D), witte dunschaal (NL), hvid
pebermusling (Danois)
Mactra alba W. Wood, 1802
Scrobicularia alba (W. Wood, 1802)
Syndesmya alba (W. Wood, 1802)
Syndosmya alba (W. Wood, 1802)
Mactra boysii Montagu, 1803
Tellina apelina Gmelin, 1791, sensu Renier, 1804
Tellina pellucida Brocchi, 1814
Syndesmya renieri (Bronn, 1831)
Abra renieri (Bronn, 1831)
Erycina renierii Bronn, 1831
Tellina semidentata Scacchi, 1833
Syndosmya alba var. major Recluz, 1843
Syndosmya apelina Récluz, 1843
Syndosmya occitanica Récluz, 1844
Amphidesma boysiana Leach, 1852
Syndesmya alba var. curta Jeffreys, 1864
Erycina tumida Brusina, 1865
Syndesmya alba var. apesa De Gregorio, 1884
Scrobicularia alba var. oblonga J. T. Marshall, 1893
Mer du Nord, Manche, Atlantique Nord-Est, Méditerranée
Zones DORIS : ● Europe (côtes françaises), ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises], ○ [Méditerranée française]Abra alba est présente en mer Baltique, en mer du Nord, en Manche et en Atlantique Nord-Est de la Norvège jusqu'au Sénégal. On peut la rencontrer également en Méditerranée et en mer Noire.
Abra alba vit dans les 3 à 5 cm supérieurs du sédiment et peut être observée dans tous les types de substrats* meubles. Toutefois l’espèce montre une préférence marquée pour les sédiments de sable fin avec une grosseur de grain moyenne (entre 50 et 250 μm) et une teneur en vase de 10-50 %.
A. alba est assez rare dans les sédiments grossiers (grosseur de grain moyenne > 300 μm) avec une faible teneur en vase (< 10%), mais les plus fortes densités sont observées dans les sables fins envasés.
Occasionnellement, cette espèce peut être présente dans la zone de balancement des marées, mais elle vit plutôt en dessous du niveau des basses mers jusqu’ à 70 m de profondeur (voire 521 m). Sur la côte ouest de la mer du Nord, on ne la rencontre plus au-delà de 30 km de la côte.
La coquille est largement ovale, équivalve*, blanche et brillante, légèrement transparente avec un éclat velouté. Elle mesure 10 à 15 mm de longueur (mais peut atteindre 20 mm). Les sommets sont en arrière d’une ligne médiane. Le périostracum* mince, brun clair ou rouille, n’est apparent que sur les marges de la coquille. La coquille est lisse ou avec de très fines stries de croissance.
L’intérieur de la coquille est blanc uni, terne. Le sinus* palléal* est profond et plutôt irrégulier.
Les coquilles juvéniles sont hyalines*, transparentes, semblables à l'adulte mais le contour des très petites coquilles est plus symétrique.
Les siphons* sont extrêmement longs, le siphon inhalant* peut mesurer plus de 5 fois la longueur de la coquille. Leurs fibres musculaires les font apparaître rayés et annelés. Le siphon inhalant présente six lobes aplatis sur le bord. L'extrémité de ce dernier se dilate souvent.
Il existe 5 autres espèces du genre Abra sur nos côtes. Elles sont difficiles à distinguer les unes des autres, elles sont toutes de petite taiIle, brillantes et blanches. Il est nécessaire d’avoir les coquilles entre les mains (et souvent une loupe) pour les différencier.
Abra longicallus (Scacchi, 1834). Elle est présente de la Norvège à la Macaronésie* et en Méditerranée. La coquille, fragile et blanche, mesure 7 à 12 mm de long (jusqu’à 15 mm). Elle est ovale, aplatie, inéquivalve* (la valve gauche est plus gonflée que la droite) et son extrémité postérieure est pointue. Les stries concentriques de croissance sont fines et la présence de fines stries rayonnantes est caractéristique. Le périostracum* est brun. Le sinus* palléal* est profond et son bord inférieur est partiellement confluent avec ligne palléale.
Elle vit en dessous de la zone de balancement des marées jusqu’au bas de la pente continentale.
Abra nitida (O.F. Müller, 1776). Elle est présente de la Norvège au nord-ouest de l’Afrique et en Méditerranée. La coquille, mince et cassante, blanche, semi-transparente et brillante, équivalve*, est allongée, ovale et mesure 7 à 15 mm de longueur. Les sommets sont juste en arrière de la ligne médiane. Les stries de croissance sont très fines (à peine visibles à la loupe). Le périostracum* est rarement conservé. L’intérieur de la coquille est blanc, brillant. Le sinus* palléal* est profond et son bord inférieur est confluent avec la ligne palléale.
Ce petit bivalve vit dans les sables vaseux et dans les graviers envasés en dessous de la zone de balancement des marées jusqu’à 200 m de profondeur.
Abra prismatica (Montagu, 1808). Cette espèce est présente de la Norvège au nord-ouest de l’Afrique et en Méditerranée. La coquille est fine et cassante, allongée, ovale à fusiforme, environ deux fois plus longue que large, blanche, semi-transparente et brillante, inéquilatérale*. Sa surface présente une brillance veloutée. Elle mesure 7 à 15 mm de long. La surface de la coquille est lisse, tout au plus avec de très fines lignes de croissance visibles à la loupe. Le périostracum* est brun clair. L’intérieur de la coquille est blanc brillant. Le bord inférieur du sinus* palléal* est partiellement fusionné avec la ligne palléale.
Elle vit dans une grande variété de substrats*, mais se rencontre préférentiellement dans les sables hétérogènes envasés. On la rencontre en dessous de la zone de balancement des marées jusqu’à environ 60 m de profondeur.
Abra segmentum (Récluz, 1843). Cette espèce est présente sur la côte atlantique de la France au Maroc, en Méditerranée et en mer Noire. La coquille blanche, brillante, courte, ovale-oblongue, équivalve*, inéquilatérale*, mesure 10 à 15 mm de longueur (jusqu’à 17 mm). Elle est lisse ou avec de très fines stries de croissance. Les différences les plus évidentes sont sa forme plus anguleuse, sa couleur moins brillante et son sinus palléal plus large.
Cette espèce est strictement lagunaire. Elle vit enfouie dans des substrats vaseux, jamais à plus de 5 cm de profondeur, elle est eurytherme* et euryhaline* (elle supporte des salinités comprises entre moins de 1 et 62 ‰). On peut trouver jusqu’à près de 5 000 individus/m² dans certains étangs méditerranéens (en fait des lagunes).
Abra tenuis (Montagu, 1803). Cette espèce est présente du Danemark jusqu’au nord-ouest de l’Afrique et en Méditerranée. La coquille mince et cassante, équivalve, équilatérale est presque triangulaire et arrondie dans sa partie la plus large. Cette coquille est d’un blanc terne avec un périostracum* souvent irisé, blanc grisâtre ou fauve, parfois taché d’un brun très foncé près des marges. Elle mesure 5 à 10 mm de longueur (jusqu'à 12 mm). Les nombreuses fines stries de croissance sont visibles à la loupe. Le sinus palléal est profond, son bord inférieur est partiellement fusionné avec la ligne palléale.
Elle vit dans les sables vaseux (comme la slikke*) de la zone de balancement des marées et plus spécialement dans des zones soumises à des dessalures comme les estuaires ou certaines lagunes saumâtres*.
Abra alba vit dans des environnements vaseux, elle peut passer de l'alimentation en suspension (suspensivore* ou "suspensive-feeder") à l'alimentation sur dépôt (déposivore* ou "deposit-feeder"), en fonction des conditions de l'environnement.
Lors de l'alimentation en suspension, le siphon* inhalant* est maintenu à quelques millimètres au-dessus de la surface du sédiment et aspire les particules en suspension comme des diatomées*.
Lors de l’alimentation sur dépôt, le siphon inhalant "fouille" la surface du sédiment "à tâtons" et aspire les matières déposées sur le substrat*.
Le siphon inhalant tourne autour du point d’où il émerge du substrat, aussi bien tout près que parfois très loin. Il est très actif en se pliant et en se tordant dans toutes les directions, alors que la pointe fait indépendamment de petits mouvements circulaires. Le siphon se courbe souvent avec l'ouverture vers la surface du sédiment où il aspire activement du matériel. Les fragments ainsi aspirés remplissent souvent complètement la lumière du siphon. Toutes les deux minutes et demie, il y a expulsion soudaine de pseudo fèces. Les siphons s'étendent alors vers le haut, bien dégagés du fond, et s'allongent pendant environ 3 secondes.
Aucune sélection dans le matériel aspiré n'est faite, mais le rejet intermittent de pseudo fèces constituées essentiellement de sable par le siphon inhalant montre qu'un tri est effectué à l'intérieur de l'animal.
Dans les fèces, il y beaucoup de débris non identifiables et des fragments de diatomées*.
Abra alba est une espèce gonochorique*. Les sexes sont séparés mais ils ne peuvent être distingués que par une dissection.
Normalement, il y a deux périodes de ponte distinctes qui dépendent de l’environnement. Les pontes se situent par exemple entre le début de l’été et en automne. La période optimale de reproduction du bivalve se situe entre mai et août. Selon la saison de leur installation sur le fond, les individus diffèrent en termes de croissance et de durée de vie potentielle. Il semble que seuls les individus dont la longueur minimale de la coquille est comprise entre 7 et 9 mm se reproduisent. On note la présence d'individus capables de pondre pendant au moins 8 mois de l'année.
Les gamètes* (spermatozoïdes* et ovules*) sont rejetés dans la cavité palléale* et évacués par le siphon* exhalant* par pompage. La fécondation se produit dans le milieu extérieur. Une femelle de taille moyenne de 11 mm de long produit entre 15 000 et 17 000 ovules de 60 µm de diamètre.
Les œufs se transforment en larves* trochophores* nageant librement, puis en larves véligères* (0,2 mm) planctotrophiques*. Les stades larvaires sont tous planctoniques* et durent environ un mois. Les larves sont soumises à une très forte mortalité. Au moment de la métamorphose*, les larves (coquilles de 0,4 mm) quittent le plancton* et le bivalve passe le reste de sa vie dans le benthos*.
Les individus qui s'installent au début de l'été grandissent rapidement, tandis que ceux qui quittent le plancton à la fin de l'été ou en automne ne grandissent apparemment pas avant le printemps suivant.
La majorité des individus ne vit pas au-delà d'un an pour une longueur de 12–14 mm. Toutefois la longévité d’Abra alba sur la côte de la Manche orientale (3 ans) est intermédiaire à celles trouvées dans les eaux danoises (2 ans) et dans les eaux de la Manche occidentale (4 ans).
La durée de vie peut être limitée par la prédation qu’Abra alba subit de la part des poissons plats.
On peut observer, par endroits, jusqu'à 9 000 (voire 14 000) individus par m². Abra alba peut être l'espèce dominante dans la communauté à Abra alba et Lagis koreni. Les autres espèces présentes dans cet habitat comprennent généralement des bivalves tels que Phaxas pellucidus, Kurtiella bidentata, des gastéropodes comme Peringia ulvae, des annélides polychètes tels que Mediomastus fragilis, Spiophanes bombyx, Owenia fusiformis et Scalibregma inflatum, ainsi qu'un mélange d'arthropodes.
À la surface des sédiments, la faune facilement visible comprend Lagis koreni et Ophiura ophiura.
Mais les abondances fluctuent fortement entre les années (forte mortalité des juvéniles pendant les premiers mois après le recrutement ou mortalité des adultes).
Abra alba et Fabulina fabula sont deux espèces qui occupent la même niche alimentaire puisqu'elles peuvent toutes deux se nourrir de matériel déposé ou en suspension. La compétition entre les espèces peut entraîner une croissance lente de Fabulina fabula qui s'installe plus tardivement dans le milieu.
Abra alba peut héberger de nombreux endoparasites* aux stades larvaires* comme : Prosorhynchoides gracilescens et P. haimeana, Cercaria discursata, Cercaria myocercoides, C. nigrotincta, C. pelseneri, C. plumosa, C. setifera, C. syndosmyae, C. trivesicata, Monascus filiformis. Au stade adulte, elle peut abriter Bucephalus syndosmyae et également des ectoparasites* adultes comme Leptinogaster histrio.
Abra alba s'enfonce de 4 à 5 cm dans le sédiment. Pour s'enfouir, les valves s'ouvrent, la pointe du pied s'insinue dans le sable, s'allonge puis s'élargit formant une ancre qui permet à l'animal de se redresser et de s'enfoncer un peu dans le sable. Le pied s'enfonce à nouveau et beaucoup plus profondément (4 cm). L'animal crée un courant d'eau qui rend le sable plus fluide. Le pied se contracte brusquement et l'animal s'enfonce complètement dans le sable. Les siphons* sortent 1 à 2 minutes plus tard. L'enfouissement est très rapide, il se fait en 15 à 25 secondes.
Le siphon exhalant* sort verticalement, quelquefois de 2 mm au-dessus de la surface, quoique souvent il soit dessous dans une cavité. Ce siphon exhalant génère un courant régulier d’eau à travers son terrier, où les excréments sont déposés.
Parfois l'animal sort du substrat*, allonge le pied horizontalement, s'ancre dans le sédiment à une distance de 2 à 3 cm et se contracte. L'animal est ainsi halé et avance. Le mouvement est assez rapide et saccadé. Ainsi cette espèce peut se déplacer sur 20 à 30 cm. Elle a donc la possibilité de rechercher dans la proximité immédiate de meilleures conditions (trophiques* par exemple).
Par son abondance et ses déplacements, cette espèce homogénéise le substrat de façon mécanique et aléatoire sur de courtes distances. De tels organismes sont qualifiés de bio-diffuseurs.
Abra alba est un aliment commun pour de nombreux poissons de fond, en particulier pour les poissons plats comme : la plie (Pleuronectes platessa), la plie canadienne (Hippoglossoides platessoides), la limande (Limanda limanda), le flet (Platichthys flesus). Elle sert de nourriture au merlan (Merlangius merlangus) et à l'étoile de mer commune (Asterias rubens).
Le mécanisme appelé "dérive du byssus*" a été observé chez 20 espèces de mollusques bivalves, dont Abra alba. C'est le mécanisme par lequel les bivalves post-larvaires entrent dans une deuxième phase de migration pélagique*. Les jeunes bivalves sécrètent un long fil unique qui augmente la traînée agissant sur eux et leur permet d'être emportés par le courant, ce qui assure une dispersion des post-larves.
Abra alba est une espèce pionnière ou colonisatrice des milieux pollués du fait de sa tolérance aux variations des facteurs du milieu et ses grandes capacités reproductrices.
Cette espèce est toutefois sensible à certains polluants comme les produits pétroliers. Après la marée noire de l'Amoco Cadiz (mars 1978), Abra alba a mis plus de 10 ans à reconstituer ses populations en baie de Morlaix. Ce qui a affecté la biomasse des poissons se nourrissant de cette communauté.
Abra alba est présente dans les couches géologiques du tertiaire (−66 à −2,58 Millions d'années) en Italie.
Syndesmye blanche : du grec [syndesm] = ligament.
Telline blanche : ce nom vernaculaire n’est pas approprié car Abra alba n’appartient pas à la famille des Tellinidés mais à celle des Semelidés. Le nom d’espèce est la traduction du nom latin.
Abra : du grec [abros] = gracieux, délicat. Ce genre a été créé par le zoologiste britannique William Elford Leach (1790-1836) et rapporté en 1818 par le naturaliste français Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet Chevalier de Lamarck (1744-1828).
alba : du latin [alba] = blanc. Ce nom d'espèce a été introduit en 1802 par le malacologiste (médecin puis libraire) britannique William Wood (1774-1857).
Numéro d'entrée WoRMS : 141433
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Mollusca | Mollusques | Organismes non segmentés à symétrie bilatérale possédant un pied musculeux, une radula, un manteau sécrétant des formations calcaires (spicules, plaques, coquille) et délimitant une cavité ouverte sur l’extérieur contenant les branchies. |
Classe | Bivalvia / Lamellibranchia / Pelecypoda | Bivalves / Lamellibranches / Pélécypodes | Mollusques aquatiques, filtreurs, au corps comprimé latéralement. Coquille composée de 2 valves articulées disposées de part et d’autre du plan de symétrie. Absence de tête, de pharynx, de radula et de glande salivaire. |
Sous-classe | Autobranchia | Autobranches | |
Super ordre | Imparidentia | Imparidenties | |
Ordre | Cardiida | Cardiides | |
Famille | Semelidae | Semelidés | |
Genre | Abra | ||
Espèce | alba |
Petit bivalve blanc sur un gant
La coquille blanche, brillante, montre de fines stries de croissance.
Saint-Suliac (35)
27/02/2021
Sur l'estran
La bordure du manteau de couleur rouille est bien visible ainsi qu'un des deux siphons.
Sur l'estran, côtes d'Armor (22)
08/03/2011
Gros plan d'un échouage massif
Les coquilles sont de différentes tailles, il y a donc plusieurs cohortes d'individus.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
21/09/1995
Coquilles d'Abra alba
L'échelle mesure 3 centimètres. En haut à gauche un individu vu du côté droit, en haut à droite coquilles vues de l'intérieur, la charnière est petite ; en bas vue de l'extérieur.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
13/01/2023
Vue de l'intérieur de la valve droite
Le sinus palléal est profond et irrégulier. Son bord inférieur se confond avec la ligne palléale.
Dessin de J.M. Dewarumez, 1979, figure 24 page 55
Reproduction de documents anciens
1979
Position d'Abra alba dans le sédiment
Seuls les siphons sortent du sédiment. Le siphon inhalant explore les alentours.
Dessin de J.M. Dewarumez, 1979, figure 56 page 86
Reproduction de documents anciens
1979
Dessins
7. Animal vu du côté droit, les siphons, le manteau et le pied sont en extension ;
8. Coquille ;
9. Charnière des valves gauche et droite vue de l'intérieur ;
10. Coquille vue de l'arrière ;
11. Extrémité des siphons agrandies.
Dessins de Meyer et Möbius 1872, page 181, figures 7-11
Reproduction de documents anciens
1872
Échouage sur la plage
La mer est en haut de la photo. Seule une infime partie de l'échouage est visible.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
25/09/1995
Échouage massif !
Afin de débarrasser la plage, les services municipaux ont rassemblé une partie de l'échouage.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
20/09/1995
Vue détaillée sur le sable
L'échouage a été massif.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
19/09/1995
Traces de reptation
Les individus échoués ont cherché à se sortir de cette mauvaise situation, sans succès.
Sur l'estran, à marée basse, plage de Leffrinckoucke (59)
08/09/1995
Pelote de réjection de Goéland
Le goéland a fait un festin de syndesmyes blanches.
Sur l'estran, plage de Leffrinckoucke (59)
09/09/1995
Rédacteur principal : Yves MÜLLER
Vérificateur : Philippe LE GRANCHÉ
Responsable régional : Yves MÜLLER
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La page d'Abra alba dans l'Inventaire National du Patrimoine Naturel : INPN
La page d’Abra alba sur le site de référence de DORIS pour les mollusques : MolluscaBase