Stéphane Chavin le 27/08/17
Bonjour,
il me semble avoir photographié un triptérygion (il possède bien 3 nageoires dorsales) rouge andalou femelle (il est possible de voir sur la photo des couleurs rouge sur le boût des nageoires de l'individu et surtout les bandes rouges au nombre de 4 sur la nageoire caudale) cepandant, il a été photographié en mer Méditerranné à Saint-Raphaël, ce qui n'est pas vraiment son territoire habituel. Je me demande donc si c'est bien la bonne espèce ou si ce serait pas plutôt un triptérygion jaune (ce qui serait plus normal avec le territoire).
Merci.
Roberto PILLON le 27/08/17
J'ai l'air mieux toutes mes informations et je dois faire trois clarifications:
1 - la dernière partie des deux premiers rayons du deuxième nageoire dorsale toujours entièrement connecté pour la membrane pour les mâle Tripterygion tripteronotum (et pas pour les espèces T.tartessicum, cette il est une erreur de l'article à la page 82)
2 - l'erreur d'inverser les normes des deux espèces dans l'article il est seulpour la page 82 (mais à la page 81 est écrit correctement)
3 - le museau plus court pour les mâle et femelles T.tartessicum (il est le seul critère valable pour les deux sexes) et plus précisément la relation entre le diamètre de l'oeil et la longueur du museau
Roberto PILLON le 27/08/17
Votre spécimen ressemble à une femelle de T.tripteronotum.
Roberto PILLON le 27/08/17
Male T. tartessicum (parce-que photographié à Menorca)
- le museau plus court pour les mâle T.tartessicum
- la dernière partie des deux premiers rayons du deuxième nageoire dorsale toujours entièrement connecté pour la membrane pour les mâle T.tartessicum
Roberto PILLON le 27/08/17
Les lignes rouges sur la nageoire caudales pour le femelles sont normaux pour les deux espèces.
Il n'est pas possible de distinguer Tripterygion tartessicum de Tripterygion tripteronotum avec photographie et les peu critères visuels décrit à ce jour concernent seulement les mâle:
- 4 lignes plus visibles sur la queue pour les mâle T.tartessicum,
- le museau plus court pour les mâle T.tartessicum
- la dernière partie des deux premiers rayons du deuxième nageoire dorsale toujours entièrement connecté pour la membrane pour les mâle T.tartessicum (et la dernière partie des deux premiers rayons du deuxième nageoire dorsale non connecté par membrane pour les mâle T.tripteronotum)
En plus ils ont seulement la valeur qu'une description de l'échantillon moyen. Ces critères ont en fait été trouvés parfois pour spécimens des les deux espèces, cette ils ne sont donc pas des caractères uniques utilisable pour reconnaître l'espèce. Il n'y a pas cette information dans l'article mais dans le passé j'ai contacte les auteurs de l'article qui a décrit l'espèce pour lui demander des éclaircissements (parce qu'ils ont fait une évidente erreur d'inverser les normes des deux espèces dans l'article entre la page 80 et 82) et ils m'ont confirmé cela.
Donc si nous
n'analysons pas génétiquement les spécimens le seul critère raisonnable
que nous pouvons maintenant utiliser c'est le distributiongéographique.
Roberto PILLON le 27/08/17
Tripterygion tartessicum ne vit pas dans la côte méditerranéenne de la France.
Il ressemble à Tripterygion tripteronotum femelle mais il n'est pas facile d'avoir des certitudes sans voir bien la forme de tache noire sur le pédoncule de nageoire caudal.