je ne sais si c’est déontologiquement acceptable et techniquement réalisable, mais pourrait-on exceptionnellement, après la photo in-situ et en s’excusant poliment auprès du spécimen, retirer en pareille occasion le coquillage, le prendre en photo latéralement (pour faciliter l’identification), puis le remettre délicatement en place ? çà permettrait d’avoir des photos de siphons ± correctement répertoriés ?
Il ne sera pas facile, même pour un spécialiste des bivalves, de répondre avec certitude ! En général on essaie au moins d'avoir un aperçu du siphon, et même là, cela peut être encore assez incertain... Les spécialistes ont souvent travaillé d'après les caractéristiques de la coquille (charnière...).
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