Franck et Neven GENTIL le 01/07/19
bonjours,
Pouvez-vous m’aider à identifier cela?
Désolé , la photo est un peu flou...
Merci d’avance.
Franck.
Franck et Neven GENTIL le 03/07/19
Merci pour ces réponses.
Bruno CHANET le 03/07/19
-" L’homme, en tant qu’animal dominant, " là, on quitte le cahier des charges
des sciences... en y insérant un jugement de valeur auquel d'aucun
n'adhère pas.
- "et la sélection naturelle, pure, qui survient entre espèces." espèce humaine comprise...
"dans le cas présent , peut-on penser qu’une espèce peut (a) modifier ses « habitudes » pour échapper à l'extinction ? " en est-elle consciente ? le dire revient à poser dessus et a posteriori un jugement
Franck et Neven GENTIL le 03/07/19
Merci Bruno, je vous rejoins tout à fait, mais,
Le facteur extérieur pourrait être divisé en deux catégories:
- L’homme, en tant qu’animal dominant, que ce soit naturellement par sa présence , ses besoins ou artificiellement par son pouvoir de modifier chimiquement les organismes (voir même indirectement).
- et la sélection naturelle, pure, qui survient entre espèces.
Dans le cas présent , peut-on penser qu’une espèce peut (a) modifier ses « habitudes » pour échapper à l'extinction ?
Bruno CHANET le 03/07/19
Est-ce qu’on peut vraiment parler de sélection « naturelle »?
oui, car cela semble être le résultat d'une modification de la distribution spatiale d'une espèce sous l'influence d'un facteur extérieur ...
on pourrait l'appeler "artificielle" étant donné que le facteur en question relève d'une action humaine. Mais c'est la même chose sur le fond. Et l'expression sélection artificielle est plutôt employée pour de l'élevage ou de l'agriculture c’est-à-dire lorsque l'objectif est clairement envisagé par le sélectionneur (ex. couleur du pelage, nombre de grains, forme corporelle...). Est-ce le cas ici ?
Franck et Neven GENTIL le 03/07/19
Et une autre prise de plus prêt. Toutes deux sont tirées du film.
Est-ce qu’on peut vraiment parler de sélection « naturelle »?
Les derniers spécimens seraient ceux qu’i n’ont pas été trouvé, certains vivant au grand air et d’autres cachés...
Franck et Neven GENTIL le 03/07/19
Voilà une vue de situation pour mieux se rendre compte de l’implantation sur la roche.
Bruno CHANET le 02/07/19
"mais d'habitude ils vivent sur des rochers battus par les vagues " OK pour mode battu et ils ne vivent que dans des endroits inaccessibles simplement par sélection naturelle.... ailleurs, ils ont été exploités,
Franck et Neven GENTIL le 02/07/19
La grotte n’était pas obstrué , elle communiquait avec une autre par une ouverture sous-marine , ce qui, je pense , créée un courant continu, voire des variations assez fortes. En tout cas les colonies étaient nombreuses et semblaient en bonne santé.
Merci pour ces informations.
Marie-Claude SALLES le 02/07/19
Si il y a du mouvement par les vagues ils peuvent sans doute se passer de choc direct et ils ont aussi la variation de pression à chaque "creux"....
Franck et Neven GENTIL le 02/07/19
bonjour Marie-Claude,
Difficile d’être précis sans divulguer l’endroit...
Ce jour là (marée basse) , ils « trempaient » dans 1 m d’eau sous un mamelon rocheux, mais au fond d’une grotte où le plein jour ne pénètre pas. Ils reçoivent le courant avec certitude mais pas directement le ressac. Je déconseille l’accès quand sa « bouge », surtout en tant qu’apneistes.
Franck.
Marie-Claude SALLES le 02/07/19
Bonjour ! D'accord pour du "pousse-pied". Mais d'habitude ils vivent sur des rochers battus par les vagues et quelle profondeur ici ? ( sans trahir le secret de leur "logement" )
Michel Le Quément le 01/07/19
Bonsoir, voir sans doute: LE GRANCHÉ Philippe, NOËL Pierre in : DORIS, 21/09/2017 : Pollicipes pollicipes(Gmelin, 1790), http://doris.ffessm.fr/ref/specie/533