Taille inférieure à 15 mm
Couleur brun roux à brun jaune
Lignes transversales et zébrures sur le dos
Gros yeux triangulaires
Longues pattes intermédiaires
Bateliers, cigales d'eau
Water boatman (GB), Corissidi, barcaioli (I), Barqueros (E), Ruderwanzen, Wasserzikaden (D)
Cosmopolite
Zones DORIS : ● Eau douce d'Europe, ● Indo-Pacifique, ● Caraïbes, ● Atlantique Nord-OuestLeur distribution est mondiale.
En France, elles sont communes partout et particulièrement présentes en Normandie et en Bretagne.
On trouve les corises dans des eaux très diverses, plus fréquemment dans des eaux lentes ou stagnantes, le plus souvent sur les rives des lacs, mais aussi dans les mares, les ruisseaux et les étangs. Certaines espèces sont aussi présentes dans des eaux salées ou saumâtres, comme Sigara stagnalis et Cymatia coleoptrata.
Les corises se tiennent sur le fond avec lequel elles se confondent. Les espèces vivant dans des mares temporaires peuvent les quitter pour d'autres zones aquatiques, lorsque les conditions deviennent défavorables, comme l'assèchement de la mare, un manque de nourriture, l'hivernage. Elles s'envolent alors et peuvent parcourir d'assez grandes distances.
Les corises sont des punaises aquatiques mesurant moins de 15 mm : la plupart des espèces du genre Micronecta mesurent moins de 4 mm, le genre Corixa entre 5 et 15 mm. Elles sont de couleur brun roussâtre à brun jaunâtre.
La face dorsale du corps est aplatie, foncée, sans carène médiane. Le pronotum* est orné de lignes transversales. Les hémélytres* sont nettement zébrés vers le pronotum, puis les zébrures deviennent discontinues et forment des petits dessins allant dans tous les sens. Le fond est noir alors que les zébrures sont rousses à jaunes. Ces motifs sont caractéristiques des Corixidés.
Le ventre est clair. Il existe souvent une asymétrie abdominale chez les mâles, à droite comme à gauche : les derniers segments abdominaux s'atrophient en vue de faciliter l'accouplement. Le strigile*, propre au mâle, est une sorte de plaque chitineuse plus ou moins développée portant un nombre varié de peignes et qui se situe sur un bord du 6e tergite*.
Les ailes antérieures sont cornées ou coriaces à la base (appelées hémélytres) et membraneuses à l'extrémité (appelées membranes de l'hémélytre) ; elles sont repliées à plat sur le dos au repos et les extrémités postérieures se croisent. Les ailes postérieures sont membraneuses. Les hémélytres réunissent de l'avant vers l'arrière l'embolium*, la corie* et le clavus (voir croquis de Faune de France).
La tête est courte, large, triangulaire, très mobile et recouvre partiellement le pronotum. Elle porte de gros yeux triangulaires de couleur foncée, sans ocelles* (œil simple), sauf pour les Diaprepocorixidés australiens chez qui il existe deux ocelles. Les antennes sont plus courtes que la tête et sont généralement composées de 3 à 4 articles. Elles se situent sous les yeux et sont souvent cachées entre la tête et le thorax. Le rostre est court, large et robuste. Les stylets mandibulaires et maxillaires sont courts et non piqueurs. Le scutellum* (ou écusson) est libre ou masqué.
Chaque paire de pattes a une fonction précise : les pattes antérieures servent à l'alimentation, les médianes sont longues pour s'accrocher au substrat et les postérieures servent à nager. Ces dernières sont frangées de soies et forment des rames. Elles comportent un tarse à un seul article en forme de palette.
Cette fiche traite la famille des Corixidés. Beaucoup d'espèces sont très proches et sont souvent trop difficiles à distinguer pour faire l'objet de fiches séparées.
En Europe, elle comprend 42 espèces groupées dans 10 genres. Sur un plan mondial, environ 300 espèces sont réparties en 6 sous-familles, dont 3 exclusivement africaines.
En Europe, il existe 3 sous-familles comprenant 42 espèces groupées dans 11 genres :
- les Micronectinés : corises de petite taille, ne dépassant pas 3-4 mm, un seul genre en Europe : Micronecta ;
- les Cymatinés : le pronotum ne porte pas de lignes transversales, les pattes sont longues, le rostre n'est pas sillonné transversalement ; ils sont généralement brachyptères*, un seul genre en Europe : Cymatia ;
- les Corixinés : la grande majorité des espèces de la famille. Le rostre est sillonné transversalement, le pronotum et les hémélytres sont ornées de lignes transversales, les tarses antérieurs sont très développés en palette. Neuf genres en Europe :
¤ Glaenocorisa : une seule espèce G. propinqua en Europe du Nord ;
¤ Heliocorisa : une seule espèce H. vermiculata dans le sud de la France ;
¤ Corixa : les plus grandes espèces, asymétrie abdominale gauche, une rangée de dents sur la palette, 4 espèces en France : C. punctata, C. affinis, C. dentipes et C. panzeri ;
¤ Callicorixa : taches noires sur les tarses antérieurs, deux rangées de dents sur la palette du mâle, une seule espèce C. praeusta ;
¤ Paracorixa : taches noires sur les tarses antérieurs, une rangée de dents sur la palette du mâle, une seule espèce P. concinna ;
¤ Hesperocorixa : 6 espèces, dont 2 fréquentes en France : H. sahlbergi et H. linnei, 3 sur 6 sont méditerranéennes ;
¤ Parasigara : reconnaissable à la tache noire sur l'apex de la palette, 2 espèces, toutes deux connues en France : P. transversa et P. infuscata ;
¤ Arctocorisa : pronotum très caréné sur toute sa longueur, A. carinata présente en Alpes du Nord, A. germani en Europe du Nord) ;
¤ Sigara : 15 espèces en France difficilement différentiables, dont S. lateralis.
Corixa punctata (Illiger, 1807) : corise ponctuée, la plus commune des corises. Longueur de 13 à 15 mm. Brune mouchetée de jaune. On la trouve dans les eaux stagnantes riches en végétation.
On pourrait confondre les corises avec les notonectes, mais leur nage est différente : les notonectes nagent sur le dos, le ventre vers la surface (bulle d'air ventrale), alors que les corises nagent à l'endroit, le dos vers la surface (bulle d'air dorsale). Leur position de nage est due à l'emplacement de la bulle d'air.
Les corises sont phytozoophages. Elles sont principalement carnivores (petits vers), mais apprécient aussi les algues unicellulaires (diatomées), les algues filamenteuses (Spyrogira, Mougeotia) et les détritus, tels que débris de plantes au fond des étangs. Les grosses espèces peuvent aussi se nourrir de larves de Culicides et Chiromides (tous deux de l'ordre des Diptères et regroupant les mouches et moustiques piqueurs).
Les corises fouillent le sol en se servant de leurs pattes antérieures courtes. Celles-ci décrivent des cercles. Leur dernier article est aplati en forme de cuillère ou de pelle ; il est frangé de soies, appelées soies palmaires, et comporte une griffe. Les nutriments sont mis en pièces grâce à une rangée de dents en scie et des denticules chitineux dans le pharynx. Contrairement aux autres punaises aquatiques, elles n'ont pas de rostre suceur.
L'accouplement a lieu au printemps et sous l'eau. Le mâle se place sur la femelle en se servant de ses pattes antérieures pour la maintenir. L'asymétrie est destinée à faciliter l'accouplement : si l'asymétrie abdominale du mâle est à gauche, l'abdomen du mâle entoure le côté gauche de la femelle, et inversement si elle est à droite.
Les œufs sont fixés aux plantes aquatiques. Ceux du genre Corixa sont en forme de poire, pédonculés et fixés grâce à un disque ; ceux du genre Cymatia sont fixés par un petit pédoncule et ceux du genre Micronecta adhèrent directement au substrat grâce à une sécrétion coagulante.
Les larves naissent au début de l'été. Cinq stades larvaires se succèdent durant lesquels des glandes odoriférantes se développent par paire dans des pores situés sur les bords des troisième, quatrième et cinquième tergites. Au stade adulte, ces glandes disparaissent au profit d'une unique glande odoriférante métasternale* (2e section du thorax), dont la sécrétion s'écoule dans deux sillons coxaux* (hanche). Les larves possèdent des tarses postérieurs à un article et des antennes à deux articles.
Lorsque les conditions sont favorables (température), deux générations par an sont possibles pour certaines espèces. C'est le cas de Corixa punctata et de nombreuses Sigara, où les premiers accouplements ont lieu en février avec une ponte de mi-février à mars. Les vieux mâles disparaissent progressivement alors que les jeunes adultes de l'année se développent jusqu'à pulluler en septembre-octobre, période où ils effectuent des vols migratoires pour se disperser.
Les corises hivernent au stade d'imago (ou insecte parfait), sauf pour le genre Micronecta.
Le rôle de la stridulation n'est pas certain, mais il correspondrait plus à un état d'excitation qu'à un appel visant à attirer les femelles. Les pattes antérieures jouent un rôle important dans la stridulation : les mâles émettent une stridulation assez forte en frottant les petits piquants des fémurs antérieurs sur les sillons (marge tranchante) de leur tête. Des chambres à air situées entre la tête et le prothorax font caisse de résonance et permettent d'amplifier le son, peut-être pour un effet séducteur. Une exception pour le genre Micronecta, où la très forte stridulation est due au pivotement de la capsule génitale et où le strigile intervient. Parmi les espèces les plus bruyantes, certaines sont présentes en France : Corixa panzeri, Sigara dorsalis, S. distincta.
Les corises sont des insectes parasités aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de leur organisme :
- endoparasites : dans l'intestin se situent des endoparasites flagellés (Leptomonas arctocorixae), des kystes hémocoelomiques de Sporozoaires indéterminés. On peut trouver dans l'organisme de Corixa punctata des Nématodes (Mermis sp.).
- ectoparasites : des Laboulbéniales (Coreomyces corisae, C.curvatus, Paracoreomyces thaxteri) ; des larves et nymphes d'Acariens (Arachnides) pouvant être très abondants.
Leur corps est plus léger que l'eau. En effet, une fine couche d'air l'enveloppe grâce à des poils très fins situés sur le ventre et le dos. La poussée d'Archimède étant plus forte que leur poids, pour éviter de remonter à la surface durant les périodes d'immobilité, les corises doivent s'accrocher au fond sur ce qu'elles trouvent : cailloux, plantes aquatiques. L'accrochage se fait grâce aux deux longues griffes disposées sur le tarse de leurs pattes intermédiaires, très longues et grêles pour pouvoir s'ancrer sur des substrats de différentes tailles. Leur longueur leur permet de réaliser des mouvements très amples.
Comme tous les insectes aquatiques, les corises doivent reprendre leur respiration en surface. Elles viennent percer la surface avec la tête et le haut du thorax, durant un temps bref. L'air est capturé par les stigmates* du dernier segment du thorax et les premiers de l'abdomen et est stocké entre la tête, le prosternum* et le mésosternum*. Elles transportent ainsi un stock d'air sous leurs ailes en plongée. On retrouve le même procédé chez les Naucoridés et les Notonectidés.
Elles nagent sur le ventre, à cause de l'air emprisonné au niveau du dos. Cette nage est assurée par les pattes postérieures. Ces pattes sont puissantes et comportent un tarse de deux articles, aplatis et frangés de longues soies. Le dernier article possède une griffe réduite et divisée en deux. Elles servent aussi au nettoyage des pièces qui conduisent l'air sous le pronotum et sous les ailes, mais aussi facilitent la circulation de la réserve d'air.
Les corises sont capables de sortir de l'eau rapidement et de s'envoler. Elles sont attirées la nuit par les lumières. Elles comprennent des formes brachyptères* (ailes plus courtes que l'abdomen), et donc qui ne volent pas. Cela concerne les genres Cymatia, Micronecta et quelques Sigara. Les formes macroptères* (ailes atteignant ou dépassant l'abdomen) peuvent voler sur de grandes distances, généralement la nuit. Cela concerne les genres Corixa (Corixa punctata, Vermicorixa nigrolineata) et quelques Sigara (Subsigara falleni). Il a été observé que les espèces les plus grandes, telles que Corixa punctata, résistaient mieux à la dessication que les plus petites. Elles effectuent de ce fait de plus grandes migrations, dont la distance et le point d'arrivée varient plus en fonction du vent que de leur propre activité.
Au Mexique, les hommes consomment certaines corises, que ce soit des œufs ou des adultes : Corisella mercenaria, dont le goût est réputé très fort, mais aussi Corisella tarascana, Krizousacorixa azteca. Elles servent aussi d'aliments pour les élevages de poissons et de volailles.
Corise : traduction littérale du latin Corixa
genre Corixa : du latin [corix] ou [coris] = punaise
genre Micronecta : du latin [micro] = petit, et [nect] = nageant, on pourrait comprendre "petit nageur"
genre Cymatia : du latin [cymat] = ce qui s'enfle ; flot, onde
genre Sigara : du latin [sig] = siffler, peut-être en référence à leur stridulation
Termes scientifiques | Termes en français | Descriptif | |
---|---|---|---|
Embranchement | Arthropoda | Arthropodes | Animaux invertébrés au corps segmenté, articulé, pourvu d’appendices articulés, et couvert d’une cuticule rigide constituant leur exosquelette. |
Sous-embranchement | Hexapoda | Hexapodes | Arthropodes à six pattes. Ce sont les insectes au sens large. |
Classe | Insecta | Insectes | Hexapodes terrestres et dulcicoles possédant trois paires de pattes et deux paires d’ailes (sauf chez les Diptères). |
Sous-classe | Pterygota Neoptera | Ptérygotes Néoptères | Insectes ailés dont les ailes sont rabattues au repos. L'immense majorité des insectes. |
Ordre | Hemiptera | Hémiptères | Des antennes longues, des pièces buccales piqueuses avec un long rostre, et deux paires d'ailes dont l'une, en partie cornée, est transformée en hémiélytre. |
Sous-ordre | Heteroptera | Hétéroptères | Insectes ptérygotes hétérométaboles, avec un appareil buccal de type piqueur-suceur, deux paires d'ailes : les postérieures sont membraneuses, les antérieures sont partiellement cornées. Antennes longues. |
Famille | Corixidae | Corises | |
Genre | Corixidae | ||
Espèce | (famille) |
Identification
La corise vue de dos ne peut pas être confondue avec un autre insecte aquatique : les zébrures jaune brun sur un fond sombre, dessinées sur ses hémélytres*, sont caractéristiques. Le pronotum* est orné de lignes transversales. Sur cette photo, on peut aussi voir que le pronotum est très mobile. On ne voit pas les yeux, la tête étant inclinée vers le sol.
Ile du Rhin, Geiswasser (68), surface
Laurent et Sandrine SCHWEBEL-MARBACH
01/05/2010
Vue de profil
La tête est courte, large et triangulaire. Elle porte de gros yeux triangulaires de couleur foncée. Les antennes sont plus courtes que la tête. Elles se situent sous les yeux et sont souvent cachées entre la tête et le thorax. Le rostre est court, large et robuste, non suceur. Les pattes antérieures ont la forme de pelles pour la récolte des aliments.
Gouille Pramont, Grône Valais (CH), 5 m
23/10/2009
Alimentation
Les corises sont phytozoophages. Elles sont principalement carnivores (petits vers), mais apprécient aussi les algues unicellulaires (diatomées), les algues filamenteuses (Spyrogira, Mougeotia) et les détritus, tels que débris de plantes au fond des étangs.
Gouille Pramont, Grône Valais (CH), 5 m
23/10/2009
Palettes natatoires
Chaque paire de pattes a une fonction précise : les pattes antérieures servent à l'alimentation (on ne les voit pas ici), les médianes sont longues pour s'accrocher au substrat et les postérieures servent à nager. Ces dernières sont frangées de soies et forment des rames. Elles comportent un tarse à un seul article en forme de palette.
Etang de Careil (35)
02/08/2010
Corise et notonecte
On pourrait confondre la corise avec la notonecte, mais leur nage est différente : la notonecte (à droite sur la photo) nage sur le dos, le ventre vers la surface (bulle d'air ventrale), alors que la corise (à gauche sur la photo) nage à l'endroit, le dos vers la surface (bulle d'air dorsale). Leur position de nage est due à l'emplacement de la bulle d'air.
Etang de Careil (35)
02/08/2010
Croquis : vue de dos
D'après Poisson R., 1957. FAUNE DE FRANCE n° 61, HÉTÉROPTÈRES AQUATIQUES, figure 33 page 59 - Cette image fait partie de Faune de France.
Les ailes antérieures sont cornées ou coriaces à la base (ce sont les hémélytres) et membraneuses à l'extrémité (appelées membranes de l'hémélytre) ; elles sont repliées à plat sur le dos au repos et les extrémités postérieures se croisent. Les ailes postérieures sont membraneuses. Les hémélytres réunissent de l'avant vers l'arrière l'embolium*, la corie* et le clavus. On aperçoit le strigile*, petite plaque pouvant jouer un rôle dans la stridulation.
N/A
Reproduction de documents anciens
1957
Croquis : vue de profil
D'après Poisson R., 1957. FAUNE DE FRANCE n° 61, HÉTÉROPTÈRES AQUATIQUES, figure 33 page 59 - Cette image fait partie de Faune de France.
Au niveau de la tête : la tête recouvre partiellement le pronotum et porte de gros yeux foncés. Les antennes sont plus courtes que la tête et se situent sous les yeux et sont souvent cachées entre la tête et le thorax. Il existe souvent une asymétrie sur les sternites abdominaux chez les mâles, à gauche comme à droite.
Chaque paire de pattes a une fonction précise : les pattes antérieures servent à l'alimentation, les médianes sont longues pour s'accrocher au substrat et les postérieures servent à nager. Ces dernières sont frangées de soies et forment des rames.
N/A
Reproduction de documents anciens
1957
Asymétrie abdominale
Ce document est extrait de "Dethier M., 1985. Insectes - 6 : Hétéroptères aquatiques et ripicoles, , 54e année, n° 10 , 54e année, n° 10".
Il permet de visualiser l'asymétrie abdominale existant souvent chez le mâle, à gauche comme à droite : les derniers segments abdominaux s'atrophient en vue de faciliter l'accouplement. Cette asymétrie n'existe pas chez la femelle.
N/A
Reproduction de documents anciens
1985
L'œuf
Des formes variées parmi les œufs des corises. Les œufs sont fixés aux plantes aquatiques. Ceux du genre Micronecta adhèrent directement au substrat grâce à une sécrétion coagulante.
D'après Poisson R., 1957. FAUNE DE FRANCE n° 61, HÉTÉROPTÈRES AQUATIQUES, figure 33 page 59 - Cette image fait partie de Faune de France.
N/A
Reproduction de documents anciens
N/A
Larve
La larve ressemble à un adulte sans ailes.
D'après Poisson R., 1957. FAUNE DE FRANCE n° 61, HÉTÉROPTÈRES AQUATIQUES, figure 33 page 59 - Cette image fait partie de Faune de France.
N/A
Reproduction de documents anciens
N/A
Larve
La larve était posée sur le fond vaseux. Sa taille est inférieure à 5 mm.
Carrière de Fougères (35), proche surface
05/02/2011
Rédacteur principal : Sandra SOHIER
Vérificateur : Jean-Pierre COROLLA
Responsable historique : Sandra SOHIER
Responsable régional : Jean-Pierre COROLLA